| 14-09-2016 22:02
"Pourquoi ne se réveillent-t-ils pas en constatant tout le mal qu'ils infligent à cette pauvre Tunisie...";"... ne se disent-ils pas enfin que leur démarche ne doit pas être si bonne que ça puisque le pays coule." sic. Drôle de "réussite" en effet, comme vous le constatez... Après ça, vous osez dire:" Votre commentaire est le parfait prototype de la pleurnicherie de quelqu'un ayant beaucoup perdu sur le plan personnel, se délectant du moindre problème rencontré par son pays, mourant de dépit à la moindre réussite." Il y aurait comme une contradiction évidente entre ce que vous dites dans un post et ce que vous dites dans les suivants...Vous ne trouvez pas? Cette valse-hésitation, cette confusion des idées et des propos, surtout quand elles tournent à l'agressivité et à l'insulte, je pense que ça porte un nom :" "...mais ne vous alarmez pas; ça se soigne et vous ne finirez pas dans un asile psy... Mais faites vite!...
Quant à votre perle me qualifiant " de quelqu'un ayant beaucoup perdu sur le plan personnel, se délectant du moindre problème rencontré par son pays etc..." (sic), je vous renvoie, encore une fois à une des composantes de la schizophrénie, la schizophrénie paranoïde..., votre identification rageuse au "pays", que vous semblez gratifier de "réussite", après en avoir pointé le délabrement " un pays qui coule"sic, cette identification vous pousse à faire porter à ceux qui oseraient critiquer vos propos, ceux-là " se délectant du moindre problème rencontré par (leur) pays..." sic. "Rhétorique" et "effort argumentatif" à la petite semaine...Passons! Enfin, je vous rassure; à la suite de ce que certains appellent "révolution réussie" et le triste constat, qui dure depuis 5 ans, à savoir une chape de plomb totalitaire, rétrograde et liberticide qui s'est abattue sur le pays, où tout se déglingue et va de mal en pire, économie, pauvreté, fractures sociales, familiales, générationneles, villageaoise..., aggravation de la situation sécuritaire, terrorisme sanglant et aveugle... je n'a perdu qu'une chose, essentielle, primordiale, l'espoir, après la chute du ben ali et son régime, que le pays allait se redresser, se développer, que l'équité allait régner partout, que les libertés, toutes libertés, individuelles que collectives, allaient être effectives et respectées et non pas un simple discours officiel, que les femmes allaient enfin pouvoir arracher le reste de liberté et d'égalité qu'on leur a refusé depuis 1956, à savoir la liberté de disposer librement de leur corps, ainsi que l'égalité totale et définitive avec l'homme en ce qui concerne le droit à l'héritage... Oui, un espoir légitime, partagé par des millions de Tunisiens, mais un espoir quasi perdu, vu l'état de délabrement dans lequel se trouve aujourd'hui le pays... Et je ne vous parle pas de la nuit islamo-fasciste qui enveloppe le pays depuis 5 ans et qui obscurcit tout, tout libre arbitre, toute liberté de jugement, de dire, de critiquer et d'opinion, toute liberté de croire et de ne pas croire à une divinité quelconque et de le proclamer, toute liberté de manifester pacifiquement et de contester des conditions de travail inhumains et des salaires de misère et se mettre en grève en conséquence...la liste est longue, aussi chargée et aussi lourde que la déception qui nous accable et nous sommes des millions. On ne "pleurniche" pas, comme vous le dites, mais on résiste à l'abjection, chacun à sa façon, pacifiquement, mais il nous est difficile de rire, ni même de sourire, quand on est acculés à vivre, aujourd'hui, dans un pays qui ressemble à un cimetière, avec la paix et la propreté et le tohu-bohu en moins...et où les faux prophètes en tout genre et les marchands d'esbroufe sévissent comme des hyènes...
Quant à votre perle me qualifiant " de quelqu'un ayant beaucoup perdu sur le plan personnel, se délectant du moindre problème rencontré par son pays etc..." (sic), je vous renvoie, encore une fois à une des composantes de la schizophrénie, la schizophrénie paranoïde..., votre identification rageuse au "pays", que vous semblez gratifier de "réussite", après en avoir pointé le délabrement " un pays qui coule"sic, cette identification vous pousse à faire porter à ceux qui oseraient critiquer vos propos, ceux-là " se délectant du moindre problème rencontré par (leur) pays..." sic. "Rhétorique" et "effort argumentatif" à la petite semaine...Passons! Enfin, je vous rassure; à la suite de ce que certains appellent "révolution réussie" et le triste constat, qui dure depuis 5 ans, à savoir une chape de plomb totalitaire, rétrograde et liberticide qui s'est abattue sur le pays, où tout se déglingue et va de mal en pire, économie, pauvreté, fractures sociales, familiales, générationneles, villageaoise..., aggravation de la situation sécuritaire, terrorisme sanglant et aveugle... je n'a perdu qu'une chose, essentielle, primordiale, l'espoir, après la chute du ben ali et son régime, que le pays allait se redresser, se développer, que l'équité allait régner partout, que les libertés, toutes libertés, individuelles que collectives, allaient être effectives et respectées et non pas un simple discours officiel, que les femmes allaient enfin pouvoir arracher le reste de liberté et d'égalité qu'on leur a refusé depuis 1956, à savoir la liberté de disposer librement de leur corps, ainsi que l'égalité totale et définitive avec l'homme en ce qui concerne le droit à l'héritage... Oui, un espoir légitime, partagé par des millions de Tunisiens, mais un espoir quasi perdu, vu l'état de délabrement dans lequel se trouve aujourd'hui le pays... Et je ne vous parle pas de la nuit islamo-fasciste qui enveloppe le pays depuis 5 ans et qui obscurcit tout, tout libre arbitre, toute liberté de jugement, de dire, de critiquer et d'opinion, toute liberté de croire et de ne pas croire à une divinité quelconque et de le proclamer, toute liberté de manifester pacifiquement et de contester des conditions de travail inhumains et des salaires de misère et se mettre en grève en conséquence...la liste est longue, aussi chargée et aussi lourde que la déception qui nous accable et nous sommes des millions. On ne "pleurniche" pas, comme vous le dites, mais on résiste à l'abjection, chacun à sa façon, pacifiquement, mais il nous est difficile de rire, ni même de sourire, quand on est acculés à vivre, aujourd'hui, dans un pays qui ressemble à un cimetière, avec la paix et la propreté et le tohu-bohu en moins...et où les faux prophètes en tout genre et les marchands d'esbroufe sévissent comme des hyènes...
