En commémoration du 15ème anniversaire de la disparition de l’ancien président Habib Bourguiba, survenue le 6 avril 2000, le magazine Leaders a publié un livret spécial réunissant un ensemble de documents et témoignages, dont certains sont inédits.
Ce livret comprend des textes qui reviennent, pour la première fois, sur les dessous du rapport médical qui avait permis, le 7 novembre 1987, de démettre Bourguiba de ses fonctions. En exclusivité, Leaders publie le témoignage du Dr Ezzedine Gueddiche qui relate les circonstances et les pressions entreprises pour délivrer ce rapport médical.
Le lecteur découvrira également les détails et les conditions de la séquestration de Bourguiba à Monastir ou encore la plainte qu’il a adressé lui-même au procureur de la République pour demander à ce qu’il soit libéré. On pourra apprendre dans ce livret comment il avait vécu les derniers jours de sa vie. Plusieurs témoignages historiques viennent enrichir ce document, dont ceux du journaliste français, Jean Daniel, du médecin personnel de Bourguiba, Omar Chedly et sa petite-fille, Myriam Bourguiba.
Si c'était le cas...il n'aurait rien fait et laissé la Tunisie dans l'état lamentable où elle était...et vous auriez écrit encore plus mal en français...
Ne serait-ce que ça, vous devriez lui être reconnaissant toute votre vie !
A l'instar de la majorité écrasante des tunisiens...dont je suis heureux de faire partie...
MPP
Après la Première Guerre mondiale, il y avait un tout petit nombre de citoyens qui pouvaient, ou que leurs parents se permettaient de les envoyer à l'école, parmi ceux-là y résident dans les grandes villes du littoral Tunisien, Bourguiba natif de Monastir fut parmi ces élus qui pouvaient en bénéficier un don du ciel ! ! !.
Après l'indépendance, les premières grosses entreprises que le raïs entreprend l'éducation de ce peuple, plongé dans la misère et l'ignorance.
Bourguiba homme d'État visionnaire, par sa culture et surtout la maîtrise de la langue de ses adversaires connaissants, leurs méthodes, et leurs façons d'agir
Notre Tunisie a été gouverné par Bourguiba pour un laps de temps en gros une vingtaine d'années, le reste a été octroyé aux successeurs présumés du Rais, mais en son époque beaucoup de maladresses fussent commises, le régionalisme, pour sa ville natale et alentour les universités à Sousse à Monastir distantes à peine d'une vingtaine de kilométres, le nord-ouest ne fut utilisé que pour prendre se richesse, et le laisser à l'abandon.
La maladie et l'âge commencèrent à se faire sentir, chez le Lion, et plus drôle dans tout cela les Vautours qui rodaient tout au tour pour s'accaparer la place, les vassaux ne perdaient pas le nord, la vache à lait pour ces Messieurs était BOURGUIBA, l'intérêt personnel, et la répression féroce des opposants, une institution devenue quasi généralisée dans le pays, et vous connaissaient la suite, Oui Bourguiba père de la Nation, il était présent et apte à conduire ce pays pour un laps de temps .
Pour Bourguiba la démocratie n'était pas sa priorité, coûte que coûte le pays doit et impérativement qu'il progresse, qu'il avance, par cette colossale entreprise qu'ait l'EDUCATION tout azimut, leur ôter cette voûte implacable « l'ignorance » « son fer de lance, » « comme il disait je préfère discuter avec un instruit qu'avec un alphabète » et on ne peut que lui donner raison, son bilan était presque positif s'il n'y avait pas ces opportunités, ces mal intentionnés en l'occurrence en la personne de Mr Mohammed SAYEH et compagnie, c'est ceux-là qui ont sali Bourguiba, certes il était un petit peu hautain et ne trouvait pas en face de lui un ego nourrit d'une aussi brillante culture, et vision des choses comme lui ne pouvant que se résoudre et trouva le champ libre, entouré de flatteurs;et d'inventifs de mots creux vides de tous sens, tel : le combattant suprême, et la dérive vers le CULTE de la personnalité, devenu monnaie courante.
Non Bourguiba n'était pas équitable vis-à-vis de ses compatriotes, l'exemple concret la ville de Béja et alentour bastion du grenier de toute la Tunisie, ne fut créer même pas une seule université, ou une seule grande École, idem pour Bizerte, un régionalisme flagrant, dicté, ou conseillé par un entourage Sahélien vorace, cupide viscéralement vaniteux, prétentieux, nous et nous, le fleuron de la Tunisie grâce à Bourguiba qui vous a tout donné
Bourguiba, son bilan mitigé ni plus ni moins.
Bourquiba ne peut être comparé ni à Leopaul sedard Senghor, ni à Mandela, il était de culture de l'occupant méprisant la nation Arabe inculte, non précurseur d'aucune innovation ni d'aucune modernité, quelconque.
Bourguiba sa puissance est en sa connaissance du Monde occidental pétri du même moule, connaissant leurs arnaques et leurs analyses vicieuses sur un monde Arabe chétif inexistant sur la scène internationale hormis la richesse de leur sous-sol ! ! !
Bourguiba nous lui devons amour et respect c'est la moindre qu'on puisse dire.
Que le Miséricorde lui accorde sa bénédiction.(manai) le 06/04/2015
le role de sa femme Wassila dans les affaires de l'etat, et puis pourquoi n'avoir rien fait lorsqu'il a été destitué d'une façon pas democratique et maintenant vous venez nous raconter des histoires sur le monsieur
Peuple tunisien de part le monde n'avait
Pas besoin de visa pour tous les pays
Du monde et oui,y compris israël qui avait
Salué le discours de Bourguiba a ariha.
Bourguiba avait dit chose importante:
Il y a des individus dont la forme est
Humaine et tendre,mais ils ont le coeur
De tueur carnassier dont on doit se méfier
Et oui se sont les terroristes criminels
Qui détruisent notre pays et tuent pour
Tuer et faire couler le sang.