
Au cours de son bref voyage à Beyrouth, le week-end dernier, le secrétaire général du CPR Imed Daïmi a été reçu par un nombre de personnalités libanaises dont le chiite Hassen Ezzedine.
Imed Daïmi présente son hôte comme étant le responsable des relations externes du parti Hezbollah.
Il se trouve que Hassen Ezzedine figure sur la liste officielle de l’agence fédérale américaine FBI, comme étant un des terroristes les plus recherchés au monde (cliquer ici pour voir le lien). Il est impliqué dans le détournement de l’avion de TWA en 1985, la prise d’otages de passagers et le meurtre de citoyens. Sa tête est mise à prix pour un montant de cinq millions de dollars.
Il a été interdit d’entrer en Tunisie et refoulé de l’aéroport Tunis Carthage, le 3 janvier 2014, alors qu’il voulait assister à un événement organisé à Tunis pour empêcher toute normalisation avec Israël.
Quant à son parti Hezbollah, il est classé comme terroriste par les États-Unis, le Canada, l'Australie, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et Bahreïn. Il figure sur la liste noire de six pays arabes et l’Union européenne classifie sa branche armée comme terroriste.
Le Hezbollah est un parti libanais chiite financé essentiellement par les Iraniens. Il fonctionne d’une manière tout à fait ordinaire et légale au Liban.
Qu’est allé faire Imed Daïmi au Liban et essentiellement avec un individu classé comme terroriste ? Quel rapport pourrait avoir ce parti avec la Tunisie et la scène politique tunisienne ?
Bénéficiant d’une immunité parlementaire et d’un passeport diplomatique, le député n’a visiblement de comptes à rendre à personne !
R.B.H.
"C'était un gars des plus aimables"
"Il était un homme sincère, intelligent et laborieux."
"J'ai beaucoup aimé Ben Ali"
Ah ! Ma pauvre dame...Quelle ne fut son immense déception à la vue de cette armoire qui regorgeait de bons biftons dont il ne pouvait profiter...
Le dépit qui transforme l'amour en haine recuite...
"Je ne l'ai dégoûté"...!
C'est vous qui l'aviez dégoûté...ou c'est lui qui vous a dégoûté...?
Faudrait savoir et voir à soigner votre brinquebalante syntaxe...hein ?
Si on comprend bien, "vous vous êtes tant aimés" jusqu'au dégoût partagé...?
Comme c'est touchant, comme c'est mignon...!
Moi, c'est tous les deux que vous me dégoûtez !
Et l'auteur de ce galimatias va même jusqu'à reprocher aux opposants de son maître qu'il chérissait et admirait, d'être des "azlems"...
Allez comprendre le louvoiement visqueux de...l'Abel anguille sous roche...!
MPP
J'ai vécu la vraie démocratie et je l'ai pratiquée toute ma vie en Allemagne. Ce n'est pas la divergence politique qui me lèse, ni qui me casse la tête, car sans différence d'opinions et de tendances politiques, il ne pourra y avoir de démocratie. De là, tu ne me trouves jamais dénigrer ou insulter mes opposants et mes adversaires. Je ne leur parle que de faits réels, alors qu'eux, ils se sauvent vite dans leur langage ordurier, où ils n'utilisent que l'insulte et des adjectifs qu'ils inventent d'eux-mêmes, comme «islamiste» dont je ne connais même pas le vrai sens, mais qui m'honore beaucoup, puisque je suis Musulman, bien que ne sois ni barbu, ni pratiquant assidu, ni même que j'aie de connaissances dans les milieux religieux.
Personnellement, je n'ai jamais insulté ou même dénigré de moi-même ni le défunt dictateur déchu Bourguiba, ni le dictateur déchu Ben Ali. Il n'est de mon droit ni de les insulter, ni de les rabaisser avec des mensonges ou avec des histoires que je n'ai pas vécues personnellement. Je n'ai le droit que de les appeler au vrai sens du mot des «dictateurs» preuves à l'appui, afin que le peuple n'oublie pas la vérité et qu'il ne se laisse pas bêtifier par leurs adeptes, chacun suivant ses propres intérêts.
Je vais te dévoiler un secret, c'est que je n'ai jamais de ma vie dénigré à l'étranger ni Bourguiba, ni Ben Ali, ni mon pays la Tunisie. J'ai vécu avec le père de la Nation Bourguiba, sans avoir eu même le courage de me demander compte à moi-même, au sujet de tout le mal qu'il fit aux Tunisiens. C'était pour moi un genre de grand-père qu'on n'évoque plus son mauvais caractère. Ce n'est qu'en ayant remarqué la ruse des tourneurs de vestes, qui délaissèrent Bourguiba dans sa misère depuis 1987, pour ne se rappeler de lui que maintenant après un quart de siècle, dans l'idée de commercialiser de nouveau son nom et son baratin de (destouriens)«tsètras», que je ne cesse plus de rappeler la dictature du défunt Bourguiba, plutôt pour couper la route à ces malfrats tourneurs de vestes à majorité régionalistes «Monastiriens», que dans le but de dénigrer Bourguiba. Notre ami @hamhama, qui paraît me connaître en personne, s'étonne souvent de mon langage contre le défunt Bourguiba, parce qu'il connaît en moi l'absence d'une telle tendance. Mais hélas, que faire d'autre pour stopper le retour de ces tourneurs de vestes régionalistes, qui n'ont même pas honte de nous revenir avec leurs ruses maraboutiques dans l'idée de commercialiser le nom de Bourguiba.
Un comédien dont le père fut assassiné par les hommes de Bourguiba, trouve même l'opportunité de sa ressemblance physique avec lui, pour en tirer un profit des plus malhonnêtes que j'aie jamais vu de toute ma vie. Un fou à lier qui s'enrichit au détriment de l'histoire vitale du peuple tunisien. Il banalise les milliers de morts, d'appauvris, de familles détruites, d'emprisonnés, d'étudiants répudiés et d'opposants chassés par Bourguiba, pour ne faire que répéter les faits tissés et manipulés par la RTT du régime. Il ose même se gonfler et ronfler sa soi-disant «intelligence» et son «amour payant pour Bourguiba». Au lieu que le peuple tunisien châtie de tels hypocrites comme il se doit, les médias pro-sionistes en Tunisie, l'aident à se profiler comme étant un héros ou du moins, comme étant un «génie artistique de la honte».
Au changement du 7 novembre 1987, ma joie fut énorme de voir Bourguiba mis à l'écart. J'ai chéri Ben Ali à son début, parce que je l'ai rencontré en personne à trois reprises, lorsqu'il était au ministère de l'Intérieur. C'était un gars des plus aimables, qui te laisse sentir une amitié d'appartenance au même quartier (Oueld el-Houma). Il ne fut ni snobe, ni faux-jeton, ni baratineur, ni de basse facture. Il était un homme sincère, intelligent et laborieux. Ce qu'il a réalisé d'infrastructures en Tunisie, Bourguiba ne pouvait même pas rêver de réaliser son dixième, voire même son centième. J'ai beaucoup aimé Ben Ali et j'étais dans la certitude, qu'une fois qu'il meure, le peuple tunisien le pleurera, pour toutes ses réalisations infrastructurelles. Je ne l'ai dégoûté, que lorsque j'ai vu cette armoire bourrée d'argent, comme s'il allait vivre pour un autre siècle. Si Ben Ali était vraiment bon de c'ur et d'âme, il aurait appelé à chaque fois, un délégué d'une certaine zone de l'ombre, qu'il lui remette une seule liasse de cet argent et qu'il l'ordonne de lui rendre compte en personne de l'investissement. Il aurait de loin mieux dormi qu'avec l'idée que cet argent moisissait dans l'armoire. Le voleur ne pense jamais à faire du bien, même avec son butin acquis sans la moindre sueur.
Cordialement et j'embrasse tes deux mains.
Je l'ai toujours dit et répété mille fois. Ce sont des faux Tunisiens et des faux Musulmans qui prennent la carte de la Tunisie et se nomment suivant la ville qu'ils trouvent. X de Tataouine, Y de Rédeyef, Z de Jendouba, etc. L'autre veut libérer Carthage et un énième sauvage, qui veut revenir à son origine barbare qu'il était lui-seul avant l'arrivée de l'Islam. Une copie-conforme à l'histoire des juifs qui reviennent en Palestine occupée après 5000 (cinq mille) ans.
Tout leur langage est issu de recommandations périodiques, que leur envoient leurs comités lobbyistes qu'ils nomment «diasporas». Ils les suivent à la lettre suivant leur doctrine talmudique. C'est extraordinaire comme ils savourent le mensonge, le mal et l'intrigue. Ce n'est pas pour rien que le monde entier les refoule, les repousse et les écarte de tout genre d'honnêteté humaine.
Merci beaucoup à toi, car j'ai régalé toutes les réponses des vrais Tunisiens et des vrais Musulmans. J'en étais sûr et certain que les Tunisien sont à 99% arabes et musulmans. Tout le reste n'appartient qu'à un théâtre imposé de l'étranger.
A cette enseigne, merci de nous rappeler donc que le Liban était en guerre civile et que les militaires américains et français, sans oublier iraniens et syriens, étaient sur ses terres.
Pendant qu'on y est, autant taxer les résistants de l'indépendance tunisienne ou algérienne de terroristes puisque classés en tant que tels par la France.
Très instructif cet article sur la qualité de nos journalistes.
Carthage libre, jetez donc un coup d'oeil à la rubrique "communiqué "
Consacré à la firme "emiratis ".
L'islam n'est pas forcément synonyme d'échec, la preuve !!!!
Modérateur je peux lui dédier mon com sur la rubrique "communiqués " ?

