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Béji Caïd Essebsi reçoit Besma Khalfaoui
18/06/2015 | 14:34
1 min
Béji Caïd Essebsi reçoit Besma Khalfaoui

 

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a reçu, le 18 Juin 2015, Besma Khalfaoui la veuve de Chokri Belaïd, au palais de Carthage.

 

La réunion a porté sur l’avancement de l’enquête sur l’assassinat de Chokri Belaïd et sur les raisons de certains ralentissements dans le traitement du dossier.

 

Béji Caïd Essebsi a exprimé sa détermination à faire le nécessaire s’agissant d’une priorité nationale

 

M.B.Z

18/06/2015 | 14:34
1 min
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Commentaires (7) Commenter
@ mongi awadi
Salem
| 19-06-2015 12:07
Bien sur que les gens comme toi l'encourageront, mais sa comédie à assez durer. Tu es l'aboyeur de service, continue à défendre l'indéfendable.
@ mongi awadi
Salem
| 19-06-2015 12:04
Bien sûr que les gens comme vous l'encourageront, s
@salem
mongi awadi
| 18-06-2015 21:41
Ne parle pas au nom du peuple car tu ne le représente pas et tu ne le représentera jamais
Cette femme vaut 10 hommes comme toi !
Une question de salut national
tounsia2
| 18-06-2015 20:39
Lors de la compagne électorale de 2014, BCE s'est engagé devant les Tunisiens à faire la lumière sur l'assassinat de Chokri Belaid, qu'il a qualifié de "question de salut national" ; Six mois après, rien n'a été fait et le terrorisme continue à récoler des vies humaines ; Pire encore, ceux qui portent la responsabilité, au moins politique et morale de cet assassinat, comme le ministre de l'intérieur et de la défense de l'époque, sont encore au sommet de l'Etat et Continuent à nous gouverner, alors qu'ils auraient dû être sanctionnés et éloignés du pouvoir tant que la responsabilité des uns et des autres n'a pas été déterminée. A mon humble avis, l'affaire "Choki Belaid" est la clé du salut de la Tunisie et aucun gouvernement ne pourra instaurer la sécurité et la paix sociale tant que les commanditaires des assassinats de Belaid et Brahmi sont libres. . .

Bon Ramadan à Tous et paix à l'âme de tous ceux qui nous ont quitté, pour un monde meilleur, j'espère. . .
De la comédie
Salem
| 18-06-2015 19:50
Le peuple n'en à rien à faire de cette femme qui représente que sa personne et est en manque de notoriété. Que la fausse copie de Carthage s'occupe d'autres choses.
Et les Hafedh el ouni et autres ils sont où ?
MIG17
| 18-06-2015 16:25
Voici un copier/coller d'un article de businessnews sans aucun commentaires daté de 2014 :
A voir de vois et comprendre qui sont ces traitres !!!
Dans son édition du 4 novembre 2014, le journal arabophone « Akher Khabar » fait certaines révélations concernant l'infiltration des services de sécurité tunisiens et particulièrement du ministère de l'Intérieur.

Dans l'article, il est fait mention des noms de certains dirigeants du ministère de l'Intérieur qui ont été épargnés alors que leur connivence avec des réseaux terroristes était probable. D'autres ont même été dépêchés à l'étranger, quand Ennahdha était au pouvoir, pour fuir toute espèce de procès. Le journal cite Riadh Beltaïef, ancien directeur général de la formation, qui a été nommé à la tête du bureau de la délégation sécuritaire en Côte d'ivoire. Ce dernier s'était retranché dans une mosquée au Omrane juste après son éviction de la formation.

Un autre cas grave est celui de Skander Deghrir. Il était le chef de la brigade des blindés de la Garde nationale. M. Deghrir est impliqué, selon le journal, dans la fourniture à des éléments terroristes de lunettes infrarouges, de chaussures militaires et de tenues de combat. Skander Deghrir a été nommé, après ouverture de l'enquête, en tant que chef d'une délégation onusienne.

Le journal évoque également le cas de Hafedh El Ouni. Ce dernier a été transféré à la direction de la protection du chef d'Etat et des personnalités officielles. Le journal note que Hafedh El Ouni est cité dans le dossier qui a été porté à la cour africaine concernant l'assassinat de Chori Belaïd. D'autres soupçons tournent autour du patron des directions techniques qui aurait fait fuiter des enregistrement d'écoutes téléphoniques à certains leaders d'Ennahdha dont Tahar Boubahri et le fils de Ali Laârayedh.
L'OMERTA
tunivigil
| 18-06-2015 15:25
ce dossier n'aboutira jamais à la vérité car l'intéret supérieur de la nation est en jeu ;sinon c'est la guerre civile et l'envahissement par daech ! tous les politiciens savent qui sont les commanditaires de ce crime mais l'omerta prime .