
Dans un communiqué rendu public ce mardi 19 février 2019, Ennahdha a réitéré son attachement à la stabilité gouvernementale nécessaire au bon déroulement des échéances électorales de 2019.
Dans ce sens, le parti islamiste a relevé que cette stabilité a réalisé plusieurs acquis aux niveaux économique, social et sécuritaire notamment en ce qui concerne la lutte contre le terrorisme et la contrebande.
Par ailleurs, Ennahdha a affirmé son rejet catégorique de toute instrumentalisation partisane des institutions de l’Etat ainsi que de ses ressources susceptibles de menacer la stabilité du pays.
Rappelons que le président d’Ennahdha, Rached Ghannouchi avait déclaré, le 17 février courant, qu’un éventuel remaniement ministériel n’était pas exclu. Des propos qui ont été réfutés par le président du bloc parlementaire de la Coalition nationale et membre de Tahia Tounes, Mustapha Ben Ahmed qui a exprimé son attachement à la stabilité gouvernementale.
B.L
Commentaires (16)
CommenterVous êtes des parasites
En effet,
En effet, il va falloir assurer la pérennité d'un système qui a fait ses preuves:
un système qui a fait de la mendicité internationale une doctrine d'état,
un système qui a fait de la morosité économique une idéologie nouvelle,
un système qui a fait de l'Islam une religion désertée par les siens,
un système qui a fait de la fuite massive de ses enfants une politique d'emploi..
Mais le plus drôle c'est que le peuple en redemande. Rien que pour vous donner une idée de d'incompétence économique de ceux qui, en vous gouvernant, ont ruiné le pays florissant de Ben Ali, je vais vous rappeler une parole du Jaziri (qui apparait à gauche de la dernière photo), devant tout le monde à la télévision, il y a environ 5 années.
Il avait dit: "Nous ne mettons pas l'argent prêté dans nos poches comme le prétendent certains. Nous l'utilisons pour deux choses: maintenir un dinar fort et payer les salaires".
Il a eu l'honnêteté de le dire (certainement par simplicité d'esprit et par naïveté). Il a eu l'honnêteté d'expliquer aux tunisiens toute son incompétence en deux mots (je ne vais même pas expliquer aux imbéciles pourquoi cette politique est un crime en termes de souveraineté).
Il a eu l'honnêteté d'expliquer aux tunisiens comment les siens étaient en train de couler l'économie du pays. Il est très vraisemblablement le seul qui a dit la triste vérité au peuple.
Je m'étais alors dit que ses paroles allaient faire scandale. C'était sans compter avec la bêtise d'un peuple aux diplômes stériles qui n'ont même pas relevé ce fait.
Ce monsieur a fait sa fortune en France. "Opposant" dans un pays qui, à l'instar de tout le monde atlantiste, n'avait pas digéré les positions de Ben Ali lors de la première guerre du Golfe, et acceptait d'entretenir ceux qui véhiculaient la médisance contre le pouvoir tunisien.
Ce monsieur a cru que s'attaquer à l'autorité d'un pays souverain au succès incontestable, suffisait à lui conférer le statut de militant. Militant contre quoi? Contre celui qui s'est opposé à la guerre du Golfe ou bien contre celui qui avait gêné tout les traitres par ses positions pro-palestiniennes? S'opposer à Ben Ali à partir de l'étranger ne peut conférer le statut d'un héros, bien au contraire. Et encore moins le statut d'homme politique, comme vous pouvez le constater vous-mêmes après la banqueroute du pays.
Le seul acte positif de ces gens-là pour la Tunisie est d'avoir fait regretter Ben Ali aux tunisiens, à un point tel qu'actuellement les intentions de vote pour Abir Moussi explosent. Abir est, contrairement aux traitres, une vraie Militante contre l'occupation de son pays. Elle milite contre le néo-colonialisme. Les prétendus opposants avaient milité pour.
Ben Ali a été doublement récompensé par l'Histoire: Dans un premier temps par tout ce qu'il a réalisé pour son pays (et c'est facilement quantifiable); et dans un second temps parce que l'Histoire retiendra la médiocrité qui s'est installé après son départ. Médiocrité due aussi bien aux prétendus progressistes aux gros diplômes qu'aux "idéologistes" de tout bord.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Tu nous les pompes
Si vous vous méliez strictement de vos affaires, ne pas s' accrocher à un autre parti , il y aurait une stabilité gouvernementale !
C ' est votre consensus qui ruine la stabilité car vous êtes d' une ideologie incompatible avec un parti progressiste!
C' est pour cela qu il YA toujours instabilité!
La vraie démocratie est la majorité au pouvoir , le deuxième à.l' opposition. Point!
Le tawafek, consensus n' est plus d' actualité!
Le contexte tend vers une élection majoritaire. Donc le consensus n' est valable qu ' entre partis de même tendance idéologique et sûrement pas le votre !
Vous avez besoin se nous . Mais nous nous n' avons pas besoin de vous!
'? bas l' Islam politique