
L’ancien élu et expert en gouvernance et développement régional, Hatem Mliki a indiqué que le découpage administratif s’opposait dans certains cas au découpage naturel et économique.
S’exprimant le 22 septembre 2023 durant « Fi 90 dkika » de Khouloud Mabrouk sur IFM, Hatem Mliki a estimé que l’autorité en place devait s’interroger sur la question de la création de districts. « S’agit-il d'une entité détenant une autorité ? Il s’agit d’un processus lié à un conseil élu, soit en dehors du pouvoir exécutif. Il ne s’agit pas des districts de la Steg, de la Sonede ou des ministères de l'Intérieur et de l’Économie », a-t-il ajouté.
Hatem Mliki a considéré que la création d’un conseil élu en dehors du pouvoir exécutif nécessitait l’octroi à ce dernier de prérogatives lui permettant d’exprimer la volonté de chaque région. Il a appelé à éviter les incohérences. Il a cité l’exemple du gouvernorat de Sidi Bouzid. Ce dernier est rattaché au district de la Steg de Sfax, à un autre district différent pour ce qui est du développement régional et à un troisième autre district concernant le nouveau découpage électoral relatif au Conseil national des régions et des districts.
L’expert en gouvernance et développement régional a considéré que les districts électoraux ont été élaborés de façon superficielle. Il a estimé qu’on aurait pu mettre en place un système permettant à chaque gouvernorat de manœuvrer et d’appartenir au même district dans tous les domaines.
Hatem Mliki a indiqué que la question de la richesse des zones côtières était une contre-vérité. Donner à certaines régions un accès à la mer, selon lui, n’a pas de sens, car il ne s’agit pas de partir en vacances. Il a estimé qu’on devait opérer de façon à favoriser et encourager le développement des régions intérieures au lieu de les connecter à des régions côtières.
S.G
Décidément la Tunisie regorge d'expert et opportunistes ces derniers temps qui sillonne les plateaux de télé et radios pour prêcher leur savoir faire en tout.
Encore un autre candidat à un poste gouvernemental
Un espace commun Sfax/Sidi Bouzid où Sousse/Kairouan peut être positif mais il faut déléguer le pouvoir du centre à Tunis aux régions, c.a.d budgets et impôts pour les districts.
je sais tout, et je sais aussi toujours mieux que tous les autres, le sieur bras droit de Nabil Karoui, chef de Kalb Tounes de la ***
'Il y a dans l'aurore du talent quelque chose de naïf et de hardi en même temps qui rappelle les grâces de l'enfance et aussi son heureuse insouciance des conventions qui régissent les hommes faits.'?'
Elle fuit ce monde étriqué de personnages sans vertu.
Si les régions côtières, appelées Le Sahel en langage local, ne sont pas riches, il faudrait que notre monsieur nous donne une explication convaincante.
Riche est un comparant ou un comparé, et dans le contexte local, il est évident que cette région côtière est mieux pourvue à bien des égards que les régions intérieures.
Il y a des gens riches, des fortunés en ce pays, leur ethos, l'entregent, l'accès à toutes sortes de positions y compris aux cercles du pouvoir, leur puissance sont des indicateurs incontestables.
Depuis longtemps, et sans doute aujourd'hui encore, le personnel politique en est originaire.
Depuis 2010, ils ont du composer avec les "frères" et devoir côtoyer les manants.
Un peu de "vérité" ne fait pas mal à l'affaire.
N'est ce pas l'expert en....?
Du grand n importe quoi.

