elle voulait dire le contraire ; lisez à l'envers :))

Je ne comprend pas chère électrice,comment vous avez pu tourner le veste en flattant les Nahdaouis et tout d'un coup ils deviennent pour vous non terroristes rien parce qu'ils sont protégés par Béji et vous oubliez que ce deux partis rendaient des services entre eux.

ils sont contre le terrorisme les nahdhaouis n ont jamais ete violents meme le cheickh ne fait pas parti de la liste noir des terroristes

Bhiri doit être tout étonné qu'on l'accuse de menaces ; pourtant chezles nahdhaouis, ils trouvent ça normal...dans le monde nahdhaoui où les menaces, la violences font partie de la "normalité" de la secte,ils ont raison de s'étonner ; ils doivent se dire finalement que "le monde ne tourne pas rond" ou "ils sont devenus fous". peut etre que c'est nous les fous, car on trouve que la violence est bizarre, pas eux. faudra m'expliquer.

....ne reconnaître la merde qu'à son goût! Vous êtes en plein dedans et vous ne vous en rendez même pas compte!! Cependant, bien dit: Rira bien qui rira le dernier, et je sens que ça ne va pas tarder!!

Pour les raisons suivantes:
1. Tous ces faits sont évidents
2. L'attitude de Bhiri et de Larayedh prouve qu'ils sentent le danger, ce qui confirme les suspicions
3. La politique étrangère américaine a totalement changé et ils sont entrain de s'engager dans une guerre contre une forme d'islam politique avec lequel Ennahda est alignée. Le Qatar est isolé, l'Arabie Saoudite a fait un virage complet et la Turquie est très affaiblie sur tous les plans. Voilà le contexte géopolitique qui va forcer Ennadha à de diviser, changer ou disparaître. C'est une affaire de mois et pas d'années pour la simple raison que l'etat Tunisien ne peut plus payer ses salaires. L'argent ne peut venir que des États-Unis et de l'Europe. Le context politique intérieur dans tous ces pays fait qu'un éloignement d'ennadha est un geste politiquement habile et probablement rémunérateur dans les prochaines élections.

En Tunisie aujourd'hui, finalement c'est comme si on considérait qu'on peut bien être terroriste à partir du moment où on a été élu.

La victoire est proche inéluctablement.
Le peuple tunisien sera soulagé.
Les unions commencent à se former.
La guerre contre traîtres sera gagnée.

... et le sang sur les mains des gens de la secte de ton Gourou ???
IL N'Y A PAS PHOTO !

Le choix est vite fait... et tout le monde le sait !

Wait and see... and time will tell my dear !

La question n'est pas d'apprécier la personne de M. Dardouri mais la véracité de ses déclarations et l'authenticité de "ses" documents. Dans pareilles situations, on s'attend légitimement à voir ceux qui en doutent, ou s'en sentent mis en cause, l'obliger à étaler ses preuves devant la justice.

Par contre, il fallait reconnaître cette traîtrise qui figure parmi plusieurs autres traîtrises à l'encontre du peuple tunisien, qui ont été accomplies par nahdha, sans que ces intrus mafieux ne réfléchissent un instant avant de commettre lesdites trahisons, certainement emportés d'abord par l'euphorie de devenir des patrons (et de pouvoir enfin s'enrichir par l'arnaque) et puis de répondre aux directives de leurs commanditaires lorsqu'ils étaient cachés à londres et en cours de formation destinée à coloniser la capitale Tunis et puis de mettre basse sur toute la Tunisie, pour quitter leur région (du sud-est) et donner la chance aux massacreurs du Maghreb et de la Tunisie de prendre leur revanche sur ceux qui ont résisté à leur colonisation et leurs maintes tentatives de colonisation jusqu'à ce jour.
Maintenant que leurs arnaques sont découvertes et qu'ils sont dos au mur en cette période et qu'ils sont pratiquement de quitter la scène politique et de devenir de simples citoyens alors qu'ils n'ont aucun diplôme authentique (sauf des paperasses ramenées de Londres) ni des formations valables ; ce qui est contradictoire voire irréalisable avec la vie de château ou de nabab, qu'ils mènent actuellement grâce à l'argent arnaqué à l'État dès leur venue au cours de l'année 2012 et d'autres faveurs irrégulières comme les terres domaniales et les autorisations basées sur les produits subventionnés par l'État ainsi que la migration vers Tunis qu'ils considèrent comme un privilège accordé donnant-donnant pour octroyer en contrepartie une voix pour les élections de nahdha.