
Le porte-parole du Tribunal de première instance de Gabès, Mounir Arroum a confirmé, mercredi 8 mars 2023, lors d’une intervention sur la chaîne Attessia avec Malek Baccari, que le dirigeant nahdhaoui Mohamed Ben Salem avait été interrogé dans la salle de réanimation. Il a souligné que l’interrogatoire s’était déroulé en présence de ses avocats et après l’autorisation du médecin traitant.
Le porte-parole du Tribunal de première instance de Gabès a assuré que six personnes sont impliquées dans cette affaire et que le juge d’instruction avait émis un mandat de dépôt contre quatre d'entre eux. Il a ajouté que Mohamed Ben Salem est accusé de tentative de passage illégal des frontières, de détention de devises contrairement aux règles d’usage ainsi que de violation des dispositions de la loi de finances complémentaire de 2014, dans la mesure où il avait en sa possession la somme de 12.000 dinars ainsi que 2.100 euros, lors de son arrestation.
L’ancien dirigeant nahdhaoui et ex-ministre de l'Agriculture, Mohamed Ben Salem, a été appréhendé par des unités de la Garde nationale, vendredi 3 mars 2023, aux frontières de la Libye.
Mohamed Ben Salem avait été admis à l’hôpital de Sfax. Il avait eu un malaise durant son transfert de Tunis à Gabès où il devait être entendu par le procureur près le Tribunal de première instance de Gabès.
S.H

Mechi ikharjouhem endhaf hhh
Son avocat a menti, au moins un de ses avocats puisqu'il est dit qu'il en aurait plusieurs, en déclarant son indignation de voir un homme interrogé sur son lit d'hôpital.
Son récit, celui de cet avocat, tendait à laisser entendre qu'on aurait violé toutes les règles de droit....
Maintenant, l'ex-ministre, député, un des sous-fifres de Ghannouchi, est inculpé.
Régulièrement.
On sait, je sais, que quelles que soient la façon et la manière, ces types diront toujours qu'ils sont innocents. Qu'il n'y a plus de justice comme le clame par ailleurs le Dilou.
J'ai suggéré un tribunal spécial pour ces fripons.
Je reste de cet avis.
Chaque jour qui passe apporte don lot de confirmations qu'ils ont tout pourri, qu'ils seront toujours déterminés par tous moyens à travailler à leur funeste dessein.
Tous les jours nous découvrons, comme à Manouba et ailleurs, des trafics, des contrats de location bidons de terres des domaines laissées aux mains de gens qui n'en paient le loyer.
Richissimes, cette rente aura servi de monnaie d'échange pour acheter des prosélytes, des personnes d'influence, en faveur de la cause.
Allez savoir si notre très grnd ex-ministre de l'agriculture n'y a pas contribué.
Des investigations seraient les bienvenues.
Et le reste à l'avenant..