
Le chef du gouvernement Hichem Mechichi a affirmé dans une déclaration accordée aux médias vendredi 23 avril 2021 qu’il ne comptait pas abandonner les ministres proposés au remaniement ministériel.
Hichem Mechichi a argué qu'il n'y a pas de raison pour annuler le remaniement ministériel surtout qu'il avait été approuvé par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP). Il a également fait savoir que le gouvernement préparait un plan de réforme économique et sociale pour une sortie de crise.
Réagissant aux appels à la trêve lancés par l’ancien chef du gouvernement Youssef Chahed, Hichem Mechichi a indiqué : « nous ne sommes pas en guerre pour parler d’une trêve » avant d’inviter tous les acteurs politiques au dialogue et à l’apaisement du climat politique.
On rappelle que le président de la République, Kaïs Saïed, s’oppose au remaniement ministériel partiel auquel le chef du gouvernement Hichem Mechichi a procédé le 16 janvier. Evoquant des suspicions de corruption pesant sur certains ministres désignés, Kaïs Saïed a refusé de signer le remaniement ministériel. Depuis, une crise politique se joue au sommet de l’Etat et les deux têtes de l’exécutif campent encore sur leurs positions.
I.M.

En fait, les adversaires véritables ont jusqu'à présent contourné le choc frontal, mais poursuivent leur joute sans fléchir, chacun exploitant ses atouts et ses avantages pour mettre l'autre dans l'embarras. Un jeu dément et mortifère dont nous ne sortirons guère indemnes !
L'engrenage infernal des alliances, des compromissions et des défiances, a mis en route cette guerre qui n'en finit pas. Pour être pacifique, son issue nécessite une volonté concordante de dialogue et d'apaisement. Or chacun campe sur ses positions, pis, il les conforte par de nouveaux arguments et par des décisions, des actes, des déclarations ostensiblement provocantes, sinon vexatoires ! Dans ces exercices, c'est certainement le Premier Ministre, un homme sorti de nulle part et sans aucune légitimité, qui, encouragé, sinon incité par son "coussin" protecteur se sent pousser des ailes et nargue ouvertement le Chef de l'Etat, élu par une majorité qu'aucun élu n'a pu réunir, et qui jouit d'une forte légitimité ! Curiosités, anomalies et incohérence d'un système politique perverti, complètement abscons, qui inverse toutes les valeurs, les normes et les principes, et qui met entre les mains d'un non-élu des pouvoirs considérables, en particulier celui de disposer du devenir de tout un pays.
Pour peu que des partis se liguent pour le soutenir, c'est la voie royale ouverte à tous les dépassements, les passe-droit, les lois partisanes, les combines et les arrangements, sans aucune possibilité d'endiguement, par la grâce, magique, de la majorité à l'Assemblée ! Mais toute alliance peut avoir un terme, et toute majorité finir par se fissurer. Alors, gare au retour de manivelle !
Alors, gare aux intempéries !
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(i) La majorité parlementaire.
(il) Les ressources juridiques et financières.
(iii) Le niveau de satisfaction populaire.
Elloutf ya Rabbi Meskina tounis.
Ma âandhom hatta himma hal hmoum.
Alli yi7sib ouè7dou yofthoullou
Vous n´avez forcé personne à vous nommer ou à voter pour vous en tant que Président du gouvernement. Maintenant, vous êtes au sommet du pouvoir et vous ne devez surtout pas accorder d´importance aux jappements et aboiements des chiens. Tout le monde est jaloux et vous en veut.
Ils ne peuvent pas imaginer qu'un jeune en dehors de la nomenclatura puisse gouverner la Tunisie. Pour gouverner, vous avez besoin d´une majorité parlementaire à l´ARP et vous l´avez déjà.
Pour vous impressionner et vous intimider, la Mafia a même fait sortir un vieil amiral retraité (3askri) de son ombre, pour démander votre démission ..
Un Sahelien qui n´aime pas le mot dictateur et qui vous soutient.
Bonne chance à vous.
Sahli et démocrate.
Même sa femme campe sur ses positions.
Un plouc ce Mechichi
Nom de dieu, les deux obsédés Gannouchi et Michichi, si on peux pas les faire partir par les moyens démocratiques, eh bien il est temps impérativement ,obligatoirement de lancer un référendum pour des nouvelles élections prématurées avec tous les révisions et réformes adéquat et nécessaires à ces élections.