
Réuni samedi et dimanche 24 et 25 avril 2021 via visioconférence, le conseil de la Choura d’Ennahdha s’est exprimé sur la situation politique du pays, tout en taclant le président de la République Kaïs Saïed, en le considérant comme responsable de la paralysie du pays. Ceci dit, le conseil n’a pas abordé deux points essentiels, pas un mot sur l’affaire Rached Khiari ni sur leur onzième congrès du parti dont la réunion devait fixer la date, selon l’aveu même de certains de ses dirigeants.
Le conseil de la Choura a estimé que le chef de l’Etat, en bloquant le remaniement ministériel, a gravement nui au rendement du gouvernement, a perturbé les intérêts de l’Etat et bloqué ses rouages. Il a appelé le président de la République et le chef du gouvernement à prendre les mesures appropriées pour mettre fin à la crise du remaniement ministériel qui s’est prolongée et qui a aggravé les dégâts à plusieurs niveaux.
Le conseil appelle à soutenir pleinement le gouvernement et à renforcer ses soutiens politiques et parlementaires, de manière à assurer la stabilité et l'efficacité du travail gouvernemental et à relever les défis de la phase actuelle.
La Choura appelle le chef de l’Etat à mettre la situation sanitaire et économique à la tête des priorités de l'Etat et à éviter tout ce qui diviserait les Tunisiens ou des interprétations individualistes de la Constitution qui perturbent les intérêts de l'Etat et de la société. Il a mis en garde contre toute œuvre entravant les acquis de la révolution en matière de liberté et de démocratie, et considère que tout retour à une gouvernance individuelle sera rejeté par le peuple tunisien qui ne l’autorisera pas.
Et profiter de l’occasion pour saluer les nombreux acteurs constitutionnels, politiques, civils et intellectuels qui ont clairement exprimé leur parti pris pour la démocratie et la suprématie de la constitution, ce qui est considéré comme la meilleure garantie pour protéger la transition démocratique.
Le Conseil a apprécié la série de rencontres politiques et consultatives qui ont réuni le mouvement Ennahdha avec un certain nombre de partis politiques, de blocs parlementaires, d'organisations et d’associations nationales pour chercher des moyens de sortir de la crise politique qui paralyse le pays et entrave ses progrès. Il recommande de poursuivre ces consultations et de s'engager dans toutes les initiatives politiques sérieuses qui soutiendraient la stabilité du pays et protégeraient les institutions de l’Etat et permettraient le lancement des réformes nécessaires.
Et de renouveler sa position ferme que le seul mécanisme pour la résolution de la crise politique est le dialogue et de s'asseoir à la table des négociations dans le cadre de la constitution et des lois du pays.
Le conseil a salué à cette occasion l'appel de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) à un dialogue national fédérateur. Il a également profité pour appeler tous les partis politiques, les organisations et la société civile à renforcer toutes les bases de l'unité nationale et du tissu social de la société tunisienne et à écarter le pays de tous les appels à la division.
I.N
Est-ce qu'ils ont parlé, lors de leur réunion de mascarade, de leurs escroqueries et de leurs manigances ? Et les dépassements accpmplis dans tous les ministères ; sans parler des nominations de connivence sans mérite ni compétence. Le jour où cette métrique choura parlera de ce mafiosisme, il y aura réconciliation.
Sinon comment peuvent ils oser gargariser, à ceux qui veulent bien les entendre, que le refus du Président de cautionner des douteux comme eux le rend responsable du pétrin dans lequel elles se trouvent.
Il faut être sérieux et ne pas raconter des âneries. Il y a bel et bien eu un gouvernement suite à la désignation de votre perverti qui a été cautionné par le parlement. J'imagine que tant le pseudo CDG que les députés ont dû accepter l'équipe après étude des dossiers des candidats ministrables. Puis quelques semaines après, "Ahl El Kahf" se sont rendu compte que près de la moitié étaient incompétents et qu'ils méritent d'être remplacés par des candidats de la trempe des élus de l'ARP. (Il n'est pas nécessaire de les citer, ils se reconnaissent individuellement). Comme l'arnaque et malversation n'a pas passé, ces illuminés crient au scandale.
Seulement il y a la "meilleure" des constitution qui autorise à leur barrer la route parce que le Président se trouve rebelle d'où les gesticulations qu'on observe régulièrement de gens sans scrupule qui n'accepte pas la défaite, parce que de tout temps, au lieu de servir le pays ces gens servent des agendas autres...
https://www.leaders.com.tn/article/31673-je-vous-debarrasserai-d-eux
Qualifiant ce projet de loi de fasciste et d'antidémocratique, la députée a signalé que l'un de ses articles interdit la candidature de ceux qui ne reconnaissent pas la Constitution actuelle.
Elle a estimé qu'il y avait un complot terroriste qui se jouait dans les couloirs et à l'abri des regards pour se débarrasser de son parti par le biais de cette loi.
Abir Moussi a par ailleurs accusé tous les blocs soit disant démocratique de complicité.
https://www.tunisienumerique.com/tunisie-abir-moussi-un-projet-de-loi-pour-empecher-le-pdl-de-se-presenter-aux-prochaines-elections/
Un procureur à Zaghouan soutient un extrémiste fasciste qui tint une station radio durant des années en totale illégalité.
Il met en cause le président d'une instance de régulation et de contrôle sur la base des seules incriminatilns du même fasciste.
Donne ordre d'interdire l'accès au dossier monté par le même fasciste et son avocat.
Un takfiriste, sniper chargé de sales besognes, passe son temps à diffuser de fausses accusations y compris contre le Président de la République, ne défére pas aux convocations du tribunal, et continue de narguer juge et autorité.
Le seulpoint qui unit ces deux affaires est le profil des instigateurs de ces buzz, ils sont islamistes.
Alors, il faut accuser la choura et Ennahdha de n'être qu'une caisse de résonance des faits et actes de ces délinquants qui font, en plein jour, ce que fait Ennahdha en catimini....
Donc, il faut dire merde à Ennahdha et si on a un peu de courage, on démonte leur stratagème et on les boycotte pour propagation de faux, d'atteinte à la sécurité du pays et pour détournements et réels de biens sociaux.
Sans compter la terreur, qui est la cerise sur le gâteau.
Donc, re-merde aux barbus et à tous les menteurs.
Votre conseil de basse-cour ne rime à rien. Vos palabres au quotidien contre la présidence se limite au bas de vôtre porte ni plus ni moins.
L'appel à l'unité nationale elle peut se faire mais sans vous et sans votre gourous, il est bon pour lui de prendre sa retraite et qu'on en parle à jamais de lui.
La Tunisie n'on peut plus, onze années de souffrance depuis votre arrivé, le mieux retourner d'où vous êtes venus.
Et quand est-ce que les tunisiens vont-ils en prendre conscience ?

