La rév'party 2.0 est semble t il en marche...

Elle fifnra surement par détruire ce qui reste du cadavre de pays et emportera avec elle le boj et toute la M.... qui s'y rattache ainsi que ces fantoches d'institutions de l'état qui ne servent que l'intérêt de ceux qui y travaillent...

Le chaos est votre avenir, peuple de la rév'party du 14 ....

Li anakome harimtome harimtome ...min ajli hadhihi ala7adhate attarikhya ...

La somalisation du pays semble être la voie la plus réaliste qui vous attends

Quand on ment au peuple, voilà ce que l'on récolte! En effet, tous ces prometteurs qui avaient promis Monts et Merveilles au peuple de dupes, récolte le fruit de ses mensonges.
Quand ils se sont vu incapables d'assurer au peuple le travail promis, quand ils se sont vus incapables ne serait-ce d'égaler l'emploi du temps de Ben Ali, quand ils se sont vus incapables d'assurer le millième de ce que faisaient les anciens; alors ils ont trouvé la solution: Dire au peuple que les révolution mettent deux siècles à réussir.
Plus exactement, ils disent au peuple: Allez vous faire foutre! Que veut dire, revenez nous voir dans deux siècles, sinon le fait de ne pas assumer la responsabilité de ses mensonges?
Et le peuple de cons qui a crié "Khobz ou mé ou Ben Ali lé". Qu'il assume aussi lorsqu'il en est au "Khobz ou mé". Est-ce seulement un slogan? donc un mensonge! Les menteurs ont les dirigeants qu'ils méritent, à savoir, des menteurs comme eux!
Votre révolution; je vous l'ai dit mille fois dans ce journal, au point que Mezri Haddad m'a publié un post sur sa page facebook: Une exaltation éphémère mais un désastre durable.
Retenez cela: "une exaltation éphémère mais un désastre durable". Une exaltation pour assouvir vos haines et rancoeurs, votre jalousie et vos régionalismes divers et primaires. Cela a un prix: celui que vous êtes en train de payer aujourd'hui.
Une trahison collective due à ces sentiments. Retenez-le: "une exaltation éphémère mais un désastre durable". Et retenez surtout le verset que je n'ai eu de cesse de vous répéter, arrivant, Dieu me le pardonne, jusqu'à en faire ma signature. À savoir, le:
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Léon, Min Joundi Tounis AL Awfiya.