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Kaïs Saïed persiste : pas de cession des entreprises publiques ni de levée de la compensation
01/12/2022 | 23:41
1 min
Kaïs Saïed persiste : pas de cession des entreprises publiques ni de levée de la compensation

 

Le président de la République, Kaïs Saïed a reçu, jeudi 1er décembre 2022, la cheffe du gouvernement, Najla Bouden au palais de Carthage pour discuter de plusieurs thèmes concernant le fonctionnement des services publics.

 

Lors de cette rencontre, le président de la République a souligné son attachement au rôle social de l’État assurant qu’il n’était pas question de céder les établissements et les entreprises publics mais qu’il faudrait les assainir et éradiquer les causes ayant conduit à leur situation actuelle.

 

D’autre part, il a assuré que l’État, de par son rôle dans la réalisation de la justice sociale, n’arrêterait pas la compensation des produits de base, comme on le prétend de temps à autre.

 

Le chef de l’Etat a noté qu’il fallait compter sur soi et sur nos moyens nationaux, rappelant que l’équité sociale était la base de la stabilité escomptée et qui ne pouvait être garantie que dans le cadre d’une répartition équitable des richesses et de l’éradication de la corruption sévissant dans plusieurs entreprises.

 

Le président de la République a appelé à œuvrer en permanence à faire baisser les prix parce que ceux qui essayaient de les élever, auraient des objectifs contraires aux revendications légitimes du peuple tunisien en termes de travail, de liberté et de dignité nationale.

 

S.H

01/12/2022 | 23:41
1 min
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Commentaires
DHEJ
Que les entreprises publiques
a posté le 02-12-2022 à 15:51
Soient soumises au régime réel et quitte définitivement le régime forfaitaire!


Pour les intelligents, maus BHIMCOP et BHAMALOGUE sont-ils les symboles de l'état réel?
Patriote en colere
Clown
a posté le 02-12-2022 à 11:43
Clown ou miromane? Il essaie de gagner du temps. Dans quelques jours le Fmi publiera tout.
Abir
C'est difficile à le croire
a posté le 02-12-2022 à 10:23
Vous n'allez pas nous dire que Machaallah, répond à ks : dis ce que tu veux, moi je fais ce que je veux! Non! Mais c'est ks qui ne fait pas ce qu'il dit! Machaallah n'a rien dire avec lui !
Gg
Et le FMI?
a posté le 02-12-2022 à 10:06
A quoi s'est-il engagé avec le FMI?
L'ère des posture est passée...
Alias
Gouverner , la peur au ventre !
a posté le 02-12-2022 à 08:26
Il est impossible d'assainir les entreprises publiques tant le mal est profond , impossible d'éradiquer les causes qui les ont conduit à être en déficit chronique tant que c'est l'ugtt qui mène la dance dans le service public . Il n'y a donc qu'une seule solution , tout le monde la connait, comme tous les précédents , ce gouvernement qu'on croyait capable de s'attaquer à ce genre de tabou néfaste qui consiste à préserver les entreprises publiques quoiqu'ils en coûtent , recule devant l'évidence .
Un service public qui coûte très très cher et qui ne rend pas le service attendu , à quoi bon s'entêter à le garder !!!
retraté
il ne faut pas brader les sociétés publiques
a posté le 02-12-2022 à 08:13
il ne faut pas brader les sociétés publiques mais il faut introduire une partie du capital aux privés pour introduire une bonne gouvernance de ces sociétés en les assainir et réduire leurs subventions financées par les contribuables car les sociétés publiques depuis la révolution ont des effectifs pléthoriques et une mauvaise gestion qui plombent leur rentabilité depuis la révolution ils ont quadruplé leurs tarifs aux citoyens et aux entreprises ce qui n'empêche pas qu'elles ont des déficits chroniques .
Saga
pour les assainir
a posté le à 11:42
il faut les débarrasser des bras cassés qui les gangrènent.
takilas
Les causes ?
a posté le 02-12-2022 à 06:22
C'est les recrutements anarchiques et fictifs ( rien que pour le salaire et les avantages) et de surcroît avoir le moindre mérite, effectués par nahdha effectués, pour la forme, par centaines de milliers et ce dans la fonction publique à Tunis et obligatoirement que cela soit à Tunis pour la majorité, sinon tous, des sudistes qui avaient pourtant un emploi et qui ont des rentes et des rentrées d'argent jusqu'à ce jour.
Ces recrutements fantoches en guise de prime de chômage, tant de "bastana" (dite caricaturalement de jardinage) que de kamour, effectués lors la gouvernance de troïka et nahdha et de ce au cours les dix années de malheurs et de catastrophes économiques, ont contraints l'état tunisien à s'endetter auprès du FMI et de la banque mondiale entre autres.
Soit un problème socio-économique que n'importe quel expert, connaisseur ou savant ne peut résoudre.
Ces gens là (des paresseux) ne veulent pas travailler réellement ni l'industrie n'a terre, ni en groupes ou en sociétés, sauf que cela soit à titre personnel afin d'être planqués confortablement à fumer le narguilé ou à "comptempler " la télé, etvavour des rentrées d'argent, à moinscdopter pour la contrebande, la spéculation ou la corruption.