
Les élections des membres de la Cour constitutionnelle se dérouleront le 8 avril, a annoncé jeudi 18 mars 2021, le bureau du Parlement dans un communiqué.
La Cour constitutionnelle aurait dû être en place depuis 2015, conformément aux dispositions de la Constitution qui stipule son instauration dans un délai d’un an après les élections de 2014.
Pourtant, rien n’a été fait pour mettre en place cette juridiction ô combien importante en ces de temps de crise. La Cour constitutionnelle aurait pu, entre autres, trancher dans le conflit qui oppose les deux têtes de l’exécutif : Hichem Mechichi à la Kasbah et Kaïs Saïed à Carthage.
Cette Cour devrait compter douze membres : quatre élus par le Parlement, quatre nommés par le président de la République et quatre autres choisis par le Conseil supérieur de la magistrature.
Le bureau du Parlement est, également, revenu, dans son communiqué, sur la sanction disciplinaire infligée à la présidente du Parti destourien libre (PDL), Abir Moussi, pour avoir perturbé mercredi et jeudi les travaux de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).
Celle-ci a été interdite d’assister à la réunion du bureau du Parlement sur décision du président de l’Assemblée, Rached Ghannouchi. Une décision approuvée à l’unanimité par les membres du bureau de l’ARP.
Le bureau du Parlement est, par ailleurs, revenu sur les évènements de l’aéroport de Tunis-Carthage pour dénoncer le coup de force opéré par le chef du bloc d’Al Karama, Seif Eddine Makhlouf. Celui-ci a, rappelons-le, agressé des agents de la police des frontières pour les obliger à autoriser le départ d’une citoyenne fichée S17.
N.J.
De surprise en surprise ! La preuve le gouvernement on le croyait indépendant. Plus confiance en personne tous pareils
De déception en déception. Tozzz
Regardez au tour de vous
J'égorge un b'?uf ce jour-là et je vous invite tous à vous joindre à la fête;
Enfin la Cour Constitutionnelle instituée ,ou Commission d'arbitrage, qui va veiller à modérer les velléités hégémoniques d'un pouvoir sur l'autre, que cela soit de la part de l'exécutif, du législatif ou du Judiciaire;
Ainsi, l'Esprit de la Constitution tunisienne sera respecté et vous verrez les faux débats, les faux procès, les problèmes factices faire pschitt d'un seul coup et on va enfin parler de Développement, d'infrastructures, d'économie et de redressement du DT!
Vive la Tunisie ,3-fois millénaire, libre et indépendante et Vivent ses Institutions régaliennes, patriotiques, qui veillent au bon équilibre des Pouvoirs!
ABIR est la hantise de tous ceux qui ne sont pas patriotes et ils semblent nombreux maintenant dans cette institution.
que six années se sont écoulées, sans que ces élus et ceux qui les ont précédés n' y ont vu d'urgence. Urgence motivée par les tentatives infructueuses du chef du gouvernement et de sa ceinture politique, depuis le remaniment, pour forcer le président K. Saied à lever le blocage.
Cette précipitation, soudaine, n'est pas le fruit du hasard car elle sert des partis, actuellement en supériorité numerique, qui disposeront d'une cour constitutionnelle à leur convenance. Conscient de leur impopularité grandissante et du soutien dont bénéficie K. Saied, il s'activent à créer impérativement cette cour. Cette juridiction, si elle venait à etre instaurée, statuera en leur faveur et priverait le chef de l'état de toute autre alternative et risqeurait peut être la destitution.
- Une ARP dominée par des islamistes et des corrompus qui voudrons placer leurs sbires. Quatre élus à la solde des khwanjias et de ses alliés d'elkharama et de kleb tounes avec le soutient de Abou et son parti à la bicyclette.
- Un président de la république, incapable de désigner des chefs de gouvernement integres, sera- t-il apte à nommer quatre membres qui n'aient pas de conflit d'intérêts ou qui ne soient pas, potentiellement, susceptible de le trahir?
-Un CSM, qui, par solidarité corporatiste, a saisi le conseil de discipline pour traiter les cas de deux juges qui ont défrayé la chronique, l'un pour suspicion de corruption et l'autre pour dissimulation de preuves importantes dans les dossiers de l'assassinat de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, est- il compétent pour choisir des juges audessus de tout soupçons, sachant qu'elle compte, en son sein, des juges partisans.
C'est Saint-Paul sur le chemin de Damas. Une illumination rend cet aréopage sensible à l'érection d'un organe de contrôle de lalégalité.
Je traduis, car c'est si transparent et à portée de mes capacités imaginatives:
Cette institution devient nécessaire, pas seulement utile, dans les petits calculs de la secte et ses suiveurs.
Mise en place, et compte tenu de sa composition à parité entre les trois têtes du pouvoir, les possibilités de marchander et orienter ses arbitrages laisserait encore du temps et serait un des moyens d'empêcher une éventuelle dissolution, coupant court à toute velléité de les déboulonner.
Voilà le mystère de la subite conversion de Ghannouchi et ses suivants. Contrairement à Paul qui ouvrit de nouvelles terres à la Nouvelle Parole.
Les islamistes ont leur avenir derrière eux, et c'est en ce chemin qu'ils conduisent le peuple et le pays.
On peut parier qu'on est capable de nous éviter ce naufrage.
Chiche !
Voilà pourquoi, l'on peut soutenir que Ghannouchi, même assisté de l'ancien apparatchik du RCD, n'est qu'un petit. Petit malin.
Mangeur de fèves pour péter et le
Lablabi pour se con sniper le con..
Dormez tranquilles braves gens !!
Les infirmités des voleurs sur notre constitution veilleront !!
Pendant que les scélérats islamocorrompus vous plumeront !
Avec la bénédiction de Mchichi et son gouvernement..!!

