
Le président de la République, Kaïs Saïed a effectué, mardi 20 juin 2023, une visite au siège de la commission nationale de conciliation pénale.
Le président de la République a incité les membres de la commission à redoubler d’efforts, parce que “nous sommes dans une course contre la montre. Les biens spoliés sont énormes. Ils peuvent être restitués et nous n’aurons besoin d’aucune partie étrangère”, assure-t-il, rappelant qu’il n’était question de renoncer à aucun millime revenant au peuple tunisien.
“Je suis vos travaux au quotidien. Je sais que plusieurs personnes ont recouru à la conciliation, et les biens à restituer s’élèvent à des millions de dinars. Il y a beaucoup d’argent qui peut revenir au peuple tunisien”, indique le chef de l’État.
Les membres de la commission ont fait part au président de la République de certaines affaires, tout en lui affirmant que des dossiers requièrent une vérification préalable de la situation des demandeurs de la conciliation pénale. Par ailleurs ils lui ont présenté les difficultés et les blocages qu’ils sont en train de rencontrer à cause de certains textes de loi.
Dans ce sens, le président de la République a affirmé que les textes de lois ne sont pas sacrés et qu’ils peuvent être révisés.
Le président de la République a indiqué que ceux qui étaient nostalgiques de la commission financière internationale peuvent toujours retourner à la rue de la Commission.
Après sa réunion avec les membres de la commission nationale de conciliation pénale, le président de la République a rencontré le ministre des Domaines de l’État et des Affaires foncières. Il l’a appelé à aplanir les obstacles afin de faciliter le processus de la création des sociétés communautaires.
S.H
Il a peut être une chance avec le pétrole et le sel de Makhlouf.
La même chanson conciliation, sociétés coopératives, spéculation, chambres noires....bla bla
Il insiste sur la conciliation pénale et les entreprises populaires sans aucune vision réformatrice. Il nous a fait avec les professeurs d'économie ce qu'il nous avait fait avec les professeurs en droit constitutionnel. Des écrans de fumée pour passer en force et imposer sa vision.
Le bateau, retapé et réarmé, commence un long voyage sur le fleuve Amazone avant de remonter le río Pachitea. L'équipage déserte bientôt, par crainte des coupeurs de tête. Le contact se fait bientôt entre les quatre hommes restés à bord et les Shuars (improprement appelés Jivaros), séduits par la voix du ténor diffusée par un phonographe. La concession se trouvant sur le cours supérieur de l'Ucayali et étant inaccessible par voie fluviale vu la présence de rapides infranchissables, sachant que les deux cours d'eau ne sont séparés que par une colline, l'idée folle de Fitzcarraldo est de déboiser un passage à travers la colline et d'y hisser le bateau pour rejoindre l'Ucayali par l'autre versant. Les Indiens acceptent de l'aider dans son projet. La nuit suivant l'accomplissement de cet exploit, le chef indien brise les amarres car, si les Indiens ne croient pas que Fitzcarraldo soit le « Dieu blanc » de leur mythe, ils pensent que le « char blanc » offert à la rivière peut apaiser les démons des rapides. Après une descente périlleuse marquée par le passage des rapides Pongo, Fitzcarraldo, le conquistador de l'inutile, se retrouve à son point de départ. Il envoie son capitaine à Manaus avec comme mission d'amener à Iquitos les chanteurs d'opéra accompagnés d'un grand orchestre afin de donner une représentation d'un opéra à bord de son bateau qu'il revendra ensuite.
Source: Wikipédia