L’avocate et membre du comité de défense des dirigeants politiques dans l’affaire dite de complot contre la sûreté de l’Etat, Islem Hamza, a révélé, jeudi 15 juin 2023, que le comité général des prisons et de la rééducation avait porté plainte contre elle à la suite d’une déclaration médiatique dénonçant les conditions de transport des prisonniers politiques.
Islem Hamza explique que le comité général des prisons et de la rééducation avait engagé les procédures judiciaires à son encontre appelant à l’activation de l’article 24 du décret 54, dont la peine pourrait atteindre dix ans d’emprisonnement.
“Au lieu de reconnaître la situation catastrophique des prisons et des moyens de transport inhumains… Au lieu d’axer les efforts sur une solution aux drames des milliers de prisonniers tunisiens… Ils préfèrent poursuivre les déclarations et les publications de Islem Hamza. [...] C’est vraiment étrange… Est-il possible de penser à une réforme avec ce genre de mentalité des directeurs et des responsables ? Si j’avais le pouvoir décisionnel je révoquerai ces dirigeants qui enveniment la situation du pays et nuisent à son image aussi bien à l’intérieur qu’à l’étranger”, indique l’avocate, Islem Hamza.
Rappelons que le comité de défense des dirigeants politiques dans l’affaire dite de complot contre la sûreté de l’Etat a annoncé à travers un communiqué rendu public, mercredi 14 juin 2023 que la section régionale de l’ordre des avocats de Tunis a été informée par le biais d’une correspondance émise par le procureur général près la cour d’Appel de Tunis, que l’avocate Islem Hamza était traduite devant le juge d’instruction.
S.H
Un total de 24 années d'emprisonnement, mitard, quartier de haute sécurité et toute une vie passée à dénoncer les conditions de la vie carcérale. Il se coupa une falange envoyée à Robert Badinter, alors garde des sceaux. Il a par ses écrits et son combat contribué grandement à faire évoluer la condition de vie des personnes privées de liberté.
Wolinski était de ses soutiens et Michel Foucault préfaça un de ses ouvrages.
Le malin plaisir que prennent certains à soutenir des ignominies a de quoi vous laisser pantois.
Las !
Qu'elle comprenne, une bonne fois pour toutes, que les prisonniers politiques ne sont que des citoyens comme les autres...
Et cela ne semble vous poser guère de problème.
Deux, il faut, à la manière des détenus de droit commun, subir brimades, vexations, traitements humiliants et dégradants tous prohibés par le droit pénitentiaire de ce pays et les traités internationaux par lui ratifiés autant pour les détenus de droit commun que ceux-là que vous reconnaissez comme étant prisonniers d'opinion.
Elle découvre ce que tout le monde sait, désigne le et les responsables faisant du pouvoir actuel l'origine et le coupable de cette incurie.
C'est affligeant, insultant pour l'intelligence du citoyen de lire ces sottises venues du camp des meilleurs suppôts de ceux qui ont dégradé tout en ce pays, y compris son image.
Cette jeune femme est un agent, une activiste déguisée en avocate ou mieux, une avocate partisane et malhonnête.
Ils sont nombreux ces avocats qui ont tenu le haut du pavé, bateliers des prétoires, fort en gueule, vulgaires à souhait, qui ont sali leur profession par les mensonges, les outrances, et même les violences.
Je croyais qu'un avocat prêtait sermon de défendre tous les justiciables.
Le mélange des genres est source de perdition, le cas des avocats entrepreneurs et politiciens en est une preuve.
Mme Islem, tout le monde est logé à la même enseigne, est-ce que ça vous parle ?
Aller, HOP, au trou les acteurs et les racailles.
Perpétuez et perpétrez.
La mascarade continue fi biled etarrarani.
