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Samir Seriati : Mon père a poussé Ben Ali à partir car il ne pouvait plus le protéger
11/01/2017 | 15:03
1 min
Samir Seriati : Mon père a poussé Ben Ali à partir car il ne pouvait plus le protéger

Le fils aîné de l’ancien chef de la sécurité présidentielle de Zine El Abidine Ben Ali, Samir Seriati, est revenu, ce mercredi 11 janvier 2017, sur les propos de Belhassen Trabelsi accusant son père d’avoir été à l’origine de la fuite de Ben Ali.

 

Samir Seriati  a précisé que cela n’a jamais été démenti et que oui Ali Seriati a bien poussé l’ancien président à fuir le pays avec sa famille « car il ne pouvait plus le protéger et craignait pour sa vie ».

 

« Ali Seriati avait pour travail et unique mission de protéger jusqu’au dernier moment la vie du président de la République et tout portait à croire, selon les données fournies par la salle des opérations, qu’une attaque allait viser le palais de Carthage, ce qui a amené mon père à conseiller Ben Ali de prendre la fuite et de quitter le pays avec sa famille », a déclaré Samir Seriati.

 

« Pour comprendre l’importance de ce geste, il suffit de voir ce qui s’est passé dans les autres pays qui ont fait ce qu’on appelle la révolution des pays arabes, et le chaos qui a régné dans les pays où le président est resté » a-t-il ajouté.

 

M.B.Z

11/01/2017 | 15:03
1 min
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Commentaires (10)

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Desert Eagle
| 12-01-2017 11:35
Si les americains n'avaient pas déclenché le printemps arabe, Ben Ali ainsi que le guide Mouammar seraient toujours au pouvoir aujourd'hui et nous serions dans un monde plus sûr

Temoin
| 11-01-2017 19:16
Vous êtes réellement en colère !! Pour perdre toute votre lucidité. Ou avez vous lu que je parle de " révolte populaire " ou de "Révolution "? Je vous invite a relire et sans colère cette fois-ci. Pour ce qui est du pseudo utilise, avec votre respect, je n'eprouve pas le besoin de solliciter votre autorisation d'autant plus que je suis persuade que j'ai cette qualité concernant les événements du 26 janvier 1978. Cordialement

Tune en colère
| 11-01-2017 18:05
On ne te demande pas de Témoigner M Temoin!
Juste pour te dire que tu n'as rien compris et tu ne comprendras jamais ce qui est arrivé en Tunisie et surtout ne parle pas de Révolution ou de mouvenent populaire ou syndical!!(voir le nombre de mort en Syrie,Iraq,Yémen).
Et vous continuez à faire avaler à votre subconscient que c'est........

Témoin
| 11-01-2017 16:58
Pour un ancien de la sécurité et du renseignement je trouve étonnant que vous qualifiez les événements du 26 janvier 1978 de "révolte populaire". Non Monsieur Wayne.Il s'agissait d'une lutte pour le pouvoir entre fractions du régime et dans laquelle le mouvement syndical a été instrumentalisé. Je sais que cette version n'arrange pas beaucoup de parties mais ceci est la stricte réalité des choses.

Carthage Libre
| 11-01-2017 16:51
Je haissais grave Ben Ali. J'ai même subit personnellement les affres de la police politique de Ben Ali, rue Charles Degaulle. Ben Ali a été aussi à l'origine de l'appauvrissement intellectuel des jeunes tunisiens, ce qui les a poussé dans les bras de l'islamisme, c'est un fait indéniable.

Mais il y'a une chose que je voudrais dire ; il est vrai que Seriati fut dans le serail de Ben Ali, mais il n'a pas profité comme les Trabelsi d'argents et autres larcins organisés. C'est un Patriote, même s'il était dans le camp ennemi pour moi dans les années de la Dictature.

Aujourd'hui, c'est indéniable de dire que c'est une compétence sécuritaire hors-paire. Et les Islamistes? Il les connait sur le bout des doigts.

DONC, dans le contexte sécuritaire actuel, avec une Nahdha qui cherche à TOUT PRIX à faire entrer ses "enfants en colère" en Tunisie, afin d'en faire un instrument de chantage sécuritaire, Ali Seriati est l'homme de la SITUATION de par son exepréience ; pour le bien de notre pays, il doit absolument contribuer dans des postes décisionnels élevés à la sécurité nationale de notre pays. Il faut que l'on fasse entendre notre voix à ce propos.

bahrila
| 11-01-2017 16:23
rien à rajouter rien à ôter.La messe est dite

JOHN WAYNE
| 11-01-2017 16:11
Le General Ali Sériati est un des plus grands Patriotes que la Tunisie ait jamais formé en plus d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Il s'agit d'un homme exceptionnellement intelligent, loyal, intègre, et au sens de l'organisation hors du commun.
Cet homme était pris entre deux feux le jour du 14 Janvier 2011.
Il a subi les menaces du général RA et de sa clique chapeautée par l'ambassade Américaine et a décidé de protéger le Président Ben Ali jusqu'au bout.
Son plan d'évacuation de Ben Ali et de sa famille par avion vers un autre pays a été décidé à la dernière minute et face à une menace croissante de du général RA et de ses officiers qui menaçaient la vie du Président et de sa famille.
Il s'agissait de menaces d'assassinat directes en plus d'une menace de laisser les foules envahir le Palais de Carthage et de saccager ce qui constitue un Patrimoine National.
L'arrestation du général Sériati a été décidée par le général RA et sa clique dans un souci de sécurité car Ali Sériati de par ses compétences était le seul qui pouvait prendre les rênes du pays et gérer une situation de chaos grandissante.
Sauf que le général Sériati n'a jamais eu l'intention de prendre le pouvoir car sa loyauté pour Ben Ali était inébranlable.
Trahir n'existe pas dans les réflexes des vrais orphelins de Bourguiba.
Trahir est l'atout et l'arme majeure des traitres et des larbins des sionistes et de l'OTAN comme Kamel L., Kamel M., le général RA, et surtout BCE dont la fonction sociale consiste depuis des décennies a divertir Wassila Bourguiba afin de préserver un poste a la fonction publique, et à fournir avec Kamel L. des renseignements concernant Ben Ali aux différents agents de la CIA et aux ambassadeurs Américains.
L'histoire discerne depuis des siècles entre deux genres d'individus :
Les Patriotes qui finissent dans la gloire.
Et les traitres que l'histoire déculotte au fur et à mesure car trahir son pays est indélébile est ne peut guère être effacé par des virements du Qatar et des prix Nobels sionistes.
Sériati est un Patriote au même titre que Farhat Hached, Bourguiba, Ben Ali, et tous ceux qui ont fait de la Tunisie une Nation indépendante.
Les autres, mêmes avec leurs Ecus du Qatar et leurs amis de la CIA n'ont qu'une destination au fil du temps :
Les égouts de l'histoire ou se cachent les rats dégoutants qui ont vendu leur Nation a ses ennemis.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.

Pourquoi?
| 11-01-2017 15:59
comme le prétend indirectement Belhassen Trabelsi? Si oui, pourquoi?

http://www.businessnews.com.tn/belhassen-trabelsi--une-grande-partie-deecs-sest-jouee-entre-ali-seriati-et-raid-ammar,520,69518,3

Est-ce que Ali Sariati est vraiment un héros qui a sauvé son maitre?

Il est évident que la réponse de Samir Seriati n'est rien d'autre qu'une réponse de justification de son père (Ali Sariati) à l'intention de Belhassen Trabelsi.

JOHN WAYNE
| 11-01-2017 15:52
CATALOGUE 2014 SIMPLIFIE DES TRAITRES DE LA NATION TUNISIENNE:

PUBLIE SUR BUSINESS NEWS LE 22 AVRIL 2014

La révolution Tunisienne est une révolte populaire au même titre que le 26 Janvier 1978 ou le 3 Janvier 1984, sauf que cette dernière a servi d'écran de fumée a un coup d'état de la CIA qui comme dans les pays d'Amérique Latine, a plongé la Tunisie dans un chaos qui lui sera fatal.
Les coups d'états de la CIA réussissent quand ils jouissent d'un support de l'armée d'un pays donné, d'une portion de son peuple, mais aussi de la coopération de personnes importantes du gouvernement visé ou de son opposition.
Le coup d'état contre Chavez de 2002 à échoué car cet homme jouissait d'un support populaire important et d'une certaine loyauté de l'armée nationale dont il était membre, même si ce coup d'état a bénéficié de la coopération de membres de l'opposition à la solde de la CIA mais qui étaient peu nombreux et peu crédibles.
Le coup d'état contre Mossadeq à Téhéran de 1953 à réussi car cet homme laïque et socialiste était haï par les Mollahs de la ville de Qom et la classe chiite antimoderniste nombreuse. Sans compter l'appui de l'armée et de son général Zahidi dont a bénéficié Kermitt Roosevelt, petit fils du Président Roosevelt et agent de la CIA et du MI6 en mission à Téhéran.
Le coup d'état du 14 Janvier 2011 aura été brillement effectué comme jamais auparavant. La CIA aura bénéficié d'une coopération parfaite de membres du gouvernement de Ben Ali, de son opposition laïque ou islamiste, et d'une armée nationale devenue au fil des années le frère ennemi de la Garde Nationale et de notre Ministère de l'Intérieur.
Qui sont ces hommes ou ces femmes qui ont coopéré avec la CIA dans la chute de Ben Ali et dans le démantèlement de la Nation Tunisienne ?

Kamel M. : L'homme de la CIA. Apparenté au Président Ben Ali, il aurait été sollicité très tôt par la CIA pour être celui qui devait remplacer l'homme du 7 Novembre 1987. De nombreuses réunions avec des agents de la CIA en Tunisie et à l'étranger auraient traité du remplacement de Ben Ali par cet homme au passé diffèrent des membres du gouvernement Tunisien habituels. Cet homme était sous écoute téléphonique depuis son arrivée en Tunisie après une carrière avec l'ONU. Des écoutes qui n'ont jamais été concluantes. Il n'aurait mis au courant des intentions des Américains qu'un seul homme : le général RA. Il a suivi de près le déroulement du coup d'état du 14 Janvier 2011 et avec le général RA, et a participé aux négociations qui devaient garantir l'exil de Ben Ali en Arabie Saoudite. L'octroi de passeports diplomatiques à la famille de Ben Ali n'avait pour but que d'accélérer l'exil du Président menacé dans son palais par les blindés de l'armée nationale.

Le général RA : L'homme de l'OTAN. Choisi par la CIA bien avant le 14 Janvier 2011, il aurait effectué le coup d'état contre Ben Ali en étant en contact constant avec des agents de la CIA déguisés en diplomates Américains en poste à l'ambassade des Etats Unis à Tunis. Des communications entre des agents de la CIA et le général RA ont été interceptées dès le 11 Janvier 2011 par un scanner de l'ambassade de France à Tunis. Celles-ci ont été transmises à l'Elysée sans avoir fait l'objet d'une attention particulière. C'est par la menace et en utilisant comme intermédiaire Ali Sériati que le général RA a pu convaincre Ben Ali de quitter le palais de Carthage vers l'exil. La non-coopération de Ben Ali devait ses solder comme pour le coup d'état de Saigon de 1963, par l'assassinat de Ben Ali et de sa famille. Le refus de Ben Ali de coopérer et de quitter devait se solder par un assaut armé du Palais de Carthage et l'assassinat du Président et de sa famille. Un assaut qui aurait bénéficié d'une coopération logistique de membres des forces spéciales Américaines également en contact avec l'armée Nationale et l'ambassade des Etats Unis à Tunis et qui auraient de leur base de la sixièmement flotte en Méditerranée, utilisé la base militaire de l'Aouina comme lieu de débarquement.








JOHN WAYNE
| 11-01-2017 15:49
CATALOGUE 2014 SIMPLIFIE DES TRAITRES DE LA NATION TUNISIENNE:

PUBLIE SUR BUSINESS NEWS LE 22 AVRIL 2014

BCE : L'homme du Qatar. Désigné par la CIA et l'armée Nationale comme premier Ministre par intérim, il aurait accepté de participer à l'attaque de la Libye par l'OTAN. En coopération avec le général RA et suite à de nombreuses réunions à Doha pendant l'été 2011, il aurait établi avec le Qatar et la CIA, un plan d'infiltration des forces loyales a Kadhafi par le Sud Tunisien et une aide militaire aux rebelles de Nefoussa. BCE a raté une opportunité historique de sauver la Libye et les Libyens de la destruction. En effet, une opposition même politique à l'attaque de la Libye par l'OTAN de la part du gouvernement Tunisien, ajoutée à celle de l'Algérie, aurait eu un effet bénéfique pour Kadhafi et aurait évité au guide de succomber à Syrte. Les conséquences des actions de BCE sont incommensurables et seront un jour comparables aux méfaits d'Ahmed Chalabi en Irak et sa coopération avec le Pentagone. Il est très probable que le Libye rejoigne le rang des Nations qui comme l'Irak subissent une destruction quotidienne progressive. Mais les actions de BCE ont pour conséquences aussi graves la destruction possible de la Tunisie par les forces d'Al Qaeda ayant fait de la Libye une base aussi dangereuse que l'Irak ou l'Afghanistan. Les attaques terroristes qu'ont subi le Mali, l'Algérie, et la Tunisie sont les conséquences directes des accords entre BCE et le Qatar signés pendant l'été 2011. Le rapatriement des islamistes Tunisiens et de Rached Ghanouchi par BCE afin de contrer les Benalistes au pouvoir et dans les forces du MIT, est un autre aspect de la destruction que BCE aura engendré pour la Nation Tunisienne.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.