Une réunion s’est tenue à Alger, dimanche 6 janvier 2019, entre une délégation de la compagnie aérienne nationale Tunisair présidée par son président directeur général Ilyes Mnakbi et son homologue d’Air Algérie Bakhouche Alleche.
La délégation tunisienne était composée par le commandant de bord Karim Elloumi, le directeur général de Tunisair Catering Thameur Jemli et le directeur général de Tunisair Express Yosr Chouari
L’objectif de cette rencontre est de renforcer le partenariat entre les deux compagnies nationales dans divers domaines et de garantir la croissance et la pérennité de la rentabilité des activités commerciales des deux compagnies, à travers une bonne complémentarité des réseaux, une convergence des intérêts ainsi qu’une concertation systématique afin d’assurer un positionnement mutuel, fort dans la région.
D’après communiqué
Vers un renforcement du partenariat entre Tunisair et Air Algérie
Une réunion s’est tenue à Alger, dimanche 6 janvier 2019, entre une délégation de la compagnie aérienne nationale Tunisair présidée par son président directeur général Ilyes Mnakbi et son homologue d’Air Algérie Bakhouche Alleche.
La délégation tunisienne était composée par le commandant de bord Karim Elloumi, le directeur général de Tunisair Catering Thameur Jemli et le directeur général de Tunisair Express Yosr Chouari
L’objectif de cette rencontre est de renforcer le partenariat entre les deux compagnies nationales dans divers domaines et de garantir la croissance et la pérennité de la rentabilité des activités commerciales des deux compagnies, à travers une bonne complémentarité des réseaux, une convergence des intérêts ainsi qu’une concertation systématique afin d’assurer un positionnement mutuel, fort dans la région.
... hummm ... Placement de produit dans un but publicitaire rémunéré, ou acte "volontaire" anonyme pour une pub gratos en échange d'un "dessous de table" envers un membre de notre délégation ? ..... le mystère reste entier ...
N'est il pas opportun de proposer à nos frères algériens d'effectuer des transactions surtout pour l'importation de certaines denrées alimentaires tels que blé sucre huile végétale etc en commun afin d'en réduire.les.coûts .
Je propose aussi d'effectuer les échanges commerciaux avec les monnaies nationales ainsi l'achat du gaz sera en dinar tunisien ou algérien et idem pour le paiement des frais de séjour des touristes algérien. On pourrait aussi créer un dinar maghrébin de référence pour ajuster la variation des monnaies nationales.
deux (-) n'ont jamais fait un (+) .
le communiqué langue de bois , l'atteste.
une stratégie pour contrer Royal Air Maroc totalement néfaste.
Tunis Air ferait mieux de regarder vers Ethiopian Airlines ; créer un deal avec cette compagnie au sommet de l' efficacité pour développer des synergies en Afrique sub sahérienne (CDEAO et COMESA)
Ya Si Mnakbi faites qq chose pour arrêter le vol des bagages des passagers. C'est une honte pour vous et tout le pays. L'autre jour sur le vol en provenance de Genève un ami helvétique a même été victime du vol de ses médicaments en plus de ses vêtements . Le vol à l'aéroport est une pratique généralisée. Les agents bagagistes, la douane(la vraie plaie) et la police sont impliqués. Alors faites appel à l'Armée.
Creer une compagnie Maghrebine avec la fusion des trois compagnies Maroc/Algerie/Tunisie....Maghreb Wings avec une majorite de capitaux prives...meilleure solution
Au milieu des années 60 il y a eu une tentative de créer une compagnie commune entre Tunis Air ,Air Algérie et Royal Air Maroc.Mais chaque pays voulant avoir le dessus et prendre le contrôle à son profit l'opération a échoué.
Il faut imaginer les économies sur les frais fixes et sur les frais commerciaux car ils auraient été répartis sur un plus grand nombre d'appareils en plus d'une des économies sur l'approvisionnement en pièces de rechange et bien d'autres avantages qui auraient permis de mieux résister face à la concurrence.C'est malheureusement le résultat quand on a des régimes insuffisamment conscients des intérêts de leurs peuples sur le long terme.
'? partir de 2007, la compagnie va connaitre une crise avec de nombreux changements de P.-D.G.. Effectivement, en 2007, après le décès de Tayeb Benouis qui était son président-directeur général depuis 2001, va suivre après un an de vacance du poste, une valse des remplaçants : Abdelwahid Bouabdallah (nommé en 2008, limogé en 2011)22, Mohamed Salah Boultif (nommé en 2011, limogé en 2015)23, Mohamed Abdou Bouderbala (nommé en 2015, limogé février 2017)24,25.
Suite au limogeage de Mohamed Abdou Bouderbala, c'est le pilote Bakhouche Alleche qui prend, en intérim, la place de P-DG. Un poste qu'il occupe toujours actuellement (novembre 2017).
La compagnie connait alors une grave crise : finance, mauvaise réputation, soupçons de passe droit familial et favoritisme27. Elle doit faire face à plusieurs scandales comme celui en 2013 des faux diplômes : des pilotes de la compagnie avaient des fausses licences de pilotage attribuées par la direction de l'aviation civile du ministère des Transports algérien.
En 2016, avec la note de 5/10, la compagnie occupe la 75e place (sur 78) du classement des compagnies aériennes du site AirHelp étant ainsi la dernière du Maghreb et avant-dernière de la région MENA.
En novembre 2017, La situation financière sera même qualifiée de "catastrophique" poussant le PDG Bakhouche Alleche à informer qu'il allait stopper les recrutements et les augmentations de salaire30. Une "cure d'austérité" est donc mise en place afin de sauver une compagnie "au bord de la faillite".
En plus de cette crise, les mauvaises nouvelles, erreurs s'accumulent pour la compagnie. Ainsi, en janvier 2018, l'autorité de l'aviation civile chinoise informe qu'elle va interdire l'augmentation des activités commerciales d'Air Algérie dans l'empire du Milieu. Cette interdiction prend effet jusqu'en mai 2018 et est justifiée par les Chinois par de mauvaises performances de la compagnie algérienne. De plus le ministère de la défense français informe que, le 9 janvier 2018, un Boeing 737-800 de la compagnie Air Algérie faisant la liaison Lyon - Constantine, alors qu'il ne répondait plus à la tour de contrôle, a fait l'objet d'une intervention de l'armée de l'air française.
Début 2018, le conflit s'enlise entre un personnel navigant qui démontre son mécontentement par des manifestations et la direction et on semble s'orienter de plus en plus vers une privatisation de la compagnie. Le 22 janvier 2018, le personnel d'Air Algérie entre en grève pour demander une amélioration de leur grille salariale.
