Limogé par Hichem Mechichi ce matin, Imed Boukhris a été reçu plus tard dans la journée par Kaïs Saïed, d’après un communiqué de la présidence de la République publié ce soir du lundi 7 juin 2021.
Lors de cet entretien, le chef de l'Etat a affirmé que ce limogeage viole la loi, ajoutant que plusieurs personnes et organisations lui ont fait part de leur mécontentement.
« Votre limogeage était prévisible car vous avez soulevé plusieurs affaires et apporté des preuves incriminant plusieurs personnes, parmi lesquelles celles dont la prestation de serment a été refusée. L'une de ces personnes a une affaire devant le pôle financier et d’autres trainent des affaires de corruption », a déclaré Kaïs Saïed.
Il ajoute : « De quelle lutte contre la corruption parle-t-on ? Ils luttent contre ceux-là mêmes qui se dressent contre la corruption, en plus de cela, ils violent la loi qu’ils ont eux-mêmes instaurée. La corruption ne se combat pas par les mécanismes qu’ils ont installés. Des mécanismes qu’ils ont mis en place afin de cacher certains dossiers ».
Imed Boukhris a exprimé, de son côté « les difficultés rencontrées lors de sa mission et les véritables raisons de son limogeage », faisant part à Kaïs Saïed des « violations de la loi commises lors de cette décision ».
Ce matin, le président de l’Instance nationale de lutte contre la corruption (Inlucc) avait été remercié et remplacé par Imed Ben Taleb Ali.
Le limogeage de M. Boukhris survient sur fond de raisons politiques, on lui reprocherait notamment une certaine proximité avec le président de la République Kaïs Saïed.
Depuis le mois de janvier, le président de la République, Kaïs Saïed, s’oppose au remaniement ministériel partiel auquel le chef du gouvernement Hichem Mechichi a procédé. Evoquant des suspicions de corruption pesant sur certains ministres désignés, Kaïs Saïed a refusé de convoquer les nouveaux ministres pour la prestation de serment, entravant, ainsi, leur prise de fonction. Depuis, une crise politique se joue au sommet de l’Etat et les deux têtes de l’exécutif campent encore sur leurs positions.
S.T
Imed Boukhris, président de l'Instance nationale de lutte contre la corruption (Inlucc ) constitue un obstacle pour les ambitions mafieuses de Rached Ghannouchi. Ghannouchi ne supporte pas qu'on l'empêche de profiter pleinement de son jardin privé la Tunisie. Pour Ghannouchi, tout tunisien qui n'est pas Khouanji est Kafer. La Fatwa de Ghannouchi va encore plus loin : l'argent d'un Kafer, la femme d'un Kafer et la fille d'un Kafer sont Halal pour un Khouanji.
LES RAISONS DU LIMOGEAGE :
Bien évidemment, Monsieur Imed Boukhris, avec son Inlucc, ne sont pas dans la logique de la Fatwa de Ghannouchi. L'Inlucc est une institution républicaine, elle vit avec et pour la République. Cela n'arrange surement pas les affaires mafieuses de Ghannouchi. celui-ci a alors ordonné à son subalterne Mechichi le limogeage sauvage, stupide et ridicule du président de l' Inlucc.
Ce limogeage grotesque, qui a touché à une personnalité honnête et intègre de notre pays, doit constituer une motivation supplémentaire pour le Président de la République, dans sa lutte acharnée contre la corruption et l'obscurantisme des Khouanjia.
CONCLUSION :
Il faut toujours rappeler que les Khouanjia sont une race à part. ils ne peuvent jamais cohabiter avec les tunisiens, ils ne peuvent jamais vivre dans la République.
Lorsqu'on pense qu'à peine l'avion du défunt dictateur déchu Ben Ali, decolla de l'Aouina, que tout l'Etat tunisien s'est effondré comme un château de cartes, il y a lieu d'être trop fier de voir notre deuxième République, rouler sur les railles par ses propres Institutions démocratiques, sans la moindre locomotive.
Qu'ils s'insultent. Qu'ils se chamaillent. Qu'ils se bagarrent. Qu'ils intriguent. Qu'ils sabotent. Rien ne les aide plus avec ce merveilleux régime parlementaire. Ils ne font en vérité que montrer au monde entier, que notre deuxième République tunisienne démocratique arabe et musulmane de régime parlementaire, roule par ses propres institutions républicaines, sans eux et sans leur présence.
Quelle réussite pour la Tunisie et quelle honte pour ces arrivistes amateurs politiques , qui ne finiront que dans la poubelle de l'histoire.
Vive la Tunisie. Vive la Révolution tunisienne. Vive le régime parlementaire.
C est qui?! J ai pas entendu!
CEST qui?!!!
Alors tu vas faire ton travail?
Ou tu vas sauter sur les genoux de sidek echeik?
Hmmm?
Pourquoi il n'a pas ete reçu par le President ?
Quel message !!!