Il n'y a que la vérité qui blesse. Mon audace démontre que je suis tunisien libre et que vous ne pourrez jamais m'intimider ni vous -mêmes ni vos médiocres et traitres d'ennahdha, que vous essayez (dans l'erreur) de défendre, que je combattrais jusqu'au dernier souffle. Et ce à l'aide de mon style d'écriture qui me permet d'être félicité par tous les connaisseurs ; et c'est ce qui me permet, entre autre avec mon écriture, entre les lignes, de dévoiler les malfrats et les traitres. Et le plus important, c'est d'utiliser mon arme infaillible, celle de l'écriture. Qui enrage ennahdha, j'en suis certain, par contre qi rend plus fier de ma magnanimité ; il n' y a de peur que de Dieu et non pas de ces tartempions qui ne connaissent Dieu que pour marchander. Vous ne pouvez jamais m'impressionner pour arrêter d'écrire.
« L'écriture est une arme de défense, de tir, l'écriture est une grenade, un missile, un lance-flammes, une arme de guerre. Elle peut tout dévaster, mais elle peut aussi tout reconstruire » : Citation de Delphine de Vigan.
Quant à moi, sans vantardise, tout le monde reconnait, que mon écriture peut reconstruire ; si ce n'a été déjà accompli auparavant, mais par contre m'a causé d'énormes tracas, il faut le reconnaitre, dont ce n'est pas le moment de raconter.
En somme, vous me procurez plus d'assurance avec ce pseudo-blâme.