Le président de la République, Kaïs Saïed a reçu, jeudi 1er décembre 2022, la cheffe du gouvernement, Najla Bouden au palais de Carthage pour discuter de plusieurs thèmes concernant le fonctionnement des services publics.
Lors de cette rencontre, le président de la République a souligné son attachement au rôle social de l’État assurant qu’il n’était pas question de céder les établissements et les entreprises publics mais qu’il faudrait les assainir et éradiquer les causes ayant conduit à leur situation actuelle.
D’autre part, il a assuré que l’État, de par son rôle dans la réalisation de la justice sociale, n’arrêterait pas la compensation des produits de base, comme on le prétend de temps à autre.
Le chef de l’Etat a noté qu’il fallait compter sur soi et sur nos moyens nationaux, rappelant que l’équité sociale était la base de la stabilité escomptée et qui ne pouvait être garantie que dans le cadre d’une répartition équitable des richesses et de l’éradication de la corruption sévissant dans plusieurs entreprises.
Le président de la République a appelé à œuvrer en permanence à faire baisser les prix parce que ceux qui essayaient de les élever, auraient des objectifs contraires aux revendications légitimes du peuple tunisien en termes de travail, de liberté et de dignité nationale.
S.H
Pour les intelligents, maus BHIMCOP et BHAMALOGUE sont-ils les symboles de l'état réel?
L'ère des posture est passée...
Un service public qui coûte très très cher et qui ne rend pas le service attendu , à quoi bon s'entêter à le garder !!!
Ces recrutements fantoches en guise de prime de chômage, tant de "bastana" (dite caricaturalement de jardinage) que de kamour, effectués lors la gouvernance de troïka et nahdha et de ce au cours les dix années de malheurs et de catastrophes économiques, ont contraints l'état tunisien à s'endetter auprès du FMI et de la banque mondiale entre autres.
Soit un problème socio-économique que n'importe quel expert, connaisseur ou savant ne peut résoudre.
Ces gens là (des paresseux) ne veulent pas travailler réellement ni l'industrie n'a terre, ni en groupes ou en sociétés, sauf que cela soit à titre personnel afin d'être planqués confortablement à fumer le narguilé ou à "comptempler " la télé, etvavour des rentrées d'argent, à moinscdopter pour la contrebande, la spéculation ou la corruption.