
Plusieurs personnalités ont signé, aujourd’hui, dimanche 26 novembre 2017, une pétition pour assurer la protection du sécuritaire Issam Dardouri et des députés Leila Chettaoui et Sahbi Ben Fredj à la suite des derniers développements de l’enquête sur les réseaux d’embrigadement, notamment, le témoignage de Issam Dardouri.
Les signataires insistent sur la nécessité de se conformer aux dispositions de la loi assurant la protection des lanceurs d’alerte et des dénonciateurs de corruption. Ils appellent, également, à l’ouverture d’une enquête judiciaire et sécuritaire à l’encontre des personnes suspectées d’être impliquées dans cette affaire.
La liste des signataires est composée de : Mounir Charfi, Ikbel Gharbi, Fethi Jelassi, Imen Noura Azouzi, Sami Ben Slama, Raja Ben Slama, Sana Ghenima, Refâat Bouzgarrou, Olfa Youssef, Amel Grami, Cherif Ferjani, Olfa Meziou, Anouar Moalla, Leila Chaker, Haifa Ben Abdallah, Zeineb Toujani,Mongi Bousnina, Wassila Latif, Naouel Nouira, Issam Khemakhem, Amel Belhaj Ali, Fethi B’chir, Ilhem Ben Ammar, Kamel Ben Naceur, Mohamed Mokhtar Jallali, Saloua Charfi, Kais Jammeli, Hela Ouardi, Mehdi Bourguiba, Ali Ouertani, Monia Sanekli, Habib Ghedira, Emna Remili, Fethi Bhouri, Asma Ben Hamida, Abdessatar Ksibi, Chirine Cherni, Ahmed Ghanmi, Mehdi Cherif, Slaheddine Dakhli, Essia Atrous, Myriam Laghmani, Nihel Ben Amor, Hasna Bejaoui, Ameur Jeridi, Houssine Bezaynia, Moez Joudi, Mustapha Machat, Hayet Mzali Toumi et Salem Kilani.
Commentaires (21)
Commenter@ kaméléon 78,...
@ celui qui ment comme il respire
Alors t'es vraiment mal barré pauvre bougre !
Quand a ta secte de terroristes que tu soutient aveuglément, ils excellent autant dans le mensonge que dans le meurtre !
Silence radio
Quels comiques, quelle débilité politique et quelle manipulation de l'opinion publique de basse facture.
Comment donc, pourraient-ils frapper, crier, insulter et encore demander aux contribuables de leur renforcer leurs crimes par des agents de la police républicaine. Une police censée protéger le peuple tunisien de criminels souvent poursuivis et condamnés par la Justice tunisienne elle-même. Je l'aurais compris si ces "BOURGUIBA", "MZALI" & Co., dont les noms figurent sur la liste, avaient appelé à protéger ces mêmes victimes "islamistes" de leurs propres ascendants, de cette campagne malhonnête et nuisible pour notre transition démocratique, que de continuer là où leurs dictateurs furent chassés.
Le mensonge et l'intrigue sont en Islam, pires que le meurtre.