
La présidente du PDL, Abir Moussi, a tenu ce dimanche 27 février 2022, un meeting imposant à Sfax pour revenir sur plusieurs questions en rapport avec l’actualité nationale, ainsi que les relations étrangères de la Tunisie.
Abir Moussi a indiqué qu’elle a porté plainte concernant la consultation électronique, considérant qu’il s’agit de dilapidation des deniers publics, outre la falsification enregistrée dans ce sens. Abir Moussi a considéré que cette consultation avait essuyé un échec cuisant, assurant que seul le PDL pourrait enregistrer un million de participants pour une consultation.
D’ailleurs, la présidente du PDL a assuré que le parti va entamer une série de protestations à partir du 13 mars, contre la gestion arbitraire des affaires de l’Etat, soulignant que cette gestion conduira le pays vers une tension sociale et une anarchie rien que pour satisfaire « le gouverneur autoproclamé ». Dans ce contexte, elle a affirmé qu’elle n’accepterait en aucun cas le changement des règles de jeu en cours de route, encore moins, l’élaboration de lois sur mesure.
Abir Moussi a poursuivi que le peuple s’opposerait cette fois aux mercenaires et libérerait son pays malgré le désespoir qui commence à s’installer. Par ailleurs, elle a indiqué que le président de la République aurait dû réunir le conseil de sécurité nationale en urgence et un conseil des ministres pour examiner la situation économique et financière au lieu de concentrer les efforts sur son projet personnel.
Revenant sur le volet diplomatique, Abir Moussi a estimé que le monde était en train de changer, soulignant que la guerre entre la Russie et l’Ukraine, aurait des répercussions sur le système mondial. Dans ce contexte, elle a indiqué que la Tunisie devrait bâtir ses relations sur la base de l’intérêt suprême de l’Etat, tout en envisageant les relations dans le respect mutuel. Elle a, également, dénoncé la confusion entachant la diplomatie tunisienne et les contradictions dans les déclarations officielles.
S.H

A Sfax ? La ville la plus nahdhawie de Tunisie Elle est sacrément courageuse, Abir, à la limite de l'audace et de inconscience'?' Autrement plus gonflé qu'une simple balade, comme celle du maudit gourou maudit dans les rues de Sousse, dont BN fait d'improbables gorges chaudes :
"Ghannouchi se balade à Sousse et tient à le faire savoir !"
'?' Comme si quelqu'un pouvait avoir l'idée saugrenue de s'en prendre à ce gros sac de merde !