
Les représailles de Sihem Ben Sedrine, présidente de l’instance Vérité et Dignité, contre les membres Lilia Bouguira et Mustapha Baâzaoui, continuent jusqu’au 7 février 2017.
Cette fois, c’est Mustapha Baâzaoui qui paie le prix de sa dissidence. Ce dernier a été interpellé par la police alors qu’il était au volant de son véhicule de fonction. Véhicule qui lui a été confisqué malgré l’immunité dont il dispose en qualité de membre de l’IVD. En fait, ce sont les voitures des deux membres, Bouguira et Baâzaoui, qui étaient recherchées, probablement sur pression de Sihem Ben Sedrine.
Sihem Ben Sedrine essaye depuis des mois de faire virer Lila Bouguira et Mustapha Baâzaoui du conseil de l’IVD car ils ont osé porter plainte contre elle. Les décisions de justice du tribunal administratif, pourtant en leur faveur, n’ont pas été respectées.
M.A
Commentaires (29)
Commenter@N. Burma
@ N. Burma :Digressions ....Europe... éennes
@eshmoun, précision, suite et fin
@eshmoun
Il y a longtemps, j'avais partagé l'intimité d'une philosophe qui me disait « l'urgent n'attend pas, l'essentiel», aussi, si j'implore votre pardon pour vous répondre seulement maintenant, ce serait vous faire outrance que c'est urgent mais pas essentiel qui aurait commandé ma faiblesse. Or, fidèle à la sagesse de l'amie d'antan, je me situe résolument dans la seconde partie de sa citation !
Autant vous avouer que vous m'avez battu à plates coutures, car comme le dit si bien une citation du pays de Mao Tsé Toung, « quand le sage montre la lune, l'idiot voit le doit du sage ! »
Je ne m'étalerai pas sur le nombre des interventions urgentes qui m'ont éreinté et n'était-ce quelques voix amies de la grande Zora à la très grande Tunisienne et quelques autres voix inaudibles et cependant superbes, je n'aurais jamais pu résoudre quelques coups tordus dont les Tunisiens dans leur ensemble, sont devenus de piètres ouvriers à défaut d'être des experts internationaux (des coups tordus bien sur !)
Comme vous avez l'élégance princière, élégance qui m'épargne les genuflexions, je vous avoue que c'est le pont de Kehl qui m'a fait rugir comme un lion du Zimbawé épuisé par son harem et plus encore par la disette qui règne ici au Zambabwé bien plus qu'à BusinessNews.
En effet comme vous l'écrivez d'une main de maître de la littérature, « kehl pont, ce pont de kehl ! » qui défie le mur de Trump. A revenir, du pont d'Avignon aux ponts de Seine qui ont nourri Alexandre Dumas de père en fils et inénarrable Balzac, leurs profondeurs sont un mystère qu'un autre écrivain de votre trempe a nommé les mystères de Paris. Oui Eugène eshmoun se confond en Sue eshmoun, mais tous deux ont emmerveillé ma soif de lire, comme un Narrenschiff (das Narrenschiff : la nef des fous, o e u v r e littéraire magistrale de Sébastien Brant, suivi de la nef des fous du néerlandais Jérome Bosch et qui se complétent à merveille.
L'espace me manque pour aborder avec vous ce que nous pourrions devoir au grand, très grand séducteur de la volcanique Marilyn Montroe. J'ai un autre Miller qui trotte dans mon inconscient et dont l'inspiration m'est tout aussi forte, qu'est Arthur Miller le mari de Hiroko Tokuda dont on garde un souvenir si fort qu'il peut ébranler du fond de sa tombe l'auteur extraordinaire que la Russie ait connu, Fiodr Dosoevski et ses souvenirs de la maison des morts.
Mais mon très cher eshmoun, vous qui survolez plaines et montagnes comme ces aigles royaux d'Amérique, comment puissiez-vous me faire croire, autrement que par la modestie, que vous vous seriez planté le bec du haut du Dreirosenbrücke de Bâle ? Vous eshmoun, atterissant en urgences absolues sur les pont des trois roses des cloches de Bâle cher à Louis, Louis pas Mariano, mais Aragon bien sur !
Nous écourtons notre voyage très cher eshmoun sur le pont de l'Europe, cette pucelle légendaire déesse grècque qui s'est enfuie et dont on est en mal d'y retrouver trace. Si j'osais l'outrance, j'aurais dit que cette divine déesse disparue, je l'aurais trouvé aux seins (oui oui, bien aux seins) d'un illustre journal numérique dans lequel je vous lis, quand à son nom, je l'ai déjà dit et redit, comme me l'a suggéré Eluard : Liberté-Tunisienne !
Très bon dimanche mon cher et même très cher eshmoun !
@N. Burma
@N.Burma : histoires de Ponts
Vous n'allez pas me faire l'injure d'insinuer que j'ignore "l'historique" et la nature de l'ouvrage litigieux? après"VU du Pont"(celui de Brooklyn dans la pièce d'Arthur Miller )je me suis rabattu sur Strasbourg puis kehl comme j'aurais pu citer celui de la rivière kwaï de la Medjerda ou de la Berézina...comment le dernier "membre" de phrase dans le quel j'admets l'aspect "un peu débridé de mon commentaire " a-t-il pu échappé à la légendaire sagacité du grand N.Burma au point de me précipiter du haut duPont (lequel?) dans les eaux boueuses de la Baalourderie avec un si brutal Pan sur le (Baal)bec? élémentaire mon cher Nestor ...finalement comme le suggère la grande Zora que vient faire le pont de l'Europe dans cette affaire (si j'ai bien compris)et revenon à notre morpion.
Ce que l'Histoire retiendra!
Dommage qu'un si grand projet soit entaché par l'entêtement de sa Présidente.
Dommage enfin que l'ARP ait fait de l'IVD un monstre incontrolable.
C'est ce que l'Histoire retiendra.
Dommage!
@TOUNSI
Un précédent
La mere des bureaucrates!

