
Le ministère de l'Intérieur a indiqué, dans un communiqué publié ce lundi 13 mars 2023, que le Parquet de l'Ariana a récemment autorisé le placement en garde à vue de quatre individus appartenant à un parti politique.
Il a expliqué que les suspects sont accusés d’avoir usé des réseaux sociaux pour manipuler l'opinion publique et inciter contre les institutions de l'État en diffusant des rumeurs visant à blanchir des personnes concernées par des enquêtes dans des affaires de corruption et de complot contre la sûreté de l'État.
Le ministère a précisé que les recherches sont toujours en cours dans le but de démasquer tous ceux qui sont impliqués dans la propagation des rumeurs et dans ces actes criminels.
Ces quatre politiciens appartiennent au parti islamiste Ennahdha. Parmi eux figure Mohamed Fourati, membre du conseil de la choura d’Ennahdha et directeur du journal Al-Fajr.
Mohamed Fourati a été auditionné hier par la brigade de lutte contre le terrorisme de la caserne de l'Aouina en présence de son avocat. L'audition avait duré des heures et le ministère public avait décidé, par la suite, de placer Mohamed Fourati en détention.
M.B.Z
Ou est-ce que la loi n'est maintenant valable, que contre les opposants du coup d'Etat du 25 juillet 2021?
L'injustice et les deux poids deux mesures, n'ont jamais réussi quoi que ce soit.
Allah yostir Tounes.
Et, puisqu'il avait pris la poudre d'escampette, et il "savait" le pourquoi du comment, alors il est placé sur liste des personnes recherchées.
C'est encore un de ces valeureux, démocrates et dignes représentants du pays qui se fait coincer.
Et la course n'est pas terminée.
Entre les fugitifs d'hier, comme Affès, Makhlouf et d'autres qui se terraient pendant que la justice les recherchait, on doit y ajouter dans la triste liste tous ces fanfarons qui ont trouvé la bonne idée de déserter pendant qu'il en était temps.
Il savaient.
Qui a dit démocrates ?
Halte à la démocratie, revue et corrigée par des hordes de bougnoules inféodés à l'anarchie, au chaos et à la destruction !!!
En gros avec la nouvelle démoucratie à la sauce tunisienne, seule les âneries/messonges pondu par les pro-médiocrités sont hallal.
Pour faits de propagation de rumeurs et manipulations de l'opinion en l'incitant à la rébellion, la mise en cause de l'Etat et ses institutions.
Cela s'appelle être factieux.
Cela dure depuis des années.
On a connu pire, puisque des "politiciens" sont derrière les assassinats de vrais po'iticien propres, honnêtes, francs.
J'applaudis des pieds et des mains.
Il faut faire fesser ces menées dignes des pratiques fascistes.
Puisqu'ils nous appellent "les Fachos", c'est l'arroseur arrosé.
Sans pitié, sans répit, jusqu'au dernier fascislamiste !
Et tant pis pour les esprits "éclairés", les "démocrates", dont je ne suis pas certain qu'ils auraient fait contre les fachos, les vrais, les milices patronales, les, nervis du Sac, ce que nous fîmes.

