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Haykel Mekki : Pas de stabilité sans la révision du régime politique !
15/09/2021 | 14:24
2 min
Haykel Mekki : Pas de stabilité sans la révision du régime politique !

 

Le député d'Echaâb, Haykel Mekki, a affirmé, lors de son intervention ce mercredi 15 septembre 2021, sur Mosaïque FM, que son parti soutient le président de la République, Kaïs Saïed et qu’il l’encourage à suspendre la constitution de 2014, à amender le code électoral et à organiser des élections législatives et présidentielle anticipées.

 

Haykel Mekki a souligné que les décisions du chef de l’Etat sont conformes aux attentes du peuple et qu’elles sont venue rectifier le processus de la révolution de 2011. Il a ensuite indiqué que si les grands dossiers, tels que ceux des assassinats politiques, n’ont pas encore été évoqués c’est qu’ils nécessitent beaucoup de préparation. « J’ai la conviction personnelle que le président ne délaissera aucun dossier et que tous seront mis sur la table de la justice. Il doit, cela dit, pousser pour que la justice tranche sur ces graves affaires qui concernent notamment la sécurité nationale » a ajouté le député.

 

« C’est vrai que l’état d’exception dure, qu’il existe une part de flou et de mystère mais celui qui a patienté dix années dans ce chaos, voyant l’Etat malmené et molesté, peut patienter encore un peu et participer, même avec la critique, à faire aboutir le 25 juillet. Le président doit former très vite un gouvernement et clarifier la prochaine étape et au niveau du parti on estime que la stabilité ne peut être instaurée dans le pays sans une vraie révision du régime politique en Tunisie » a-t-il poursuivi.

 

 

Haykel Mekki s’est étonné de voir que des partis s’insurgent contre l’idée d’amender la constitution et estime que la constitution de 2014 a été taillée sur mesure pour servir les intérêts des islamistes. « Il faut dépasser l’article 80 et avoir le courage de prendre des décisions plus audacieuses, la dissolution du Parlement notamment. La constitution n’est pas sacrée et celle-ci particulièrement est minée, il existe des solutions, le referendum est le moyen incontournable pour dépasser cette crise et mettre un terme à ce système qui a fini par exaspérer les Tunisiens » a-t-il confié.  

 

M.B.Z

15/09/2021 | 14:24
2 min
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Commentaires
Tunisino
Ce n'est pas politique
a posté le 15-09-2021 à 18:29
Ce n'est pas politique, c'est idéologique, les intérêts des tunisiens faisant appel aux volet technique, ne signifient rien pour Chaab. Attention aux piège, les idéologues sont catastrophiques.
BIEN
On n´a rien oublié !
a posté le 15-09-2021 à 18:22
Ne c'est-pas Attayar qui a écrit le fameux scenario du putsch? et qui a soufflé toute cette mascarade à l´oreil de Kaiis Saed ?

Cela aura également des conséquences juridiques pour Attayar, comme amen dans l'église !
Forza
Mr. birmil ******
a posté le 15-09-2021 à 17:29
cherche désespérément un poste et à profiter du nouveau régime. Ces nationalistes fascistes et pour leurs intérêts marchent sur des cadavres s'il le faut.
AUCUNE SOLUTION DANS TOUT CE BLA BLA
TEAM-TONIC
a posté le 15-09-2021 à 17:06
C'est typiquement à l'image de leur Fou de Président...
Bla Bla Bla Bla.........
Aucune solution à l'horizon.
Si vous n'avez pas de solution, dégagez et laissez les autres faire.
Hamza Nouira
La réalité.... Et les.kensonges de Haykel
a posté le 15-09-2021 à 16:32
Quand on aura besoin de rien on vous contactera Haykel Mekki!

En attendant retournez vous coucher.
Je ne sais même pas d'où cette individu sort.... Personne ne le connait. Ou ma charaftnesh !

Un référendum pour faire quoi?

Pour donner les pleins pouvoirs a quelqu'un qui n'a fait aucune preuve de son efficacité sur le terrain?
Qui n'a encore rien accompli ?
Ou klena ken bel klem?

Est-ce que vous vous entendez parler sérieusement ?

Donner carte blanche à un Inconnu !

Un référendum n'a pas lieu d'être Haykel Mekki!

Des élections anticipées OUI!

Les personnes qui critiquent, pour la majorité d'entre eux, ne sont pas allés voter!

Dois je rappeler que pour les élections présidentielles de 2019, le
taux de participation nationale était de 45,02 %

Dois je rappeler qu'au 1er tour KS a fait 18%
Personne n'en voulait. Au second tour les Tunisiens ont votés pour lui par manque de choix! C'est bien de dire 70% mais ça ne veut rien dire. C'est 70% de 56.80% des inscrits du second tour!

Pour les élections législatives tunisiennes de 2019 le
taux de participation nationale était de 41,70%!!!

C'est pire!

C'est ça la réalité!

Ils pleurent et se plaignent et n'ont pas fait leur devoir de citoyen!

Il faut aussi participer à la vie de son pays et prendre ses responsabilités.

Quand 60% de gens ne sont pas allé voté ils sont complices de l'état du pays aujourd'hui!

On aura toujours le choix pour qui voté et on a on aussi le choix de se taire qu'on a pas agit pour faire entendre sa voix par le vote.

Encore une fois.... C'est ça la réalité !
Warrior
QAYS ... pas crédible ... une expertise psy.
a posté le à 17:14
il confond milion et miliard .... cite 1 passage quranique .... qui n'existe pas !!
les américains venus s'enquérir ... il répond par un discours sur .... le Connecticut !!
un psy , VITE !!
Warrior
switch to parliamentary regime NOW .............
a posté le 15-09-2021 à 16:14
tne most stable regime is parliamentary, not presidential.
forget about France, their language and system.
WAKE UP !!
AVERROES
K. SAIED/ECHAB/ PDL/ MEME COMBAT MEME DETERMINATION MEME LOYAUTE
a posté le 15-09-2021 à 15:35
L'espoir de retrouver la situation institutionnelle d'avant le 25 juillet s'est évanoui après le prolongement de l'état d'urgence décidé par le président et tout de suite appliqué. Si le président a tenu tète à la pression Américaine et européenne et qu'il n'a pas baissé l'échine devant la pression interne menée tambour battant par ses adversaires c'est que sa détermination d'aller jusqu'au bout de son objectif est inébranlable. En tout état de cause ennahdha n'y crois plus, lâché par ses principaux soutiens occidentaux celle ci essaye vaille que vaille de limiter la casse en se rabattant sur la constitution, son contenu et surtout sur l'anticipation d'éventuelles élections. L'islam politique est aux abois, la marmite qui bout à majles echoura est au bord de l'explosion, la troïka avec sa composante perdent pieds, certains ont quitté le navire, Marzouki à Paris, Bouchlaka ?, la famille Ghannouchi éparpillée à travers le monde, ...etc. L'exemple de la France va faire école en Tunisie, la mise en examen d'une ancienne ministre de la santé va assurément donner des idées aux juges Tunisiens pour éventuellement inculper des anciens de la Troïka. Car personne n'est au dessus des lois.