
Le vice-président de l'Instance supérieure indépendante des élections (Isie), Farouk Bouasker a écarté, ce mercredi 5 février 2020, le scénario des élections législatives anticipées.
Dans une déclaration accordée à Business News, M. Bouasker a indiqué que l’Isie agira conformément à l’issue de la plénière du vote de confiance au gouvernement d’Elyes Fakhfakh prévue le 20 février 2020.
Et d’ajouter que l’Instance est prête à tous les scénarios bien que l’éventualité de la tenue de nouvelles élections législatives soit très improbable.
Selon les dispositions de l’article 89 de la Constitution :
15 mars 2020 : date butoir pour obtenir un vote de confiance à l’ARP (la constitution ne prévoit rien et ne mentionne pas si l’on peut désigner un autre chef et proposer un autre gouvernement entre ces deux dates).
16 mars 2020 : possibilité pour le président de la République de dissoudre le parlement (la Constitution ne prévoit pas ce qui se passe si le président rejette cette option et ne propose plus aucune date butoir dans ce cas).
1er mai 2020 : date minima pour organiser de nouvelles législatives
15 juin 2020 : date butoir pour organiser de nouvelles législatives.
B.L



Taisez vous M. Bouaskar on ne vous a pas demandé votre avis et on ne vous a pas sonné.
"Dissoudre le parlement (la Constitution ne prévoit pas ce qui se passe si le président rejette cette option et ne propose plus aucune date butoir dans ce cas)."
Ey,qu'est ce qui va se passer? je vois venir d'ici les débats et le Statut-quo dont la Tunisie se passerait bien à ce stade...
Un débat entre Constitutionnalistes (ils s'en lèchent les babines à l'avance) avec des pseudo-journalistes et des citoyens lambda qui prennent parti pour un tel plutôt qu'un tel en découvrant soudain l'importance de l'existence de cette instance institutionnelle pour trancher;