Bouali Mbarki, secrétaire général adjoint de l’UGTT a indiqué ce dimanche 6 septembre 2015, dans une déclaration accordée à radio Mosaïque Fm, que la position de la centrale syndicale vis-à-vis du projet de loi de réconciliation nationale est claire.
« L’UGTT était la première organisation à s’être exprimée en faveur de la réconciliation nationale, a-t-il précisé. Mais le projet tel que présenté doit être retiré pour modifier certains points car il est inacceptable dans sa formule actuelle ».
« L’UGTT n’accepte pas qu’on lui dicte ce qu’elle doit faire et quelle position doit elle adopter face aux grandes questions nationales », a encore déclaré M. Mbarki, et ce en allusion à l’appel lancé par le Front populaire à l’organisation syndicale à propos, justement du projet de réconciliation économique et financière.
S.H
Bouali Mbarki : L'UGTT dit oui à la réconciliation, mais sous conditions
Bouali Mbarki, secrétaire général adjoint de l’UGTT a indiqué ce dimanche 6 septembre 2015, dans une déclaration accordée à radio Mosaïque Fm, que la position de la centrale syndicale vis-à-vis du projet de loi de réconciliation nationale est claire.
« L’UGTT était la première organisation à s’être exprimée en faveur de la réconciliation nationale, a-t-il précisé. Mais le projet tel que présenté doit être retiré pour modifier certains points car il est inacceptable dans sa formule actuelle ».
« L’UGTT n’accepte pas qu’on lui dicte ce qu’elle doit faire et quelle position doit elle adopter face aux grandes questions nationales », a encore déclaré M. Mbarki, et ce en allusion à l’appel lancé par le Front populaire à l’organisation syndicale à propos, justement du projet de réconciliation économique et financière.
c'est ça l'arrogance actuelle de l'UGTT
elle se prend pour le capitaine de bord de ce pauvre pays qui devient à la merci des soit disant nationalistes qui cherchent le bien
mais qu'ils soient clair pour les modifications de cette loi
à mon avis cette reconcilition est un mal necessaire car pour juger les malfaiteurs il faut courir après pendant de longues années d'un procés à un autre et entre temps aucun sous ne peut etre récupéré et le tout sera volatilisé
car un tien vaut mieux que dix tu les aura
on commence par imposer ses conditions et on fini dictateur...la centrale syndicale ferait mieux de garder son nez dans ses affaires. Jusqu'à présent elle a surtout défendu "ses propres intérêts" plutôt que ceux du pays...elle ferait mieux par exemple de rappeler ses chiens galeux d'enseignants qui avant la rentrée ont déjà annoncé la couleur de leur tarif concernant les cours particulier qui font partie du package au même titre que les cahiers et le tablier. Honte à tous les cupides!
L'U.G.T.T, organisation syndicale ancrée, depuis des lustres, dans le paysage politique Tunisien connait très bien où réside l'intérêt national comme elle connait là où résident ses propres intérêts.
Les hommes, à la tête de cette organisation, mesurent très bien que ce dossier n'est, en réalité qu'une coquille vide, les gros poissons ayant réglé leurs situations, et n'y sont plus, désormais, concernés que les boucs émissaires qui ne veulent point de cette réconciliation, ne sachant avec qui se réconcilier, se positionnant en victime d'une justice aux ordres et de dossiers montés de toutes pièces en n' y mettant même pas la forme.
Il est évident que la position officielle de L'U.G.T.T n'a pour finalité que de calmer les ardeurs de ses bases, la réalité de sa position, quant à la gestion de ce dossier, étant toute autre mesurant l'intérêt de la nation à tourner, définitivement, la page de cette parodie de justice transitionnelle.
L'organisation syndicale, consciente que ce dossier n'est d'aucun apport pour la Tunisie, et qu'il ne sert que les intérêts politiques, étroits, de cette minorité de partis dont le front est constitué, plus les partis traditionnels de la haine, n'adhèrerait pas à des mouvements de protestation qui ne feraient qu'envenimer encore plus la situation économique et sociale du pays.
À ceux, parmi cette frange politique qui pousse vers le désordre, je dirai que la centrale syndicale s'abstiendra à prendre une part active à ce combat de coqs qui ne la concerne pas, et voilà que monsieur Bouali Mbarki remet les politiques de ce front de l' « Inconscience » à leur place , leur rappelant, dans la foulée, que la centrale syndicale a été la première à appeler à la réconciliation nationale entre tous les Tunisiens.
Bref, Messieurs du front, sachez que le syndicat ne peut nullement vous servir de « KABCH INTIH ».
Moi aussi je dit oui à la reconciliation "afin de stabilizer le pays et rendre confiance aux investisseurs ...blablablabla " mais combien vous me proposez pour accepter ?
Tous les syndicalistes «travaillistes» du monde entier sont du côté du peuple, sauf les syndicalistes arabes et l'UGTT en fait partie malgré le changement en Tunisie.
Il suffit de suivre la direction du cours où coule l'argent, pour trouver les faux-jetons de l'UGTT déjà les premiers à l'arrivée.
Des affamés à la recherche d'une "Zhouma". Tout le reste ne les intéresse guère. Exactement à la manière de la Camorra.
Ce que nous savons tous c'est que l'UGTT renferme une multitude de penchons politiques, en son sein, et qu'elle respecte l'opinion de tous ses adhérents, sans distiction. A cet effet elle ne peut pas avoir une Vision Commune agréée unanimement, sauf pour les Salaires, d'après son STATUT, et encore...