
L'avocate Ines Harrath a indiqué que le juge d'instruction ayant ordonné la libération du président du syndicat national des agents et des cadres de la justice, Hattab Ben Othmen, faisait l'objet d'une inspection. Hattab Ben Othmen avait été arrêté une première fois mercredi 15 février 2023. Le juge d’instruction l'avait relâché, mai il a été arrêté de nouveau le mercredi 22 février 2023.
Dans une publication Facebook du 25 février 2023, Ines Harrath a indiqué que Hattab Ben Othman avait comparu devant un autre juge d’instruction. Ce dernier avait émis, par la suite, un mandat de dépôt à son encontre. L’avocate a considéré que cette inspection finira par le limogeage du premier juge d’instruction.
L’avocate a estimé que les poches de résistance et d’opposition au chef de l’État, Kaïs Saïed, au sein de la magistrature finiront par disparaître. Elle a estimé que ceci poussera les magistrats à appliquer les instructions.
S.F

Même si le président politise la justice, que cette tendance aboutisse à éradiquer le réseau mafieux qui étrangle les Tunisiens, les emmerde, détruit leur existence....! Que tout criminel périsse....!!!
Cet assemblage d'avocats décide des faits, de leur nature, décrète les dossiers vides, et ne cessent de porter atteinte à la justice dont ils clament par ailleurs, et l'importance et la nécessité dans une démocratie.
En observant leurs attitudes, on se convainc très vite qu'il n'y a de justice valide que celle qui les conforte dans leurs options.
Ils refusent de voir juger des gens que la justice demande à propos de faits avérés.
Des faits graves.
Et, nous assistons au spectacle de mis en cause qui se déclarent malades, grévistes de la faim, et victimes.
Si cet aréopage de gens sans reproches considérait la justice, ne serait-ce que formellement, chacun d'eux devrait accepter d'obtempérer sitôt convoqué, et s'expliquerait normalement devant le tribunal.
Le contraire de toute attitude citoyenne, respectueuse de la loi, nous est donné en spectacle et fusent les accusations, les appels à l'étranger, une fuite en avant irrésistible.
Tout ce monde doit, qu'il l'accepte ou non, respecter les procédures en cours, et faire montre de civilité.
La loi n'a de sens que si elle s'applique à tous.
Les islamistes, leurs soutiens, ne sont pas une race à part, ni une classe sociale intouchable.
C'est ainsi.
Les " kidnappés " doivent rester définitivement en prison le temps que ces "otages" règlent leurs dettes et purgent leurs peines décidées par le prince de Carthage.
Seuls ceux qui sont enclin à se courber l'échine peuvent être libérés mais sous conditions.
Il faut faire vite en accélérant la purge car Ramadhan avance à pas de géant.
Le pouvoir a intérêt à assurer les ravitaillement nécessaires en remplissant les étagères toujours vides dans les magasins.
Un loup dont le ventre est creux devient plus féroce et n'hésite pas à attaquer le poulailler à tout moment.
Franchement, ça craint...
(L'avocate a estimé que les POCHES de résistance et d'opposition au chef de l'?tat, Kaïs Saïed, au sein de la magistrature finiront par disparaître.) Guerre de positions, sur un champ de bataille entre la justice et les corrompus !
Qu'on vous accorde des crédits, sur des faits imaginaires ? Des suppositions, comment ne pas pouvoir avoir des soupçons de connivence, à ce juge qui a autorisé la libération ?
Une Avocate apparentée à la secte aux Nahdhaouis magouilleurs, porte-parole des islamistes, avocate des causes perdues !
On marche sur la tête, c'est surréaliste ce qui se passe.