Ma fille en 2ème année primaire cette année, a subit l'année dernière une enseignante titulaire et avec beaucoup d'année d'expérience et ne lui reste que qlq années pour sa retraite. Ma surprise était dès la deuxième semaine après la rentrée. Ma fille était très motivée, enfin elle accède à l'école et puis voilà dès la deuxième semaine elle a commencé à les punir et pourtant ma fille est une brillante élève (17 de moyenne avec tous ces problèmes) , elle est rentrée un jour avec des bleu sur sa main (la raison ? elle a dessiné une fleur sur son ardoise avec le mot qu'elle devait écrire: on n'est pas en séance de dessin m'a dit sa maîtresse), si quelqu'un voulait aller aux toilettes il doit recevoir des coup de battons avant d'y aller,
Un jour elle a donné des coup de battons à un enfant que sa main a saigné, des coup de pieds, elle tire les cheveux, une fille avec des bleus à son bas de dos ...
Ma fille a déprimé elle ne voulait plus aller à l'école, un stress chaque matin
Je suis allée me plaindre au directeur deux fois après avoir rencontré cette bête qui fait enseignante à une classe de première année primaire... finalement j'ai dû la changer de classe à la fin du 2ème trimestre
J'ai préparé un dossier pour me plaindre au délégué de la protection de l'enfance mais que je n'ai malheureusement pas déposé (aucun parent n'a voulu signé) et le directeur qui me répète à mainte reprise quand j'ai demandé de la changer de classe: madame où est le problème ? vous êtes sûre que c'est seulement à cause des coups de battons ? vous savez c'est la meilleur enseignante à cette école ? et puis il n'y a plus de place dans les autres classes, je dois la mettre dans une classe avec une maîtresse débutante ?
Cette année c'était décidé une école privée et ça se passe mieux ...
Je c'est que c'est une expérience personnelle et elle peut aussi être un cas isolé mais je suis entrain d'entendre des histoire qui prouve que ce n'est pas le cas et la réaction de ce directeur laisse croire que les mentalités n'ont finalement pas changé

A quand la réaction de l'UGTT pour condamner les propos infames de ce syndicaliste débile et imbécile. Un élève ne va pas à l'école pour recevoir des gifles, il y va pour recevoir des connaissancess. De plus il est strictement interdit la violence qu'elle soit exercée par les profs, les instits ou les élèves ou les parents de ces élèves.
Imaginez la réaction de ce débile de syndicaliste si c'est l'instit qui a reçu de tels coups, on aurait 2 jours de grèves et des syndicats pleurnichards sur le métier difficile des profs (il est vrai qu'ils enseignent 6 mois par an et le reste des vacances) et font des heures supplémentaires à gogos pour sucer le sang des familles tunisiennes.
Donc bravo au ministre, l'affaire doit être portée au tribunal et l'enseignant en question si elle est condamnée doit être empêchée à vie d'exercer ce métier.

J'aurai eu la même réaction si c'étais le ou la prof qui est violenté par un élève ou par ses parents avec exclusion définitive de l'élève si c'est lui qui exerce la violence ou une peine de prison ferme pour le ou la parent de l'élève.

Dialogue imaginaire entre l'enfant supplicié et sa maman.

La maman passa la main sur son front, s'obligeant à respirer avec lenteur pour chasser le cauchemar qui pulsait encore dans chacune des fibres de son corps. Elle se leva sans bruit.

' « Que t'arrive-t-il murmura-t-elle ?
Il y a deux réponses à ta question maman. Comme à toutes les questions, tu le sais bien. Soit, une réponse de savant, soit celle d'un poète. Je commence par laquelle ?
-Celle du Savant.
-Je croyais aller à l'école pour apprendre, je constate que l'on y pratique aussi de la maltraitance.
-Elle est hors de propos cette réponse, la preuve le syndicat des enseignants la trouve exagérée, excessive même, à ton âge on n'a pas idée de l'impact des mots, donne-moi celle du poète.
' Un mauvais rêve. J'ai l'impression que tout s'écroule autour de moi.
-Comment ça ? Raconte. Je pensais les femmes moins violentes que les hommes. Je découvre avec beaucoup d'amertume que chacun est porteur de l'humaine condition. Homme ou femme n'a strictement aucune importance quand on fait face à l'horreur.
La maman interloquée ajoute :
-«Sais-tu que l'on se construit plus par les drames auxquels on survit que par les bonheurs que l'on vit ? ».
-Elle est nulle ta réponse maman, tu sais que je vais devenir borgne et toi, au lieu de me consoler, tu me sors de grandes envolées lyriques, toi-aussi tu exagères maman !

Réprimant difficilement sa souffrance la maman ajouta ironiquement :
-Comme ça tu ne verras que la moitié des atrocités humaines mon fils.
-Oh oui, ça va me faire une belle jambe. Je vais marcher un peu Maman. Pour oublier' »

Le syndicaliste devrait etre renvoyé aussi... mais dans la République de l'impunité il n'y a que des irresponsables.

Les coups violents sur l'oeil, entraînent généralement un décollement de la rétine.

Il aurait été être dirigé rapidement et le jour même sur Tunis, où les hôpitaux disposent de matériels et d'ophtalmologistes compétents.
L'oeil de cet enfant est probablement perdu.
Personne ne peut évaluer les conséquences du décollement de la rétine.

Exagération, oui, c'est le moins qu'on puisse dire : le gosse avait deux yeux, elle lui en a quand même épargné un ... Qu'en serait-il si elle avait touché les deux yeux ?? Faut pas exagérer, tout de même!!!

en espêrant qu'elle servira de leçon aux autres

cas isolé ? qu'elle menteur celui-la

tout le monde le sait que battre des élèves dans les écoles en tunisie est monnaies courante.

les brimades et autres ont un effets psychologique énorme sur les enfants

il faut tout réformer et mettre à la porte les sauvages et les incompétants

De quelle formation pédagogique s'agit-il?. Il est temps qu'un syndicat reconnaisse le tord de l'un de ses membres, lorsque le tord est si évident, et de présente des excuses, et même d'appuyer les réprimandes contre leurs membres fautifs. Non pas de trouver des excuses ridicules, m[eme quad il s'agit d
On n'a besoin d'aucune formation pédagogique ou autre pour savoir qu'il est interdit, strictement interdit, de frapper un enfant quelles que soient les circonstances. C'est clair et simple.

Heureusement que c'est une enseignante; sinon, qu'est-ce-que ce serait si c'était un enseignant ! L'élève serait sorti sur une civière ?!!!