
Le comité de défense d'Abir Moussi a transféré, mardi 10 octobre 2023, une lettre adressée par la présidente du Parti destourien libre (PDL), depuis sa prison à la Manouba. Voici son texte :
«La violation de ma liberté ne me vaincra pas,
Les procès injustes et les fausses accusations ne me décourageront pas,
La machine de violence politique, morale et matérielle qui s'est liguée contre moi depuis 2011 ne me brisera pas,
Je ne vendrai pas la cause de mon pays, et je ne trahirai pas les engagements de ceux qui ont eu confiance en moi et qui ont soutenu le Parti destourien libre,
Je n'accepterai pas la division de la Tunisie ni la menace à son unité,
Je ferai face à l'injustice avec un cœur de fer et une foi inébranlable,
Je ferai face aux fausses dénonciations, à la manipulation et à la falsification des procès-verbaux judiciaires avec la force de la preuve,
Je resterai une femme libre, ma voix restera forte, et ma pensée restera destourienne libre,
Soyez patients et endurants, car nous avons atteint le dernier tournant, et nous serons victorieux,
Patience, la lumière de la vérité brillera et la justice triomphera, et le mensonge s'éteindra ».
Un mandat de dépôt a été émis, jeudi 5 octobre 2023, à l’encontre de la présidente du parti destourien libre (PDL), Abir Moussi.
La politicienne faisait face, initialement, à trois chefs d’accusation : attentat ayant pour but de provoquer le désordre, traitement des données à caractère personnel sans l’autorisation de la personne concernée, et entrave à la liberté du travail. L’accusation a ensuite modifié le chef d’accusation prenant en considération l’ensemble de l’article 72 du Code pénal sur les attentats contre la sûreté intérieure de l'État.
S.H

question de temps.
Et su je brule un feu rouge, je serais envoyé à Guantanamo + peine de mort pour acte terroriste?
Faisant en sorte que la justice soit indépendante et ne pas recommencé à éliminer toute opposition par des condamnations à la va vite! pour la crédibilité du pouvoir libérer ABIR MOUSSI.
"Thizz wa ronfodh".
Mais, c'est abominable.
Quand le dingue Makhloufi menaçait la Police des frontières parce qu'elle empêchait une fichée S de se faire la malle, là c'était un attentat contre la sûreté de l'Etat.
Ce trublion qui crachait au visage des femmes, hurlait et tonnait, menaces à l'appui, le satrape Ghannouchi et ses suppôts s'en s'amusaient.
Il y a erreur sur la personne.
Il y a une inflation de conneries en ce pays à telle enseigne qu'on charge de crimes une personne qui s'opposait ferme aux fascuslamistes et à K. Saied.
Les criminels sont en face.
On les trouve dans les rangs de la mouvance islam-fasciste.
Ils ont assassiné, civils locaux et étrangers, militaires et gardes présidentiels, égorgé des bergers innocents et mis le pays en faillite.
Il faut se réveiller.
C'est trop con.
Il y a une magouille derrière ce traquenard.
Peut-être un compromisso istorico conclu dans les coulisses pour libérer l'espace politique.
On finirait par trouver qualités et mérites au PDL.
'?tonnant ?
- S'il y'a un parti politique qui a refusé la collaboration avec les autres formations politiques du pays, c'est bien le vôtre,
- s'il y'a un parti dont on ne connaît personne de ses dirigeants à part son Chef, c'est bien votre parti. Le PDL c'est Moussi, et Moussi c'est le PDL.
Et pour clôturer votre parcours de ***politique, vous êtes allée vous même chercher la bagarre au Palais de Carthage. C'est la FAUTE DE VOTRE VIE, car, votre séjour en prison, c'est pour des années chère Madame.
La vérité a éclaté, la Tunisie s'est débarrassée de la femme nuisible que vous êtes.
Assumez donc Mme Moussi votre statut de prisonnière avec dignité, et faites vous oublier, car les tunisiens ont été bien soulagés avec votre arrestation.
Restez où vous êtes Moussi, ne revenez surtout pas.
ADIEU MOUSSI
maintenant on sait pourquoi il n'y a plus de farine