
La Commission européenne a annoncé, lundi 18 septembre 2023, qu'elle n'avait pas encore commencé à transférer des ressources financières à la Tunisie, dans le cadre du mémorandum d’entente signé à Tunis au mois de juillet dernier, qui prévoyait une aide d'une valeur de 105 millions d'euros pour améliorer la gestion de ses frontières.
Selon l’agence de presse italienne Aki, la porte-parole de la Commission européenne, Anna Pisonero, a déclaré en réponse à une question posée lors d'une conférence de presse à Bruxelles que « la Tunisie n'avait pas encore reçu un seul euro » de l'Union européenne dans le cadre du MoU, soulignant que le processus de paiement « prend un certain temps », tout en notant que l'accord « ne se limite pas à la question de la migration ».
La Première ministre italienne, Giorgia Meloni, avait évoqué vendredi dernier la « grave crise économique en Tunisie, qui aura certainement des répercussions sur nous aussi », selon ses propres termes. Elle a également déclaré, en faisant référence à l'accord de coopération avec ce pays pour lutter contre les flux migratoires irréguliers, qu'« alors que l'Italie et une partie de l'Europe travaillent dans cette direction, malheureusement, il y a une partie de l'Europe qui va dans le sens opposé ».
S.H

Cette évidence, dictée par l'histoire, la géographie, le moment, personne ne l'a conteste.
Je prétends qu'il est normal, utije aux deux largues, de dire et insister, qu'zussi bien l'Europe à besoin de la Tunisie.
Ceci posé, les termes du problème énoncés dans leur généralité, place est faite pour étudier les questions dans le détail et débattre chacun au nom de ses intérêts.
La Tunisie aurait dû, n'aurait pas dû, il y a des docteurs qui ont apparemment une connaissance fine des dossiers qui les autorise à légiférer dans le détail.
Il y a, de même, un certain Larry qui considère que penser autrement relève de la débilité, et comme pour faire un prix de gros m'associe à un autre interbaute, ce qui m'honore.
Il pousse son talent jusqu'à m'envoyer vivre en Russie, ce à l'heur de représenter pour sa cervelle de moineau intolérant une punition qui me ravirait si les pouvoirs du seide portaient si haut et si loin.
Je n'en ai rien en à ficher de tes recommandations, Larry.
Je m'appelle Houcine.
Donc, je ne t'autorise pas à me qualifier de débile.
Tu es qui ?
Au nom de quelle cause, du lieu de quelle puissance.
> Dame Meloni n'aurait pas respecté les procédures UE lors de l'accord avec la Tunisie, certains dont fâchés.
(Touche personnelle: et contents de l'emmerder)
> Certains pays de l'UE ne sont pas d'accord pour aider la Tunisie dans cette affaire, parce que je cite: l'argent envoyé est systématiquement employé à d'autres fins.
> Les mêmes n'ont pas confiance en Saied, qui jouerait double jeu. Parfois la Tunisie intercepte une embarcation, le week-end end dernier 125 embarcations sont passées inaperçues, ce n'est pas crédible.
Bref, la confiance, dans les deux sens, est rompue depuis pas mal de temps.
Ne m'engueulez pas, je partage ce que lis et entends!
" l"UE doit aider notre pays pour sortir de ses difficultés économiques financières sociales et sécuritaires en accordant des prêts et des crédits..."
Cela a déjà été fait, l'argent a été utilisé pour tout autre chose, notamment pour boucher les déficits et payer les salaires de la fonction publique.
Des réformes étaient attendues, rien n'est venu.
Voilà...
Certains ont la fâcheuse manie de croire en leur puissance, leur pouvoir, pour vouloir régler les affaires d'autrui, y compris surtout à leur avantage.
Comme le monde change, que les puissants voient leur étoile pâlir, ils gardent les réflexes sans la puissance.
Je ne vois rien de choquant dans les propos présidentiels, c'est juste l'énoncé d'un rappel du contenu d'articles de la charte de l'ONU, pour évoquer une référence qui fait foi.
Pour le reste, l'Europe a besoin de la coopération de la Tunisie dans ce "dossier" des migrants.
Si bien qu'on serait en droit d'attendre d'elle, si on peut rassembler par ce pronom un conglomérat divisé, un peu plus que de la compréhension.
Une relation implique au moins deux parties, et en principe chacune est réputée digne de respect, la réciprocité étant la règle.
On le voit, certains pensent compter plus que les autres.
Or, le monde change.
Les murailles intellectuelles ont cédé, les frontières mentales vont suivre.
Le monde vu de Paris, de Washington et d'ailleurs ne vaut plus guère plus que celui regardé de Dakar, tombouctou ou Pékin. Il est le même.
Et, surprise générale dans les citadelles, les hommes ont soif de circuler, voyager, découvrir, vivre ailleurs. C'est cela l'avenir.
Avenir présentifié par ceux qu'on appelle les migrants.
Et puis, c'est surprenant de la part qui se crurent autorisés à conquérir les pays, découvrir des terres "en friche", vierges, s'y établir et dominer la nature et les hommes, de refuser aux autres jusqu'à l'envie de poser la valise quelque part parce que ce ne serait pas leur pays, leur terre.
Bref, la Tunisie ne refuse pas la coopération. Elle exige le respect de la signature après celui de sa souveraineté.
C'est vrai qu'ici il ne viendrait à l'idée de personne de former une délégation chargée de rencontrer les"prisonniers politiques" ou d'enquêter sur la situation des droits des gens en Europe.
Sans doute parce qu'on ne se conçoit pas en référence.
Et loin de nous l'illusion de croire en notre supériorité.
On peine à nous situer à hauteur d'homme.
C'est La Différence.
La Tunisie revient à ses vieux démons, avec un autocrate déconnecté, et il me parait logique que l'Europe s'interroge sur son soutien, il est récurrent que l'on fasse le procés des occidentaux dès qu'un ancien partenaire bascule dans la répression.
La.Tunisie n'aurait rien du signer ni bloquer aucun bateau en partence pour Lampedusa et subir un surpeiplement de migrants qui nous a quand même coûté la vie d'un citoyen.
Avant de signer quoi que ce soit, La Tunisie aurait dû d'abord lister tout les problèmes (comme par exemple l'absence de conventions entre la Tunisie et les pays d'origine des migrants), ne pas faciliter le rapatriement des clandestins Tunisiens en Europe, faciliter l'octroi des Visa Schengen au moins pour les médecins, retraités, cadres..., exiger plus comme aide directe et indirecte...
Ceci étant, Meloni n'a eu que ce qu'elle méritait à croire qu'elle pouvait tout obtenir de la. Tunisie pour dss. Cacahuètes.