De source digne de foi, on apprend que la présidence de la République a constaté la disparition de plusieurs documents des archives. Une enquête est en cours et elle est menée, conjointement, par les services de la présidence et les services des Archives nationales.
Selon les premiers résultats de cette enquête, on a trouvé les archives dans un état totalement délabré. Notre source indique que les « fouilles » menées dans ces archives n’ont pas du tout respecté les normes en la matière et encore moins la réglementation en vigueur.
Les archives en question ont été consultées d’une manière sauvage et barbare lors de l’élaboration du Livre noir, qui a épinglé les journalistes proches de l’ancien régime, mais aussi par des membres de l’Instance Vérité et dignité. Le constat de la disparition des documents d’archives est basé sur des preuves solides et cette disparition remonte à l’époque de Moncef Marzouki. Quant à la nature des documents disparus, ils impliqueraient des membres de la troïka au pouvoir entre fin 2011 et fin 2014.
R.B.H.
Des institutions il y a un archiviste,seul
A accès aux archives avec caméras et
Coffre inviolable,pas de photocopieuse
A l'intérieur pour éviter les fuites et
Local interdit a toute personne y compris
Le président,et il faut une autorisation
Signée par un tribunal pour pouvoir
Visualiser un seul document et la signature de plusieurs responsables.
Chez nous en Tunisie on a la facilité
Et le vas y,c'est pas grave,vient voir
Jette un coup d''il,passe moi la chemise
N'importe qui fait ce qu'il veut sans
Contrôle,et pour cela on a des fuites
Partout et surtout au ministère de l'intérieur au top secret et ça circule
Même sur internet.
Manque d'organisation et de punition
Pour délit et un laisser aller depuis
La révolution dans tous les secteurs.
La Tunisie de 1956, 1987, 2011 et possiblement 2015 ne fait malheuseument pas exception.
Continuons à nous occuper des petites querelles intestines de ce soit-disant parti au pouvoir qui ne mérite même pas son nom.
En Tunisie, il n'y a pas d'Etat. En Tunisie il y a des passagers au Palais de Carthage qui effacent tout ce qui existait, et qui reprennent tout à leur compte. Jusqu'à ce jour, je ne connais pas exactement l'Histoire de mon pays, pour la période 1956 à 2015. Tout est truqué, tout est manipulé, tout est faux.
L'Instance Vérité et Dignité est bien avertie : tout ce que demandera Sihem Ben Sedrine aux archives de la présidence de la République, sera déclaré perdu, disparu, volé, envolé, détruit, emporté, par les autres bien sûr, par des inconnus bien sûr.
centenaires comme l'EST y figurent comme de vulgaires corrompus, en est témoin.