
Douze décès et plus de 200 personnes égarées ont été recensés parmi les pèlerins tunisiens de Ben Guerdane à la Mecque. C’est ce qu’a affirmé, mardi 18 juin 2024, un activiste de la société civile, Achref Oudreni.
M. Oudreni a ainsi précisé, au micro de Khaled Abidi dans l’émission La Matinale 7/10, sur les ondes d’IFM qu’en l’espace de 36 heures douze décès ont été enregistrés parmi les pèlerins de Ben Guerdane, notamment à cause de la chaleur. 75 à 85% des pèlerins de Ben Guerdane seraient égarés, toujours selon ses dires.
L’activiste a fait porter la responsabilité de cela aux accompagnateurs, estimant qu'il y a négligence et absence totale de responsabilité de la part des accompagnateurs mais aussi des agences de voyages.
Plus tôt dans la journée, le chef de la mission sanitaire des pèlerins tunisiens Hamadi Soussi avait admis que des décès et des personnes égarées ont été recensés parmi les pèlerins tunisiens à la Mecque, mais qu’il était difficile de déterminer avec exactitude leur nombre avant d'avoir visité tous les hôpitaux concernés.
I.N.



Comme les Talibans ont bénéficié de l'aide de la CIA et du MI6 pour reconquérir l'Afghanistan, les tribus de Abdel Wahab et de Ibn Saoud connues pour être sanguinaires, reprendront la Mecque et Médine avec l'aide des hommes de Winston Churchill y compris Laurence d'Arabie.
Abdel Wahab se considérait aussi puissant que le Prophète Mohamed et avait comme passe-temps favori celui de couper les têtes de ceux qui n'étaient pas d'accord avec lui.
Il n'y a pas de contrainte en matière de religion sauf avec ces tribus barbares et dégoutantes qui ont de tout temps supplanté la parole du Prophète à leur profit.
En 1802, ces tribus aussi sympathiques que Netanyahu et ses hommes, prirent Karbala exterminant la quasi-totalité de la population et détruisant tous les dômes Chiites.
En 1899, un aristocrate du nom de Lord Curzon établit contact avec la tribu Al Saoud après quoi ces tribus archaïques recevront de l'aide en armes et en munitions, le but étant de rependre la ville de Ryadh gouvernée par la tribu Al Rashid qui était de mèche avec l'empire Ottoman que Londres voulait détruire.
Ce qui n'aida pas les Hachémites fut leur refus de coopérer dans le projet de création d'un état Juif en Palestine, un projet établi très tôt par l'empire de Londres.
En 1917, le salaire du Sheikh Ibn Saoud était de 5000 livres Sterling puisqu'il était officiellement devenu un employé du gouvernement Britannique.
La conquête de l'Arabie Saoudite aidée des espions Anglais sera achevée en 1920 et sera soldée par quarante milles décapitations publiques.
Le raisonnement de Londres était le suivant : La tribu Ibn Saoud est cruelle et organisée, elle sera efficace dans la reconquête de l'Arabie Saoudite.
Le même raisonnement fut suivi en Afghanistan quand on annonça a Jimmy Carter que choisir Al Qaeda et les Talibans était un bon choix pour reprendre Kaboul puisque ceux-ci étaient cruels et organisés ; Les Talibans excellant en l'art d'écorcher vifs leurs prisonniers.
Il est intéressant de noter que la tribu Al Saoud aura conquis La Mecque et Médine faisant appel à de la sous-traitance en ce que l'on a appelé à l'époque les « Ikhwan » qui deviendront plus tard les frères musulmans et qui plus tard aussi mineront des pays comme l'Egypte, l'Algérie, et la Tunisie.
A noter aussi que peu après, c'est-à-dire en 1924, l'empire Turk aura comme leader Kamal Atatürk qui comme Bourguiba, reconnaitra en l'Islam un danger mortel pour le monde, et surtout celui Arabe.
En 1927, le roi Ibn Saoud signera un traité d'indépendance avec Londres lui garantissant le titre de roi de l'Islam et protection militaire en échange de concessions pétrolières dans une Angleterre assoiffée de pétrole au lendemain de la révolution industrielle.
Une révolution industrielle que les Arabes y compris les Tunisiens ne connaitront jamais à cause des disciples que les Ibn Saoud auront généré comme Rached Ghannouchi le dégoutant qui a supplanté des génies comme Bourguiba et Ben Ali.
Pauvre Tunisiens, vous ne savez pas qui vous avez libéré de leurs cages avec votre révolution de gueux.
JOHN WAYNE

