D'abord, je ne vous considère pas, et si j'écris au nom de mon droit et de la place, je porte une parole singulière, la mienne, face au chorus des suiveurs, des opportunistes qui n'ont que la politique du ventre comme guide et se remplir la panse et le porte-monnaie en horizon absolu.
Si les hommes étaient réduits à l'état de bête, vous seriez les guides et les exemples à proposer.
Les peuples voient loin, grand, et dessinent sur l'horizon le visage de leur devenir.
Alors que des gens de votre espèce continuent de brouter les herbes des verts pâturages de l'Oncle Sam et ses petites mains, d'autres par la détermination par le sacrifice, par la force d'âme tracent leur chemin en toute liberté.
Les Algériens, nos voisins, l'ont expérimenté.
Ils ont inventé dans le sang le sentiment national, la fierté d'être soi, ne négocient pas l'essentiel.
Alors, au lieu d'insulter, de laugreer, de traer tout ce qui ne vous conforte pas dans vos ineptes, interrogez-vous un instant, et demandez-vous ce que vous avez fait pour ce pays.
Ce que vous faites de ce pays, à en présenter l'image de ce que vous êtes, toujours disposés à suivre le dernier bonimenteur.
Vous avez applaudi BCE, Marzouki, même les barbus, Haladi Jbali.... Et encore de nos jours ils dont nombreux en votre compagnie, quelle compagnie ! à nous insulter.
Je vous méprise.
Je vous renvoie à votre désert.
Je n'ai pas l'hommeur de vous compter dans les citoyens.
Le Président serait fou ?
Vous êtes, a6 cite et par comparaison un ramassis de vulgaires qui n'ont aucun respect.
Pas mêle pour soi.
Merde aux cons.
Je termine par la meilleure.
Il ne serait pas digne de moi de débattre avec des incultes. Vulgaires.
Parce qu'il y a un minimum requis: le respect et la civilité.