
Le chef de l’Etat, Kaïs Saïed, a procédé le 1er juin 2022 à la révocation par décret de 57 magistrats. Une liste a été publiée contenant les noms des 57 personnes concernées. Parmi eux se trouve celui de Hammadi Rahmani.
Ce dernier a considéré que cette décision était infondée et résultait de l’envie du Kaïs Saïed de monopoliser les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire. Il a affirmé que le chef de l’Etat ne disposait pas de prérogatives l’autorisant à révoquer, suspendre ou sanctionner les magistrats.
Il a estimé qu’il s’agissait d’un acte de vengeance et d’un règlement de comptes visant les magistrats opposés au coup d’Etat et refusant de se soumettre aux instructions de Kaïs Saïed. Il a qualifié la chose de crime, de corruption législative et d’exploitation politique de la loi et des institutions de l’Etat et sans aucun lien avec l’intérêt public.
Hammadi Rahmani a estimé que sa révocation était contraire à la loi. Il a partagé l’article 107 de la Constitution tunisienne. Il a rappelé qu’un magistrat ne peut être muté sans son consentement. Il ne peut être révoqué, ni faire l’objet de suspension ou de cessation de fonctions, ni d’une sanction disciplinaire, sauf dans les cas et conformément aux garanties fixés par la loi et en vertu d’une décision motivée du Conseil supérieur de la magistrature.
S.G
Ne pas être contre la décision de KS serait une reconnaissance de leur accointance avec les criminels et corrompus.
Ces 57 magistrats vont créé le comité de salut des magistrats licenciés, histoire de créer la zizanie et ils vont se rallier à Chebbi et les 40 voleurs en attendant leur sanction.
Depuis 1956, la justice n'a fait que martyriser la population et dorénavant beaucoup d'entre vous devront tout rembourser.. (Li9dim wè Jdid)
On ne pardonne absolument rien..
Te savant dans le collimateur, tu aurais pu de te désolidariser de la meute d'hyènes qui ne cessent de dévorer tout cru, notre NATION, ces onze dernières années !!!
99 % des magistrats qui sont contre le 25 juillet béni, le sont par désespoir, car ils savent que leur sort de traitres et de vendus était réglé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
98% des Tunisiens sont des des rkhass, des tamé3a, des opportunistes, des kaléba.
Quand on est traitre, on le paie, tôt ou tard, bi koudrétte illéh.
Bisous les filles.
Le temps de passer à la caisse est là.
yékhi Mèwlènè el Emir rkéb âlikom entom barka?
Drôle de juge qui psychologise en qualifiant d'acte de vengeance sa révocation, pour aussitôt après se placer en "opposé" au "Coup d'Etat".
Notre juge quitte les habits de l'homme qui dit la loi, pour celui de "opposé au Coup d'Etat".
C'est clair.
C'est cela l'indépendance de la magistrature.
Se coucher face aux barbus, les servir, et s'opposer au chef de l'Etat.
Drôle de justice.
Il aurait mieux valu lui demander qu'elle place il occupait, quel rôle a-t-il joué dans les dossiers de terroristes, des assassinats, et dans les affaires qui concernent les Nahdhaoui et Khrama.
Les déclarations générales, jouer la victime de règlements de compte imaginaires, comme si Kais Saied en aurait contre lui, est très commode.
Il nous faut connaître ce qu'il faisait, quel était son job dans le dispositif capté par les fascistes islamistes.
Et, le poursuivre pour felonie.


