
Réagissant à l’affaire de l’arrestation de Moez Ben Gharbia, Wassim Herissi et Abdelhak Toumi, le syndicat tunisien des dirigeants des médias a rendu public, aujourd’hui mardi 17 mars 2015, un communiqué dans lequel il indique qu’il a réuni son bureau exécutif élargi qui a exprimé sa profonde préoccupation quant à la manière ayant conduit à l’arrestation des journalistes en question et leur emprisonnement.
Tout en réaffirmant leur respect de la justice, les membres du Syndicat expriment leur inquiétude suite à la détention des journalistes qui auraient pu être déférés devant le tribunal en état de liberté dans la mesure où ils ne représentent aucun danger. Une pratique qui menace la liberté d’expression et le travail journalistique, signale-t-on.
Et tout en réitérant leur soutien et leur solidarité avec les collègues détenus, les membres du Syndicat précisent que le Bureau exécutif a mis au point un programme commun de diffusion pour toutes les institutions journalistiques adhérentes au Syndicat en signe de soutien à la liberté de la presse, et ce le 19 mars 2015.

divulguer la vérité! et puis il y a des émissions d'une bassesse, vraiment du n'importe quoi !enfin c le niveau, et des émissions d'un bon niveau, on trouve de tout enfin espérons que tout finira par s'arranger! dès fois on n'est pas obligé de tout savoir ! et il vaut mieux cacher certaines vérités pour le bien du pays! c très agréable et préférable de garder son self contrôle ne pas se jeter tête baissée car on peut se casser le cou et le cou de tout un peuple ! il faut faire gaffe parler mais savoir parler; dire les choses mais arrondir les coins, tout simplement apprendre la diplomatie des mots, des lettres des phrases la diplomatie tout court !
Cette histoire sordide n'a rien à voir avec la liberté d'expression ! Il faut que les syndicats arrêtent la désinformation; Les délits reprochés aux personnes arrêtées sont, entre-autres le chantage et la corruption dans le cadre d'un règlement de comptes personnel qu'on veut maquiller en « investigation journalistique » ; Les syndicats feraient mieux d'interdire l'usage des méthodes illégales dans les reportages journalistes et défendre l'étique et la déontologie ; Cette affaire est grave et toute forme de tolérance va renforcer ce climat d'impunité qui règne dans la société et fera perdre à la justice toute sa crédibilité, du moins, ce qui en reste. . .

