
Kamel Akrout, l'amiral à la retraite et ancien conseiller à la sécurité nationale du président de la République défunt, Béji Caïd Essebsi, a indiqué, lors de son intervention, ce mardi 21 juin 2022, sur Diwan Fm, que le décret relatif au référendum a omis de désigner le seuil de participation minimum permettant de valider les résultats.
« En second lieu et si le « non » l’emporte, il n’y a aucun scénario prévu. Ce que compte faire le président, nous ne le savons pas. Ce texte note que la consultation devient la référence et cela pose aussi un problème. Quant à la constitution, j’attends de la lire pour me prononcer sur le reste » a déclaré Kamel Akrout, précisant qu’il ne sait pas encore pour quelle position il va opter et que c’est l’intérêt du pays qui doit primer sur le reste.
L’amiral a souligné la nécessité de mettre en place des mécanismes permettant d’être dans un régime présidentiel sans toutefois donner les pleins pouvoirs au président de la République. « Ces partis et groupes d’avant 25 juillet qui sont aujourd’hui en train de pleurer le passé, doivent arrêter. A leur place, je me serais excusé devant le peuple car ce sont eux qui nous ont conduit au 25 juillet. Tout ce système doit présenter des excuses et revoir ses politiques. Rached Ghannouchi parle de démission, il y pense encore sérieusement ? Au lieu de présenter des excuses, il pense à son poste. Il a oublié qu’il a soutenu Kaïs Saïed, c’est lui qui a appelé ses soutiens à voter Saïed alors qu’il avait présenté la candidature de Abdelfattah Mourou. Il a apparemment ublié » a-t-il poursuivi.
M.B.Z
Lorsqu'on entend son collègue le colonel à la retraite Hichem Meddeb, développer les faits et les méfaits, exposant le passé, le présent et le futur, par tous les angles des logiques de la science et de la conscience des grands penseurs de cette planète terre, un régal intellectuel et culturel de l'entendre pour des heures et des heures, puis lui comparer son intelligence avec cet Akrout, qui ne fait que rabâcher son chewing-gum d'Ennahdha et de Rached Ghannouchi, par ses grimaces de grand'mère Ommèk Sissi, jusqu'à nous faire vomir par la mauvaise haleine de ses discours de «banni-banni, adhrèb aâl hit, iikoum ighanni», il y a obligation de lui ordonner par sa hiérarchie militaire, de ne plus utiliser son grade militaire dans ses pratiques politiques nauséabondes, malhonnêtes, mensongères, intrigantes et de bassesse flagrante, dans la vie civile. Il y va de la réputation de notre armée nationale. Non pas de ses ambitions politiques régionalistes, avides et insatiables de pouvoir personnel.
Que ce Kamel Akrout se mette sur la balance populaire avec le Valeureux Général en retraite, Rachid Ammar, le père de la Révolution tunisienne et le garant de sa transition démocratique pour au moins une génération de 30 années, dont il trahit lui-même et qu'il réalise la gigantesque différence entre les vrais patriotes militaires tunisiens, de conscience et d'extrême honnêteté, avec ceux de son espèce, qui transforment les uniformes en un objet d'attrape-nigauds politiques. Les deux sont issus du Sahel. Pour le Valeureux Général Rachid Ammar, on lui dit (Allah yèhfadhou wè innèjjih mine koll charr) et pour Kamel Akrout, on lui dit (Allah yomhil wèlè yohmil).
Allah yostir Tounes.
Il n'a pas oublié, il avait parié sur le mauvais cheval. Il en avait fait le favori et a contribué à le faire élire, sans obtenir ce qu'il escomptait, savoir un Président potiche, ou pantin dont il eut été le marionnettiste.
Mais, Ghannouchi n'admet jamais ses erreurs, encore moins ses fautes, puisque comme il le manifeste lorsqu'il est ans son élément, il prend la pause de l'inspiré. Dieu parle à travers sa bouche.
Du moins, c'est ce qu'il n'a cessé de laisser entrevoir.
Une citation coranique par-ci, une sourate par-là, et Allah et Son Prophète pour compléter, et le tour est joué.
Derrière le corridor, cependant, s'organisent les actes, se font les plans, et sont ourdis les pires coups.
Les assassinats, les menaces, les contraintes pour obtenir les redditions, les ralliements monnayés, et tous les moyens mis en branle pout terroriser ceux qui résistent afin de faire un paysage uniforme, et apparaître légitime.
Nous l'avons subi de ce malfrat avec pour porte-flingues des petites frappes comme ces fripons de Karama. Mais pas seuls.
Il faut, je le redis lui faire fermer sa bouche de menteur.
C'est un vrai kafir. Pour utiliser ses catégories.