Le secrétaire général de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi a reçu, ce jeudi 2 février 2023, plusieurs lettres de soutien de la part de nombreuses organisations syndicales internationales.
Noureddine Taboubi a reçu une lettre de soutien de la part de Philippe Martinez, secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT).
Cette lettre exprime le soutien de la centrale syndicale française à l'UGTT après l’arrestation du secrétaire général du syndicat des agents de Tunisie Autoroutes, Anis Kaâbi. Celui-ci a, rappelons-le, été interpellé dans la soirée de mardi après une visite inopinée du président de la République à la caserne de la Garde nationale d’El Aouina.
La CGT évoque une "grave violation des droits syndciaux", une "négation des libertés syndicales", le "non respect des normes internationales" et parle d'"intimidation honteuse" et de "pratique intolérable".
L'UGTT a également reçu une lettre de soutien de la fédération syndicale internationale l'IndustriALL Global Union notamment, qui représente plus de cinquante millions de travailleurs dans 140 pays des secteurs des mines, de l'énergie et de la manufacture, et qui a estimé que l'arrestation d'Anis Kaâbi "viole les droits syndicaux". Idem pour la Conféderation syndicale espagnole des commissions ouvrières qui a évoqué "l'intimidation et le harcèlement des syndicalistes".
Les agents des péages de Tunisie Autoroutes ont annoncé une grève de trois jours sur l’ensemble du territoire tunisien à compter de dimanche 12 février 2023, des sit-in de protestation seraient, également, organisés avant la grève.
La grève prévue le 12 février serait la deuxième que les agents de Tunisie Autoroutes observent en moins d’un mois. Une première grève a, rappelons-le, été organisée les 30 et 31 janvier 2023. Cette décision intervient au lendemain de l’arrestation d'Anis Kaâbi.
M.B.Z
Une réalité bien différente d'un réel de syndicaliste portugais, italien, allemand ou français. En tunisie, la corruption a gangrèné tout un pays, n'en déplaise à taboubi et sa clique.
" son inquiétude quant aux menacent qui pèsent... "
" Les agents des péages de Tunisie Autoroutes on annoncé...."
BN : Merci d'avoir attiré notre attention
L'UGTT trace des lignes rouges parte et s'octroit le droit de veto sur toutes les décisions du gouvernement.
L'UGTT bloque les énergies renouvelables et chassent les investisseurs.
Ses adhérents décident s'ils veulent de travailler et arrêtent le travail quand bon leur semble.
Les syndicats nomment les directeurs et décident le licenciement des ministres.
Ce ne sont plus ce des syndicats mais un contre-pouvoir (ou le pouvoir) et un fardeau économique.
Le syndicat des ports coûte au pays plusieurs points de PIB et compliquent les exportations et rend les importations plus coûteuses.
Les syndicats de l'enseignement refusent d'accomplir leur travail et communiquer les notes.
Martinez et Taboubi sont deux frères jumeaux en incompétence et en irresponsabilité. Mêmes égos, mêmes réflexes de classe, deux gros nuls prêts à tout quitte à casser leur pays...
Tout dernièrement, l'UGTT s'est mise à lécher les bottes du président Kaïs Saïed et de s'aligner du côté de son coup d'Etat du 25 juillet 2021, contre la volonté du peuple tunisien. Lorsque le président Kaïs Saïed, l'a répudiée, parce qu'il connaît son rôle destructeur depuis au moins 4 décennie, l'UGTT s'est donnée le droit d'écarter elle aussi, les partis politiques qui ont milité pour que les Tunisiens vivent leur liberté et leur démocratie postrévolutions du 14 janvier 2011. Tabboubi & Co., s'octroient d'eux-mêmes le droit d'appeler ceux qu'ils en veulent et d'écarter ceux qu'ils n'en veulent plus. Ils se sont transformés en plus royalistes que le roi arriviste du néant Kaïs Saïed. Ils se concurrencent avec lui dans tous les crimes politiques dont souffrent les Tunisiens. Ils dénigrent les inepties du président Kaïs Saïed, de vouloir écarter les partis politiques et surtout le parti d'Ennahdha de la scène politique tunisienne, mais eux aussi, ils appellent les jeunes avocats et des associations de vocation syndicale, tout en écartant les partis politiques coeurs battants de la politique en Tunisie et de par le monde entier.
Qu'ils disent à l'UGTT de s'écarter de la scène politique en Tunisie. Sinon le président Kaïs Saïed va les emprisonner tous à Porto Farina.
Allah yostir Tounes.
Non.
Les grèves constituent un blocage radical ; pas de "pression".
'? un patron, vous lui ditent "pression" ?
Lui, vous répondra "mondialisation" : (ndlr je déménage ailleurs).
En fin de compte, qui est perdant ... lorsque dans une Nation, les boites s'en vont et qu'il n'y a plus d'emploi ?
Vous arrivez à une situation que nous connaissons bien, en Tunisie, ou, par succession stupide de greves post 2011, les grosses boîtes ont déménagé.
...
Les fanatiques de greves, sont ... des nuls en négociations ... sinon, jamais ils n'arriveraient a un blocage ; un échec.
...
Oui.
Parce qu'un blocage - jne greve - est un échec, dont personne ne sort gagnant.
C'est un acte commis par des personnes simplistes ; un etre censé - avec la tete sur ses épaules et sachant utiliser ses neurones - n'arrivant jamais a un blocage, parce que - justement - il sait -calmement - négocier ... équitablement.
Qu'est-ce donc "négocier" ... ?
Se bloquer ?
Certes pas.
C'est - schématiquement parlant - s'asseoir - tous - a la meme table, pui, calmement, a tour de role, chacun expose ses idées / points de vues, de maniere rationnelle, objective et ... concise ; pas en monopolisant la discussion.
Des différents ?
Pas grave, quand les esptits sont calmes ... :
On fait chacun - équitablement , justement - des concessions, jusqu'a arriver a une solution a peut pres acceptable par toutes les parties.
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Mais une greve ... cela, c'est quand vous avez des anes batés en négociations.
Des personnes inaptes et au Q.I. tres bas ; simplistes.