
Le bureau exécutif d’Ennahdha présidé par Rached Ghannouchi a rendu public un communiqué, mardi 21 septembre 2021, à l’issue d’une réunion consacrée au suivi des derniers développements sur la scène nationale et pour réagir au dernier discours du président de la République qui avait assuré le maintien des mesures exceptionnelles pour une durée indéterminée et son intention de mettre en place des dispositions transitoires ainsi qu’un nouveau Code électoral.
Le mouvement Ennahdha assure que le maintien des mesures exceptionnelles pour une durée indéterminée a paralysé les institutions de l’Etat, en l’absence d’un gouvernement légitime et le maintien du gel du Parlement élu. Le mouvement assure que cela menace l’Etat, approfondit la crise économique, financière et sociale et nuit à l’image de la Tunisie, notamment auprès de ses partenaires financiers et internationaux.
Le mouvement considère que l’annonce faite par le président concernant son intention de mettre en place des dispositions transitoires individuelles, constitue une orientation dangereuse et une détermination pour annuler la Constitution "ayant fait l’unanimité des Tunisiens et qui demeure la source de toutes les légitimités".
Par ailleurs, le mouvement considère que la sortie de ces situations dangereuses requiert les efforts de toutes les forces politiques et sociales pour parvenir à des solutions participatives aboutissant à une stabilité politique. Ennahdha exprime, également, son refus de la division des Tunisiens et la dévalorisation des opposants, attirant l’attention sur la nécessité du respect des droits de l’Homme.
Au final, le mouvement a, de nouveau, appelé à la nécessité du respect de la Constitution, la levée du gel du Parlement, l’accélération de la mise en place d’un gouvernement pour sauver le pays de la crise économique et sanitaire.
S.H
Bande de salopards, vous vous cachez pour vous réunir.
C'est le président qui a sauvé votre peau le 24 juillet car le peuple était décidé d'en découdre avec vous.
Ce sont vous les islamistes qui avaient détruit l'Etat et vous avez discrédité les institutions.
Votre constitution de 2014 est vomie par le peuple qui n'en veut plus. Votre parlement est de fait dissout et vous devrez rendre compte de vos trahisons.
Soit vous quittez cette secte de malheur qui a ruine et complote contre son peuple soit nous vous combattrons jusqu'au dernier à vous de choisir mais notre patience a des limites chaque jour qui passe ....
« Annahdha » n'est ni un mouvement, ni un parti politique mais un groupe de mercenaires et d'agents, serviteurs du libéralisme qui ne diffère en rien du colonialisme mais plutôt la forme actuelle de celui-ci.
Leur constitution n'est rien d'autre qu'un texte écrit par les « doctes » de ce groupe entourés de conseillers amérigains (Oui amérigains et non américains...) et d'autres sionistes, un texte à la mesure de leurs prétentions criminelles et ainsi pour se garantir une immunité et surtout une impunité. Et afin de duper le peuple ils sont tous drapés de la religion musulmane alors que leur unique religion est celle-là même du libéralisme, celle de l'argent volé de toutes les manières y compris et surtout par les agressions, les guerres, les bombes et toutes les armes à destructions massives.
Quant au Parlement c'est un cirque de très mauvais goût dans lequel les acteurs ne sont que des clowns qui sont payés en conséquence et comme tels. L'ensemble constitue leur manière de concevoir la démocratie.
Enfin la Démocratie et le Libéralisme sont totalement incompatibles...
Ce fut son temps durant des années.
Certains, qui ont la prétention d'occuper cette place se font pressants à l'endroit du Président et vont jusqu'à lui enjoindre d'exhiber qui de sa feuille déroute, qui de sa vision, et d'autres, ou tous ensemble, de son programme.
Tout ce beau monde est emporté par l'envie de lui en montrer à ce petit professeur, ou M. A., qui a ravi la premier place.
Sans doute, aussi, leur hargne vient de ce qu'il fait montre de détermination et se passe quelque peu de leurs conseils si avisés.
Je crois que les exigences, parce qu'à les lire cela y ressemble fort, qu'ils veulent imposer montrent à quel point ils ignorent les contraintes de la situation.
Et, en premier lieu, tout le poids des déterminations qui limitent les possibles de l'agir.
Le chant du monde lui adresse sur air déjà connu ses conseils, ses avis et même ses recommandations.
Difficile de se déclarer hors champ et arbitrer seul car nous sommes dépendants, parce qu'en relations.
Toutefois, les relations ne nous emprisonnent pas. Il nous échoie toujours notre part de décision. Et, nul ne serait fondé à en disputer la légitimité.
Kais Saied, de ce point de vue, semble avoir partie gagnée. Même les pressions ne le font pas reculer.
Sur la scène nationale, les questions sont autrement plus lourdes, la dimension institutionnelle y occupe la part la plus grande.
En effet, presque tout l'appareil d'Etat est atteint par une perversion organique. D'aucuns datent cela de bien plus longtemps, et cette facilité d'attribution rend service à ceux qui ont noyauté toutes les administrations de façon systématique. Or, c'est le c'?ur du problème et c'est sur cette question que se cristallise toute la résistance au changement.
La Justice, appareil essentiel, reste liée par des personnes bien placées aux islamistes, ceux qui risquent le plus, et moteur de la résistance contre le coup du 25/7.
Mais, les autres appareils demeurent sous influence ou traversés par des luttes internes à propos de la donne nouvelle puisqu'ils y perdraient ou seraient débarqués si le processus en cours va à son terme.
Tant de chantiers, si l'on y ajoute les sous-préfets qui sautent du bateau pour s'éviter une purge.
Toute personne raisonnable admettrait sur ces réquisits l'urgence de ne pas sauter les étapes.
Elle comprendrait que presser le pas conduirait à négliger des éléments et laisserait inachevé un projet de refondation.
Pas utile d'insister sur le danger d'une perspective semblable, et nul ne peut s'aventurer à nier que la revanche des foys de dieu serait sanglante.
Il me paraît de mauvais conseil d'entonner avec les si intéressées élites la rengaine de cela fait deux mois qu'on attend....
Cela fait dix ans qu'on subit, et nos élites n'ont pas chanté à l'unisson qu'on en finisse, qu'on en finisse....
Le meilleur service à nous rendre à nous-même est de soutenir ce que le Président a initié. Et, si l'on est soucieux que cela aille dans ke bon sens de nos intérêts collectifs, on y participe. On milite en faveur ou au moins on soutient, fût-ce de façon critique.
Quand à Ennahdha, Karama, nous devons vriller tous à ce qu'ils soient jugés à raison de ce qu'ils ont fait. Leurs actes, leurs paroles, et complice serait qui croirait ou dirait cela secondaire.
Le Président ne règle pas de comptes, comme veulent l'insinuer de doctes personnages dont la hauteur de pensée ne va plus haut que le niveau de leur menton.
Ceux qui nous ont réglé notre compte, ont tenté de nous dresser comme on dresse les bêtes, ont empli nos c'?urs de cette envie ravageuse pendant qu'ils volaient, détournaient l'argent dévolu aux besoins basiques du pays, qui ont installé la terreur et l'ont même exportée, sont ceux qui se réclament du droit et de la démocratie à des fins d'usage circonstanciel.
Ils sont les premiers ennemis du droit et ils l'ont montré. Nous l'avons vécu, et nous sommes en lutte aujourd'hui contre toutes les embûches qu'ils ont placées sur le chemin de la justice et du droit.
Ne pas se tromper de combat, c'est déjà épargner ses forces.
Je crois savoir que le GOUROU rêvait d'utiliser l'article 80 mais voilà le destin a choisi ROBOCOP!
Bande de débiles et de crétins indécrottable....
Je m'adresse au president pour lui exprimer ma solidarité et le prevenir que lorsqu'on ouvre un chantier il faut aller jusqu'au bout des racines du mal et tres tres vite sinon il risque le retour des flammes qui peuvent bruler le pays en entier.