Accès quasi impossible au crédit, pénurie de médicaments spécifiques, imposition injuste : les personnes âgées, et particulièrement les retraités, se sentent rejetées par un pays auquel elles ont consacré leur vie. Jusqu’à quand ?
Douche froide pour les retraités cette semaine au Parlement. Le tant attendu article de loi visant à alléger leurs impôts a été rejeté. La grande déception et l’amertume se lisent sur les visages de ces deux anciens banquiers qui attendaient impatiemment ce vote.
Habitués à un train de vie confortable pendant leurs années de travail, ces deux retraités ont vu leurs revenus chuter de plus des deux tiers en raison de la réglementation actuelle qui plafonne les pensions de retraite. « Avant ma retraite, je touchais plus de dix mille dinars par mois. J’occupais un poste de responsabilité, je faisais gagner beaucoup d’argent à ma banque et bénéficiais de nombreuses primes. Ma pension de retraite s’élève à environ 2 200 dinars. Impossible de vivre avec ça tout en conservant mon train de vie d’avant. On passe sa vie à travailler dur pour se reposer à la retraite et profiter des fruits d’une vie de labeur. Or, c’est le contraire qui se passe : le système est conçu pour que le retraité ne puisse pas maintenir ce train de vie. Ils veulent que tout le monde vive dans la précarité. Pourtant, lors des cotisations, ils prélevaient bien les montants correspondant aux gros revenus », déplore l’un d’eux, qui s’est vu contraint de créer une société unipersonnelle de consulting pour boucler ses fins de mois.
Une injustice fiscale persistante
Ce système, en place depuis des décennies, n’a été révisé par aucun gouvernement, ni avant ni après la révolution.
Pour le secteur privé, le montant de la pension correspond à 40 % du salaire de référence pour les quarante premiers trimestres de cotisations, majoré de 0,5 % pour chaque trimestre supplémentaire, sans dépasser 80 % de ce salaire. Le salaire de référence est défini comme la moyenne des salaires des dix dernières années, actualisés et plafonnés à six SMIG, soit environ 2 500 dinars bruts.
Dans ce système, une injustice majeure persiste : les retraités estiment que leurs pensions devraient être nettes d’impôt. « Nos pensions proviennent de l’argent que nous avons épargné toute notre vie. Nous rendre cet argent ne devrait pas être imposable, puisqu’il l’a déjà été par le passé ! », répètent de nombreux internautes sur les réseaux sociaux. Une vaste campagne a été menée ces dernières semaines pour inclure dans la Loi de finances 2025 un article exemptant les pensions de retraite de l’impôt sur le revenu.
Une campagne avortée pour exonérer les pensions
Cette campagne a rencontré un large écho auprès du public et des députés, qui ont proposé la mesure. Après un long débat en commission et en plénière, la proposition a été adoptée : lors de la plénière du 30 novembre 2024, les élus ont voté (63 pour, 10 abstentions et 47 contre) en faveur de l’exonération de l’impôt sur les pensions de retraite, d’invalidité et l’allocation pour orphelins. L’application de cette exonération devait être progressive, avec un plafonnement à 60 % des prélèvements opérés avant l’adoption de la mesure.
Cependant, trois jours plus tard, le 2 décembre, en dépit du vote majoritaire, un revirement a eu lieu. Sous le régime de Kaïs Saïed, une pratique unique au monde semble s’être instaurée : revenir sur une loi déjà votée. L’article de loi a été purement et simplement annulé.
Une vision où le citoyen sert l’État
Pour justifier ce rétropédalage, les députés ont adopté sans réflexion critique les arguments de la ministre, selon lesquels une telle mesure coûterait quelque 900 millions de dinars à l’État. En réalité, il s’agit d’un manque à gagner, et il revenait aux députés de trouver des solutions pour combler ce déficit au lieu de supprimer l’impôt.
L’attitude de la ministre, soutenue par les députés, reflète un état d’esprit généralisé. Le citoyen tunisien est traité comme une simple ressource économique par l’État. Cette situation s’aggrave lorsqu’il s’agit des personnes âgées.
Au lieu de corriger cette injustice fiscale, la ministre et les députés ont réduit la problématique à une question d’argent et d’équilibres financiers. Or, les retraités ne devraient en aucun cas être responsables de ces équilibres : ils ont déjà contribué tout au long de leur vie active.
Si le ministère rencontre des difficultés financières, il doit trouver des solutions ailleurs, plutôt que de ponctionner encore davantage les pensions des retraités.
Menace sur l’accès aux médicaments
Malheureusement, cette discrimination fiscale n’est pas la seule injustice subie par nos retraités et nos personnes âgées.
Le 2 novembre dernier, le PDG de la Pharmacie centrale a déclaré avoir des difficultés à équilibrer ses finances, ce qui l’a contraint à réduire les commandes de médicaments importés.
La centrale syndicale a dénoncé cette décision, estimant qu’elle revient à priver les personnes âgées de traitements essentiels. Elle a qualifié ces propos d’inadmissibles, évoquant une atteinte au droit fondamental à la santé et à la vie. Si aucune solution n’est trouvée, une pénurie de certains médicaments importés, principalement destinés aux personnes âgées, pourrait survenir.
Des banques réticentes à accorder des crédits
Une autre forme de discrimination touche les retraités : celle pratiquée par certaines banques. Bien que leurs pensions soient réglementées, les banques rechignent à leur accorder des crédits. Elles ne le disent pas explicitement, mais imposent des démarches administratives décourageantes. La raison ? « Ils risquent de mourir avant de rembourser leur crédit », confie un banquier sous couvert d’anonymat. Pourtant, les crédits sont assortis d’assurances pour garantir leur remboursement. « Et alors ? Cela nous impose des démarches supplémentaires pour récupérer notre argent, et rien ne garantit que les assurances acceptent de couvrir les retraités », justifie-t-il.
Une société ingrate envers ses bâtisseurs
Ces pratiques bancaires, l’injustice fiscale de l’État et la menace sur l’accès aux soins montrent le peu de considération accordée aux personnes âgées. Implicitement, on leur fait comprendre qu’elles sont un poids pour la société.
Ailleurs, le terme « personnes âgées » est souvent remplacé par des expressions valorisantes comme « âge d’or » ou « seniors », en signe de gratitude envers ceux qui ont bâti le pays et transmis le flambeau.
En Tunisie, cette reconnaissance semble absente. L’ingratitude touche aussi bien les institutions publiques que privées, traduisant un mépris généralisé, symbolisé par l’attitude des gouvernants.
Raouf Ben Hédi
On ne cesse de gueuler sur les revenus des ecportation des produits tunisiens mais la vie du tunisien est de plus en plus médiocre. Il faut donc poser la question: ou va cet argent?
Ces lumières des 11% ne sont pas concernées par le quotidien des tunisiens.
Y'en a marre et donc basta
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Oui, l'institut allemand de recherche économique (DIW) vient de vérifier cette hypothèse avec des données empiriques (et ainsi statistiques).
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de ce fait l'énorme somme cumulative des cotisations retraites prélevées obligatoirement sur les salaires des pauvres qui vivent mal, mangent mal, travaillent dur et meurent trop tôt ne sert qu'à financer la grande retraite des riches qui mangent bien, dorment bien, qui ont/avaient beaucoup moins de stress dans leur vie professionnelle / sociale et qui vivent ainsi beaucoup plus longtemps à l'image de BCE --> et touchent ainsi 100 fois ce qu'ils ont payé en tant que cotisation de retraite (ils profitent ainsi de l'argent de cotisation de la masse pauvre qui meurt relativement très tôt)
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Oui, ce fait est vrai dans tous les pays sur notre planète terre: En Allemagne, en France en UK, aux USA, etc., etc. etc.
Ma proposition, une situation inhabituelle appelle des approches et solutions inhabituelles: afin de résoudre les problèmes de trésorerie de notre caisse de retraites, il faut prendre en considération les richesses accumulées pour le calcul du montant de la retraite.
c'est un fait que nous sommes dans une situation socio-économique très difficile à la suite de la guerre en Ukraine, de la pandémie du virus corona mais aussi car la dictature du temps de Ben Ali a laissé en 2011 des caisses de retraites vides. --> Aujourd'hui, ce qui compte le plus pour la Tunisie et les Tunisiens est de savoir comment sortir de cette situation de misère afin de nourrir et soigner beaucoup de nos retraités qui vivent dans le manque nutritionnel, dans le froid et la peur des pandémies.
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
PS:
- Il y a un autre phénomène que l'on ne trouve que dans certains pays comme la Tunisie, c'est celui des hommes relativement vieux (dépassant l'âge de la cinquantaine) qui se marient à de jeunes femmes dont ils pourraient être le père ou même le grand-père. Vous voyez ce que je veux dire, oui certaines de ces femmes mariées à des relativement vieux profitent de la retraite de leur époux même 40 ans après la mort de ces derniers. Certes, on trouve de pareils cas même en Allemagne, L'ex-chancelier Helmut Kohl s'est marié à l'age de 78 ans à la beaucoup plus jeune femme Maike Richter alors qu'elle n'avait que 43 ans'?'
- Le candidat à la dernière élection du chancelier fédéral (Bundeskanzler) de l'Allemagne, Mr. Armin Laschet, voulait repousser l'âge légal de départ à la retraite à 70 ans. --> Oui, le monde est gouverné par des vieux qui ignorent le droit des vieux à une fin de vie en calme et en toute tranquillité. Heureusement que Mr. Armin Laschet n'a pas été élu:)
- . Oui, notre planète terre gouvernée par certains vieux oligarques/bourgeois préfère ignorer les besoins vitaux des retraités afin d'investir en particulier à la formation des jeunes --> oui d'un point de vu socio-économique il est plus avantageux pour le BIP d'investir dans la jeunesse que dans les retraités--> les retraités ne sont qu'une lourde charge socio-économique pour le système, oui c'est ce que l'on enseigne dans les universités des pays soi-disant développés...
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
C'est dans l'intensité, la régularité et le renouvellement du débat socio-politique / -économique que se forge le gouvernement du peuple. La bonne santé de notre jeune démocratie tunisienne se mesure à ses contre-pouvoirs. Voilà pourquoi l'indépendance des médias, de la justice, l'activité syndicale et la qualité du débat parlementaire concernent tous les Tunisiens.
bénévolement des associations d'utilité publique, en dirigeant de nombreuses collectivités locales etc...'?tre retraité ne signifie pas cesser toute activité et se mettre en marge de la vie sociale. D'autre part, les dépenses sociales d'un Etat développé sont bien plus importantes que le montant des retraites.La seule question qu'un économiste sérieux doit se poser c'est d'accroître la richesse de tous en favorisant l'investissement tant intérieur au pays que venant de l'étranger. Ce n'est pas le chemin que semble prendre la Tunisie actuelle dirigée par un autocrate qui prétend la défendre avec une fausse ferveur nationaliste mais qui en réalité l'enfonce dans la pauvreté. Ce n'est pas en enfermant des opposants politiques, des acteurs de l'économie, des internautes influenceurs qualifiés d'immoraux comme dans toute bonne dictature ou en limogeant à tour de bras des dirigeants d'entreprises qui ne sont pour rien dans les déboires de ces dernières, que la Tunisie progressera bien, au contraire.
vous me faites vraiment pitié de ne peut pouvoir lire et comprendre correctement un texte banal --> c'est très grave...
Bonne journée, quand-même
En Tunisie, il n'y a rien de prévu pour le retraité. Ni prise en charge du kiné, ni de l'infirmier, ni le fauteuil roulant, ni l'aide soignant, ni le transport, ni l'habitat adapté....
Alors que la population de retraités représentera le 1/3 .
"Les Restos du c'?ur menacés par de graves difficultés financières, l'Etat promet 15 millions d'euros. Pris à la gorge notamment à cause de l'inflation et de la hausse de la demande, les Restos du c'?ur vont devoir refuser d'aider 150 000 personnes, selon leur président, interrogé ce dimanche 3 septembre sur TF1"
Vous êtes au courant, mêmes les associations sont en difficultés ou pas ?
Sortez de votre cocon
Comme un citron pressé, qu'on jette après avoir extrait le jus, le retraité vit des moments très difficiles.
Un ami me faisait part de ses difficultés récurrentes, à savoir détérioration de la qualité de vie, détérioration de son pouvoir d'achat, difficulté de se soigner convenablement faute de fonds et report de ses visites périodiques à son cardiologue.
Il m'a confirmé qu'il vivait très difficilement avec une dépense de 20 din jour, et qu'il se privait de viande, poisson et fruits etc.
L'inutilité du retraité en fait une victime par excellence dans la société tunisienne.
En France c'est pareil j'avais fait des bénévolats dans des associations en France, il faut voir la difficulté des gens incroyables que dire de la Tunisie.
Bien fait.
PS: 2200 dinars de retraite et il se plaint. D'ailleurs j'ai une question: qu'a t'il fait de ces 10000 dinars par moi durant toute sa vie?
D'ailleurs, 10000Dt et même moins, le salaire d'un DG des banques nationales déjà un salaire non statutaire et approuvé par le conseil d'administration de la banque .
Ces 2 impôts me valent le double des impots sur le revenu. Bien sûr que ce la dépend des revenus et des barèmes.
En Tunisie comme en France certains catégories de retraités en souffrance, 1000 euros vous ne pouvez pas vivre en France Beaucoup se nourrissent de la poubelle, c'est une réalité.
Donc et dans le même ordre d'idées, lIS devrait réintégrer la cotisation patronale. Principe d'équité fiscale
Par ailleurs, rares sont les employeurs qui ont cotisé, en complément de leur quote-part obligatoire des cotisations CNSS, à celle de la Cavis, pourtant créé et prévue à cet effet, toujours sur le principe de retraite par répartition, socle de notre système d'assurance sociale prévue spécifiquement à cet effet.
Voilà le résultat de nombreuses années d'insouciance, de manque d'informations, de manque de réalisme et d'initiative des autorités de tutelle.
Beaucoup se sont retrouvés avec des revenus divisés par trois, quatre et même plus.
La seule chose que proposaient les assurances de la place étaient la souscription d'assurances vie, basée sur la capitalisation et la cotisation personnelle, et qui se sont révélées, au fil des ans, une véritable arnaque compte tenu des résultats obtenus par rapport à ceux escomptés et basés sur des "rendements" illusoires à la limite de l'escroquerie.
Il est grand temps de rendre obligatoire (dans une certaine proportion) le système de cotisation employeur-employé dédié à la retraite, au delà de la "limite" d'un plafond ridicule d'un maximum de 80% de six fois le smig, toujours en vigueur à ce jour.
Il est grand temps d'autoriser également, ceux qui le veulent, à souscrire des compléments d'assurance maladie pour pallier au montants de remboursements, souvent dérisoires, proposés en compensation de frais médicaux de plus en plus onéreux.
Il est grand temps de donner les agréments nécessaires à ceux qui désirent constituer des sociétés de mutuelles de retraite et de couverture médicale complementaire.
d impots sur les retraites.? Des retraites qui dans aucun pays du monde ne permettent de maintenir le meme niveau de vie comme avant.
Si 2200 dinars ne suffisent pas a notre banquier de vivre confortablement comme avant la retraite, que dire alors de celui qui ne recoit que 220 dinars par mois a titre de retraite?. La retraite independamment de tout montant, ne permet jamais de maintenir le meme niveau de vie , comme avant la retraite. Ceux qui veulent maintenir le meme niveau, devraient y penser, en faisant des economies et des investissements qui leur permettraient de maintenir, non un niveau de vie voulu, mais abordable.
Le probleme des retraites en tunisie, c est plutot le systeme injuste et non equitable des retraites , qui doit etre reforme et dont les condition doivent etre les memes pour tous les salaries. Absurde et i humain est notre systeme de retraite qui accorde une retraite de 2200 dinars a un citoyen qui dit il, ne lui suffisent pas pour vivre la meme vie comme lorsque il gagnait 10.000 dinars par mois, et un autre citoyen, dont personne ne se soucie pour savoir si 220 dinars de retraite par moi lui suffisent pour remplir son ventre chaque jour..
Loin très très loin des 15 à 35% des retraités tunisiens
C'est donc un pays qui respecte ceux qui l'ont construit, ceux qui ont passé leur vie à financer les autres par des impôts
Chez nous nous avons passé notre vie à payer des impôts largements supérieurs largement aux avocats,médecins,commerçants.....
Tel est notre sort,on ne peut changer,ni faire pression,ni même le demander
Effectivement nous nous sentons méprisés
L auteur veut nous faire croire que dans les autres pays les retraites seraient privilegies.
Si l arp avait vote l exoneration il aurait ecrit que l etat n en a pas les moyens et aurait qualifiee la mesure de populiste
Au départ à la retraite en plus du régime général qui plafonne à 6 fois le smig, le bénéficiaire de le pension part avec un capital de points calculés et cumulés durant sa carrière.
Chaque point a une valeur ,laquelle valeur est régie par des textes ( article 18 du régime complémentaire de la retraite ) etdevrait être revalorisée annuellement afin de permettre de rattraper le manque à toucher du fait du plafonnement du régime général.
Or un fait ineditexiste aujourd'hui, la valeur de ce point est bloquée depuis 2014 , à 0,397 DT le point , oui je dis bien depuis 10 ans.
Donc à part l'inflation qui érode notre pouvoir d'achat , on avance à reculant ....
Autre point important, la retraite maximale à laquelle peut prétendre un salarié du privé est seulement de 80% de 6 SMIG, et non 6 SMIG
On n'a rien à ajouter sauf à appeler le gouvernement et particulièrement les ministères des finances ( double imposition salaire converti en pension et des affaires sociales ( avec des calculs pénalisants moyenne de traitement non seulement limitée à 80 % mais aussi sur une période étalée à 10 ans ) de tenir compte de cette analyse.
Faute de quoi le citoyen retraité est considéré comme déclassé du second ordre pour ne pas dire infiniment petit d'ordre n...
Et pourtant, la loi de la nature fait que :
Quel que soit X - citoyen- et quelle que soit sa position , sa retraite est un passage obligé
Ces représentations ne sont toutefois pas toujours associées à des caractéristiques positives, en particulier chez les médecins. Lors d'enquêtes, le travail avec les patients âgés a par exemple été qualifié d'« ennuyeux » et de « frustrant », ou les personnes âgées étaient généralement perçues comme malades et limitées (sur le plan cognitif) . Si de telles associations s'introduisent dans le processus de traitement, cela signifie, dans le pire des cas, que les patients sont moins bien soignés du seul fait de leur âge chronologique. Ce désavantage spécifique à l'âge est appelé « ageism ».
Des études ont pu montrer dans différents domaines les conséquences que l'âgisme peut avoir sur la prise en charge médicale des personnes âgées : Les patients âgés ne reçoivent par exemple pas les mêmes options de traitement que les personnes plus jeunes ou ne sont pas pris en compte dans la recherche sur la santé.
De plus, les médecins ayant une image négative du vieillissement ont tendance à parler ce qu'on appelle le « langage des anciens » lorsqu'ils s'adressent à des patients plus âgés, c'est-à-dire, par exemple, plus fort, plus lentement et avec condescendance. Et les personnes âgées ont longtemps été sous-représentées en matière de soins thérapeutiques pour les maladies mentales. Les images négatives du vieillissement véhiculées par les médecins peuvent conduire à des diagnostics erronés, diminuer la qualité du traitement et mettre en danger la sécurité des patients.
- Les retrait2s paient pour leurs ann2e de soumission a tous les regimes , ils votent le + et vous avez vot2 pour des voleurs et des gens incompetent ne vous plaigniez pas que les voleurs vous vol .
- Vous avez dirigez le pays et rendu la vie et les reves impossible au jeunes qui ont fuit le pays par votre faute , donc ne vous plaignez pas , assumez vos erreurs et rien ne vous empeche de sortir dans la rue .
Pour moi vous etes une bande de lache privilegi2 de l emploi pendant que le chomage etait bas et attendez que les jeunes ou des suedois aillent se battre dans la rue a votre place pour une situation dont vous etes responsables
ne venez pas pleurez et allez vous battre comme tout ceux de vos ages a travers le monde , sur les rond point en france ou dans les decombre de gaza
Encore après la modification de l'article 37 concocté par le fuyard Eçhahed alors c'est pire...
Et dire MADDOURI est le çhef du gouvernement...