
Le chef du gouvernement désigné, Elyes Fakhfakh, semble être entré dans un bras de fer avec le mouvement Ennahdha et son président Rached Ghannouchi.
Les derniers échos du processus de formation du gouvernement font état d’une colère de la part du mouvement islamiste qui estime être sous-représenté dans le projet présenté par Elyes Fakhfakh. Ce dernier fait le pari risqué d’obliger Ennahdha à voter en faveur de son gouvernement vu que le spectre d’élections anticipées n’arrange personne.
C’est dans cette atmosphère que va se tenir, le 13 février 2020, une réunion d’urgence du conseil de la Choura après la réunion du bureau exécutif qui a eu lieu la veille. Ennahdha doit décider si le parti sera représenté ou pas dans ce gouvernement et ensuite s’il va accorder sa confiance à Elyes Fakhfakh ou pas.
Il est à noter également que l’annonce par l’équipe de Elyes Fakhfakh qu’il présenterait les résultats finaux de ses consultations avec les partis au président de la République vendredi 14 février à 18h sonne comme un ultimatum.
A cet instant, rien n’est encore définitif dans les négociations et la composition même de l’assise politique du gouvernement n’est pas encore figée.
M.A
Je ne constate qu'une seule chose,
A peine nommé, Si fakhfekh commence déjà par ne pas tenir son premier engagement... former un gouvernement dans les 10 jours... le reste ne peut que être semblable et pire.
Ou vas t on?
Et les dossiers qui accusent nahdha comment ont-ils été volatilisés ?
Et les vols de l'argent du peuple ?
Mr Fakhfakh vous avez eu une chance pour former un gouvernement
mais vous avez passé votre temps dans la maison et les bureaux de Mr RG pour une benidiction du grand Manitou
Fakhfakh est certainement le moins capable de constituer un gouvernement et surtout réussir.
N'ayant pas le soutien d'Ennahdha, Qalb Tunes , Karama ( 3 premiers partis les plus représentés au parlement) ce gouvernement est voué à l'echec .
En effet , on aime ou on aime pas les élections d'octobre 2019 ont donné le pouvoir législatif à ces trois partis en premier.
Rien ne peut se faire correctement en marginalisant ces partis.
Said et Fakhfakh sont des usurpateurs.
Le réveil va être dur.. très dur!
Cordialement et mes amitiés .(Manai)
Nous sommes à cinq longs mois et rien n'est accompli,fallait il continuer ainsi ?
Vous êtes le garant des institutions du pays et de notre argent la laisser se dilapider ! Gaspiller dans la médiocrité et l'irrationnel ?
Nous vous implorons à renvoyer tous ces bras cassés à leurs étables, une dissolution est plus qu'urgente pour nous épargner cette poursuite d'irresponsabilité de ces prétendus représentants du peuple. (Manai)
Si le gvt est Censuré,les nouvelles élections vont les exclure de la politique,ces islamistes ne veulent rien lacher pourvu que le peuple se réveille et dénonce leur avidité et leurs magouilles.
Pour réussir Fakhfakh doit former son gvt avec des personnes compétentes, intègres et sans parti pris pour éviter une nouvelle crise économique et sociale,le pays est à l'agonie et au bord du gouffre.
Ils sont au pied du mur les khwenjias, pris à leur PROPRE PIEGE de la redaction de la constitution qui dit que si tu as échoué à former un gouvernement, tu cède ta place sans intervenir ; ils savent que s'ils n'ont pas l'intérieur, la justice ils sont foutus.
Aussi, la MACHINE ABIR MOUSSI, qui est monté en puissance depuis 2 mois dans le coeur des tunisiens leur fait une peure bleue ; ils sont COINCES. Donc ils forcent le verrou Fakhfakh, qui tiens bon (esperons).
Bravo Fakhfakh. Tiens bon. Mais pourquoi avoir sacrifié René Trabelsi sur cet "autel" du deal?
Sinon, c'est clair que nous sommes pour un RETOUR AUX URNES ; pourquoi Parceque SANS AUCUN DOUTE Abir Moussi raflera la mise et les khwenjias ne pourront pas falsifié à l'aise comme ils l'ont fait en octobre (ils avaient tout leur temps pour falsifier).
Tout le monde travaillait sereinement et sérieusement, et ce pour servir son pays et pour contribuer à son développement.
Maintenant un cirque est exposé publiquement, et l'on entend des mesquineries et des bassesses comle cette" valise " est poour moi et l'autre " valise" est pour l'autre. Ou bien il y en a qui demandent trois ou quatre valises.
A les entendre on se croirait dans la caverne d'Ali Baba avec des voleurs qui se partagent le butin d'un village, dune ville ou d'un pays dévalisés.
Mais cela se passait dans les temps moyenbageux, et non en 2020 et de plus en Tunisie le pays modèle et reconnu par ses compétences et ses réalisations acquises durant quinze siècles d'histoire élogieuse.
Sauf avec l'intrusion des khwanjias dits islamistes, et ce en 2012, les parametres et les comportements ont changé et ce pauvre pays est actuellement massacré iriversiblement.
Ton gvt est vouer a l'échec des les 6premiers mois
Bientôt ils achèvent leur taches de sortir définitivement par la plus petite des portes vers l'obscurité. Ainsi l'histoire récompense les ingrats imposteurs.
2. Fakhfakh doit avoir le courage de renvoyer chez eux tous les partis qui viennent avec un couffin de conditions,
3. Fakhfakh doit former son gouvernement comme il l'entend, il ne doit pas chercher à plaire aux partis et il doit se foutre de la menace "ceinture politique",
4. Fakhfakh doit agir en Homme chargé par le Président, et non en ramasseurs de bras cassés venus d'Ennahdha,
5. Fakhfakh doit former son gouvernement et le présenter au Parlement en disant ceci: Messieurs les députés, voici le Gouvernent que j'ai formé en âme et conscience, comme le voulait le Président: assumez donc votre responsabilité Messieurs les députés.
Et ça s'arrête là.
les raisons sont simple:
s'ils ne vote pas pour le gouvernement ils ne pourrons pas gouverner car Abir est la
Si non, le retour aux urnes, cette solution empoisonnée, nous conduira inévitablement vers le chaos.
D'ailleurs, certains partis politiques,conscients de ce danger,commencent à trembler pour leur avenir.
En tout cas, l'épilogue s'approche à pas risqués et la fin de cette fabuleuse " fable Fakhfekh " risque d'accoucher d'une souris sans queue.
En effet, les enchères politiques touchent à leur fin et le spectre d'un nouveau échec s'annonce omniprésent dans la mesure où toutes les parties concernées par ce remue-ménage voient leurs rêves et leurs espérances se diluer et s'évaporer avant même l'heure fatidique de l'annonce de ce deuxième échec.
En fait, la faute incombe à une constitution confuse, à un président illisible, à des partis politiques irresponsables ?
En réalité, chaque composante de l'ensemble de la classe politique a sa lourde part de responsabilité dans ce "sirocco" inimaginable.
Le président de la république n'hésite pas à user de la politique de l'autruche parfois à volonté; l'assemblée du peuple est transformée en un cirque où se chamaillent des élus ni foi ni loi,...
Le temps passe, le citoyen se résigne et tout le pays subit un blocage irréversible et pour une durée inconnue.
Reste que l'imprévu, où tout est possible, risque de surgir à tout moment et les conséquences seront forcément très lourdes à supporter pour un peuple qui a cru à son étoile un certain janvier 2011.
Décidément, la démocratie, la notre, n'est qu'un mal nécessaire qui risque de tourner au vinaigre et nous accoucher d'un nouveau scénario potentiellement chaotique sorti de nulle part.
Nous saurons plus dans les jours voire les semaines qui suivent.
Triste de mon pays.
A vrai dire, je pense que c'est des gens comme Fakhfakh dont la Tunisie n'a pas besoin. Des haineux immatures, on en a vraiment marre.
En comparaison avec le tandem KS-Fakhfakh, je trouve Ennahdha franchement plus responsable.