
Dans une déclaration donnée à la TAP, Noureddine Taboubi, secrétaire général adjoint de l’UGTT, a déclaré que le ministre de la Santé, Saïd Aïdi, a rejeté les accords convenus entre le chef du gouvernement et le secrétaire général de la centrale syndicale, concernant le secteur de la santé.
Selon Taboubi, le chef du gouvernement, Habib Essid, et le secrétaire général de l’UGTT, Houcine Abassi, ont convenu plusieurs accords relatifs aux revendications des professionnels de la santé publique dont ceux mettant fin à la crise au sein de l’hôpital universitaire Habib Bourguiba à Sfax. Des accords qui auraient été conclus lors de la réunion tenue vendredi 22 avril. Tabboubi a ajouté que Saïd Aïdi a affirmé que "les propositions de Habib Essid n’impliquent en rien son ministère et ne peuvent résoudre la crise actuelle", toujours selon la même source.
Une source du ministère de la Santé a nié ses propos et a déclaté à la TAP que la réunion avec Saïd Aïdi "n’avait pas pour ordre du jour les négociations avec la partie syndicale".


Commentaires (16)
CommenterL'histoire des traîtres regugiés politiques à Londres et à Paris est la plus grande honte de quinze siècles de l'histoire de La Tunisie
Il est grand temps de stopper ce fêlé
Si Jalloul et le gouvernement l'avaient cloué au pilori au bon moment, on n'en serait pas là aujourd'hui.
À force de lui accorder ce qu'il veut à ce Yagoubi, il devient un personnage insatiable et anarchique hors de tout contrôle et se sent pousser des ailes qu'il est grand temps de les lui couper net.
Le choix est simple : l'autorité de l'État ou celle des anarcho-syndicalistes.
Le droit syndical doit répondre à des règles que nos gouvernants oublient par moment et finiront par le payer cher et le pays dans son ensemble aussi.
À bon entendeur, salut.
Ils se soignent ailleur
Merci et encore bravo Mr AIDI
A quitte ou double
Ce gouvernement ne doit pas céder sous la menace d'un syndicat qui se radicalise à sa base et qui veut faire subir sa propre doctrine un peu partout dans le pays.
Certes, il faut un syndicat fort mais utile et sérieux, mais la manière qu'emploie l'UGTT en ce moment, et sa prise de position dans tous les conflits laisse à réfléchir.
Cela, nous interpelle jusqu'à se demander, si nous nous sommes pas sous une dictature syndicale, au vue des conflits existants du nord au sud.
La situation économique de la Tunisie est au point mort, rien ne fonctionne comme il se doit dans une république dite démocratique, et ce n'est point les quelques chiffres d'apparences douteuses qui vont nous donner un bol d'air, c'est l'arbre qui cache la foret.
L'UGTT, se comporte comme un parti politique, voir même comme un gouvernement bis, cela n'est pas un comportement digne.
Ce type de blocage, de grève, relève plus de l'entêtement pur et simple, et risque de nous conduire tout droit dans un mur.
Oui, le ministre a bien raison de s'opposer à la décision prise par le chef du gouvernement qui considère que cet accord n'est pas conforme ou non applicable à ce conflit qui dure depuis un bon moment à l'hôpital H.B de Sfax.
La gestion de nos hôpitaux laisse à désirer sur tous les plans, que se soit d'un point de vue de gestion administrative, de l'hygiène, du suivi des soins, et de l'entretien du matériel hospitalier, un long chemin reste devant nous.
Beaucoup de choses restent à faire dans le domaine de la santé, il faut laisser le Ministre faire son travail dans des bonnes conditions afin de trouver une solution adaptable pour chaque cas, et pour le bien de la santé public.
L'UGTT doit être vigilante, conseillère, et non dans l'obstruction à tout va.
Un pseudo-ministre. Autiste et psycho-rigide
Pourquoi il est tj à son poste. La réponse: le ministre de Maman la France. wel fahem yefhem