En occident, la nudité en tant que mode de vie ou mode d’expression corporelle existe depuis des décennies. Et comme nous ne sommes jamais très loin de ce qui se passe dans le monde, notre pays a connu ce mode de vie qu’est le nudisme.
Le raid américain sur un immeuble de la ville libyenne de Sabratah vendredi dernier annonce le début d’une guerre internationale en Libye contre le terrorisme de l’organisation Daesh. L’immeuble abritait une soixantaine de terroristes majoritairement tunisiens. Le raid annoncé comm
Dors mon ami. Rien n’a changé depuis ton départ, les rêveurs sont toujours si peu nombreux et leur nombre diminue sans cesse comme une peau de chagrin. Comme notre chagrin… Le soleil est toujours aussi beau dans notre pays,
Après quelques jours de tension extrême dans le pays qui rappellent à bien des égards le déclenchement de la révolution du 14 janvier 2011, le calme est revenu dans la quasi-totalité des régions. Kasserine qui a donné les premiers signes de la fronde a été déterminante dans l’apaisement de la tension. En quelques jours, par quelques manifestations, quelques marches
Le congrès de Nidaa Tounes tenu à Sousse les 9 et 10 janvier n’a pas eu les résultats escomptés. Il était conçu comme une tentative pour dépasser les difficultés internes de ce parti. Il a abouti à une véritable implosion et à une hémorragie dans ses rangs qui a touché des dirigeants et des cadres de premier plan. Pour avoir oublié l’essentiel et opté pour le passage en force, il en est sorti de ce congrès que des perdants. Parmi ces perdants, et peut-être le premier d’entre eux, Béji Caïd Essebsi
L’invité vedette du congrès du Nidaa est incontestablement le leader du parti Ennahdha, Rached Ghannouchi, hué naturellement, presque par instinct, au début de son intervention pour être applaudi à la fin par calculs, tant personnels que politiques
Dans la morosité ambiante qui caractérise ce début d’année, tout le monde attend le remaniement ministériel. Pourquoi ? Nul ne peut répondre, d’autant plus que beaucoup n’attendent plus grand-chose d’un nouveau gouvernement qui ne changerait rien à l’équilibre statique actuel.
L’avocat Mounir Ben Salha a été suspendu « provisoirement » du barreau pour être intervenu dans une émission télévisée. Le contenu de son intervention est fortement controversé, mais nul ne peut lui interdire son droit d’exprimer son avis qui concerne tous les Tunisiens, sans aucune exception.
Il se passe des choses dans le pays qu’on peine à expliquer, qui donnent le tournis et qui semblent échapper à toute logique. Est-ce la faute des Tunisiens incapables de se hisser au niveau de la subtilité de certaines initiatives ou décisions
Un jeune tunisien a été condamné à un an de prison pour homosexualité. Dans d’autres circonstances, cela aurait pu passer pour un simple fait divers. En réalité, c’est un événement suffisamment important et grave pour qu’on s’y attarde.
Le groupe terroriste Daesh en Libye a annoncé la semaine dernière, l’exécution d’un citoyen tunisien soupçonné d’être un agent infiltré du colonel Hafter. Dans une vidéo macabre, diffusée par Daesh en Libye, le pauvre Tunisien est montré dans ses habits de condamné, balbutiant quelques phrases en guise d’aveux, pleurant de toutes ses larmes avant d’être envoyé à la mort.
L’ancien président provisoire Moncef Marzouki, ému visiblement par le drame syrien, a écrit récemment qu’ « il n’est pas possible pour les Tunisiens et les arabes de continuer de regarder le drame de nos frères syriens sans réagir ». Plus grotesque et plus hypocrite que cela tu meurs.
Finalement, il est définitivement établi que le terroriste tunisien Abou Iyadh, chef du groupe Ansar Chariâa est mort dans l’attaque aérienne américaine contre un convoi terroriste en Libye, le 14 juin dernier.
Nous ne pouvons qu’être tristes à l’annonce de la libération du terroriste libyen Walid Glayeb en échange des diplomates tunisiens kidnappés à Tripoli.
Tristes parce que la dignité de l’Etat tunisien est bafouée encore une fois. Tristes parce que nous ne garantissons pas par cette démarche poltronne la sécurité de nos ressortissants en Libye, loin s’en faut.