
L’ancien ministre de l’Agriculture, Samir Taïeb, a été arrêté puis placé en détention dans le cadre d’une affaire de corruption. Sept autres responsables du ministère de l’Agriculture font face aux mêmes accusations.
L’ancienne porte-parole de la présidence de la République tunisienne et avocate, Saïda Garrach, est revenue, dans un statut sur sa page Facebook, sur les détails de cette affaire, étant membre du comité de défense de l'ancien ministre.
Elle affirme que le dossier remonte à 2014 et concerne un accord conclu entre le ministère de l’Agriculture et un prestataire de service pour le déploiement d’une solution informatique de gestion des ressources hydriques notant que le projet a été financé entièrement par la Banque africaine de développement.
Elle précise, également, que le projet a été lancé et le prestataire de service payé bien avant la nomination de Samir Taïeb en tant que ministre de l’Agriculture. Celui-ci a, rappelons-le, été à la tête du ministère de l’Agriculture entre 2016 et 2020 sous le mandat de Youssef Chahed.
Alors que le projet avait été quasi-achevé, le contrat a été résilié par le ministère de l’Agriculture compte tenu des retards accusés dans la réalisation du projet. Des consultations ont alors été lancées pour finaliser le projet. Samir Taïeb venait, à l’époque, de prendre les rênes du ministère de l’Agriculture.
En réponse aux réclamations du prestataire de service initial, Samir Taïeb a exigé l’examen du dossier. Les experts mobilisés sur l’affaire ont proposé, entre autres, l’annulation de la résiliation du premier contrat. Ce qui a été, in fine, exécuté sachant que les deux consultations lancées n’ont pas eu de soumissionnaires.
Saïda Garrach n’a pas manqué de pointer du doigt les pressions exercées sur certains juges soulignant que la lutte contre la corruption ne pourrait jamais avancer si les efforts consacrés sont focalisés sur des dossiers vides.
N.J.

d instrumentaliser les medias pour credibiliser la version de son client , esperant influencer
l opinion et la justice alors que cette derniere ne s est pas prononcee. A croire Mme Garrache la justice en Tunisie enferme les citoyens les plus innocents, Mme Garrache doit evidemment gagner sa vie mais pas au point de prendre les gens pour des imbeciles..
D'ailleurs il apararaissait, dans certaines occasions comme une star dorlotée et gâtée ; or certaines personnes connues par leur nationalisme et patriotisme n'osaient même pas le regarder en face ni le saluer comme certains lèches-bottes et ce comme s'ils savaient déjà que ce type est un vendu et un indigne manipulé par l'énergumène ghanouchi le sale
Cette affaire n'est pas l'unique affaire de corruption au sein du ministère de l'agriculture quand Samir Taieb était ministre, un grand nombre des dossiers de l'émission les quatre vérités étaient consacrées aux affaires de corruption au sein de ce ministère. La présidente du PDL , Abir Moussi, a expose un nombre importants de mauvaises pratiques lors de son discours a Beja qui est encore sur youtube. On a choisit cette affaire parce qu'elle est la plus facile a traiter, les autres sont plus compliquées et impliquent un grand nombre de personnalités protégées et des syndiques qui restent pour le moment intouchables.
Le sabotage de l'agriculture en Tunisie rappelle la période précoloniale ou des Tunisiens ont agit pour rendre le pays plus colonisable et voulait que la France colonise la Tunisie (en commençant par Mahmoud Ben Ayed avec Semmama et Khaznadar qui a vole la trésorerie de l'état après l'acquisition de la nationalité française).
La Tunisie n'est plus en mesure assurer sa securite alimentaire et le déficit de la balance alimentaire a explose, on limite les choix des dirigeants et on est plus capables de suivre une politique autonome. On est contrains de suivre les directives du FMI, de l'union européenne ou les USA même si c'est contre nos intérêts, ce qui est généralement le cas.
Les peuples intellectuels savent gérer leurs vies et ne sont pas manipulables à souhait.
Est ce que c'est cela combattre la corruption?en arrêtant des gens comme ce monsieur qui visiblement n'ont pas spolié les deniers de l'états, et laisser libre les vrai criminels?
c'est vraiment inquiétant, notre justice patauge et on est est pas sorti de l'auberge, pauvre Tunisie...
Sachez que le gouverneur de Manouba vit aussi ce même cauchemar digne d'une roman de Kafka, je conseille à ces magistrats de relire Kafka pour éveiller leur esprit zélé....
Et si Mme Dr s.garrach le dit c'est que c'est vrai.
D'autant plus que son client, Dr s.bettaieb avait accompli sa mission avec brio en tant que ministre de l'agriculture.
Et qu'on arrête toutes les poursuites contre ceux qui avaient fait les beaux jours de la Tunisie
Servir son pays c'est bien ,mais ne jamais s'associer avec des escrocs !!!
Ce monsieur Taieb a l'air d'un homme très naïf !

