
Le porte-parole de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), Mohamed Tlili Mansri a indiqué que les décisions fixant le déroulement de la campagne électorale et son financement avaient pris en considération la possibilité pour un parti politique de soutenir un candidat. Ce dernier devra présenter un document attestant du soutien du parti lui permettant, ainsi, d'utiliser le logo et le programme de cette structure.
Dans une déclaration accordée le 12 novembre 2022 à l'agence Tunis Afrique presse, Mohamed Tlili Mansri a indiqué que les décisions de l'Isie interdiront le financement public conformément à la révision de la loi électorale opérée par le président de la République, Kaïs Saïed. Les candidats pourront seulement bénéficier d'un financement provenant de personnes physiques. Ainsi, les associations, entreprises et partis politiques n'auront pas la possibilité de financer des campagnes électorales. Un plafond relatif au financement total de la campagne sera fixé par décret présidentiel. Les dépenses de la campagne électorale devront passer par un compte bancaire.
Concernant le déroulement de la campagne, Mohamed Tlili Mansri a indiqué que la décision de l'Isie portait essentiellement sur la neutralité et l'impartialité de l'administration et des mosquées. La même décision pose les règles relatives à la tenue de rassemblements et événements dans le cadre de la campagne électorale. Les candidats devront informer l'Isie au préalable avant l'organisation de toute activité servant ce but-là. Des observateurs seront mobilisés par l'Isie afin de suivre le déroulement de ces événements et le respect du plafond relatif aux dépenses de la campagne. Des observateurs appartenant à la société civile tunisienne et de l'étranger y participeront également.
Mohamed Tlili Mansri a indiqué que l'Isie a tenu des sessions de formations au profit des candidats dans chaque région afin de leur expliquer les règles portant sur le déroulement et le financement de la campagne électorale.
Le porte-parole de l'instance a indiqué que l'Isie a fait appel de quatre jugements émis par les juges électoraux du Tribunal administratif. Il a, aussi, précisé que quatre personnes ont fait appel des décisions du même tribunal.
S.G


Devrait-elle que ces intermédiaires ont été désignés (et le sont jusqu'à ce jour) par la connivence de nahdha à monopoliser lesdits circuits pourront ainsi servir, comme plusieurs autres favorisés par nahdha, à donner (par la corruption donnant-donnant) leurs voix de vote aux législatives destinés à ghanouchi pour qu'il devienne, dans une première étape chef de l'assemblée, et ce selon leur plan satanique préconisé lors de leur sinécure entre 2006 et 2011 à Londres lorsqu'ils préparaient l'invasion relative au printemps arabe qui leur permettrait de devenir des milliardaires en saisissant largentvde l'état tunisien par les moyens de corruptions ( révélés actuellement) d'une part et une fois au pouvoir, baliser le chemin vers le pétrole libyen à leurs commanditaires, qui les ont financé et qui les ont pris en soi-disant comme réfugiés à Londres.
C'est d'ailleurs l'intérêt essentiel d'avoir préparé un coup d'état en Tunisie et dont sa préparation à nécessité pas moins de deux décennies, et ce à savoir depuis 1987 jusqu'à 2011, et qui fait partie du contexte désigné par printemps arabe.
Entre-temps et depuis 2011, la Tunisie s'est complètement dégradée financièrement puisque, et en guise de récompense, son argent et ses biens ont été le butin de ces envahisseurs venus de Londres devenus milliardaires en un laps de temps très court et se permettaient lors troïka de s'approprier de luxueuses demeures (nouvellement construites) à Tunis, ou à Paris pour loger leurs familles 111afin de vivre en nababs.
Sans parler des propriétés et des autorisations acquises en Tunisie sans le sou ni mérite.
Comment voulez-vous, ainsi que leurs acolytes, qu'ils ne s'insurgent pas contre la décision salvatrice prise par le peuple tunisien le 25 juillet 2021.
C'est quoi un parti politique '?' ? (questionnement à analyser au-delà du premier degré).
Expert en « Constitution », aucun pragmatisme.
Heureusement qu'il y a encore des gens comme vous qui ont un QI très développé...
Je connais votre sincérité et votre engagement.
Néanmoins je vous mets en garde, KS est sans doute un homme intègre mais il n'est AUCUNEMENT l'homme de la situation.
HELAS ! ! !
Vous vous êtes trompé une fois en choisissant un mauvais cheval, ne persévérez pas ou plutôt ne récidivez pas !
L'expérience est une lanterne qui n'éclaire que le passé.
C'est tout de même drôle de s'apercevoir des fourberies de Ghannouchi et de leur ampleur une fois sa d'échéance venue.
On est puceau de l'horreur comme on l'est de la volupté, dirait un certain Céline qui en fait d'horreurs connaissait un rayon.
Bien à vous.
Je lis toujours avec intérêt vos commentaires bien argumentés.
La Méthode Ghannouchi se résume en une phrase:
Avec de l'argent, tout devient possible.
La méthode Ghannouchi a bien marché il faut le reconnaître, en voici quelques exemples parmi des milliers:
- Ghannouchi acheté les gens de la rue pour venir manifester, quand il a besoin de montrer sa force,
- Ghannouchi a acheté tous les intellos de la place, à leur tête le Tozz Hikma Safi Said. Celui-ci était filmé alors qu'il tournait son stylo dans l'air, pour simuler un vote contre Ghannouchi,
- Ghannouchi a acheté Mechichi. Ce dernier a été désigné Chef de Gouvernement par le Président Said. En quelques jours, la crapule de Mechichi a tourné la veste et s'est jeté dans les bras de Ghannouchi. Dupe comme il est ce Mechichi, il a osé montrer sa trahison au peuple tunisien: il s'est montré en photo entrain de déjeuner avec Rached Ghannouchi, Nabil Karoui et Seifedine Makhlouf, juste après sa confirmation en tant que Chef de Gouvernement par le Parlement. Peut-on être plus stupide et plus lâche.
La METHODE SAID
Sous le régime Kais Said, tout citoyen peut devenir député s'il le souhaite, et si les habitants de sa région le parrainent et votent pour lui.
'?videmment, la Méthode Said ne pourra jamais convenir à des transactions d'achat de voix dans les élections, d'où la colère et la rage des partis politiques, qui avaient l'habitude de s'enrichir encore davantage en de telles occasions.