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Hamadi Jebali : Pas d'accord sur le remaniement ministériel, mais les négociations se poursuivent (vidéo)
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Le chef du gouvernement Hamadi Jebali a donné aujourd’hui 26 janvier 2013 au palais de Carthage, une conférence de presse, au cours de laquelle il a fait un tour d’horizon de la situation politique actuelle en Tunisie et donné quelques détails d’ordre général à propos du remaniement ministériel.
Initialement prévue pour l’annonce tant attendue et tant espérée du remaniement ministériel, la rencontre de presse de Hamadi Jebali s’est limitée à une revue de certains événements ayant touché la Tunisie tout en exposant les tenants et les aboutissants à l’origine du retard accusé dans la présentation de la nouvelle composition du gouvernement.
Hamadi Jebali a voulu faire de la dérision en disant que certains ont qualifié ce remaniement de « feuilleton sans fin ». Toutefois, le chef du gouvernement a tenu à préciser qu’il existe diverses étapes qu’il faut absolument respecter et qui se sont imposées lors des discussions et des négociations souvent complexes.
Hamadi Jebali a d’abord voulu expliquer les raisons du mouvement ministériel. Mouvement. Rien ou presque ne va plus au sein de certains, pour ne pas dire la majorité, des ministères. Après une évaluation du rendement de ces derniers, l’identification des lacunes, les changements deviennent impératifs au bout d’un an d’exercice de pouvoir d’un gouvernement légitime selon M. Jebali.
Et puis, il y a eu le fameux discours autour de la rédaction de la constitution qui prend un temps trop long, selon le chef du gouvernement qui, critique ce retard. Il faut accélérer la rédaction de la constitution puisqu’à la suite il va falloir fixer une date pour les prochaines élections présidentielles et les législatives.
Autre impératif : la création de l’Instance Indépendante pour les élections, l’Instance Indépendante provisoire de la magistrature et celle de la communication audio-visuelle.
Hamadi Jebali a fait le tour des conditions nécessaires et indispensables pour la réussite de la transition démocratique ainsi que pour la réussite des prochaines élections. Il y a la question du climat sécuritaire intérieur du pays qui devrait être plus sain, l’identité nationale qui devrait être protégée de tout extrémisme, la neutralité de l’administration et des nominations, la lutte contre la malversation et la corruption dans le respect de la loi, l’indemnisation de toutes les victimes, et notamment le développement régional et la création d’emplois pour les jeunes.
Le chef du gouvernement a ainsi souligné qu’il a pris contact avec plusieurs partis, qui ont exprimé des positions différentes par rapport au remaniement ministériel : certains ont refusé, d’autres ont accepté de négocier.
« L’initiative du débat national engageant toutes les parties ne peut être que bénéfique pour le pays. Il faut arrêter de penser que nous, en tant que gouvernement de la Troïka, partageons un gros gâteau», dixit Hamadi Jebali.
Le chef de gouvernement a déclaré qu’au sein de la Troïka, il n’y a pas eu encore de compromis sur la nouvelle composition du gouvernement. « Dans tous les cas de figure, dans quelques jours, je présenterai une nouvelle composition gouvernementale à l’Assemblée nationale constituante afin qu’elle soit validée par les élus. Cette nouvelle équipe sera le fruit d’un consensus ou, à défaut, celle que je formerai en ma qualité de chef de gouvernement
Hamadi Jebali a précisé que les nouvelles recrues du gouvernement devront s’engager au respect d’une feuille de route claire et un agenda précis pour la prochaine étape dont notamment et principalement l’échéance électorale qui devrait se tenir avant l’été 2013.
Initialement prévue pour l’annonce tant attendue et tant espérée du remaniement ministériel, la rencontre de presse de Hamadi Jebali s’est limitée à une revue de certains événements ayant touché la Tunisie tout en exposant les tenants et les aboutissants à l’origine du retard accusé dans la présentation de la nouvelle composition du gouvernement.
Hamadi Jebali a voulu faire de la dérision en disant que certains ont qualifié ce remaniement de « feuilleton sans fin ». Toutefois, le chef du gouvernement a tenu à préciser qu’il existe diverses étapes qu’il faut absolument respecter et qui se sont imposées lors des discussions et des négociations souvent complexes.
Hamadi Jebali a d’abord voulu expliquer les raisons du mouvement ministériel. Mouvement. Rien ou presque ne va plus au sein de certains, pour ne pas dire la majorité, des ministères. Après une évaluation du rendement de ces derniers, l’identification des lacunes, les changements deviennent impératifs au bout d’un an d’exercice de pouvoir d’un gouvernement légitime selon M. Jebali.
Et puis, il y a eu le fameux discours autour de la rédaction de la constitution qui prend un temps trop long, selon le chef du gouvernement qui, critique ce retard. Il faut accélérer la rédaction de la constitution puisqu’à la suite il va falloir fixer une date pour les prochaines élections présidentielles et les législatives.
Autre impératif : la création de l’Instance Indépendante pour les élections, l’Instance Indépendante provisoire de la magistrature et celle de la communication audio-visuelle.
Hamadi Jebali a fait le tour des conditions nécessaires et indispensables pour la réussite de la transition démocratique ainsi que pour la réussite des prochaines élections. Il y a la question du climat sécuritaire intérieur du pays qui devrait être plus sain, l’identité nationale qui devrait être protégée de tout extrémisme, la neutralité de l’administration et des nominations, la lutte contre la malversation et la corruption dans le respect de la loi, l’indemnisation de toutes les victimes, et notamment le développement régional et la création d’emplois pour les jeunes.
Le chef du gouvernement a ainsi souligné qu’il a pris contact avec plusieurs partis, qui ont exprimé des positions différentes par rapport au remaniement ministériel : certains ont refusé, d’autres ont accepté de négocier.
« L’initiative du débat national engageant toutes les parties ne peut être que bénéfique pour le pays. Il faut arrêter de penser que nous, en tant que gouvernement de la Troïka, partageons un gros gâteau», dixit Hamadi Jebali.
Le chef de gouvernement a déclaré qu’au sein de la Troïka, il n’y a pas eu encore de compromis sur la nouvelle composition du gouvernement. « Dans tous les cas de figure, dans quelques jours, je présenterai une nouvelle composition gouvernementale à l’Assemblée nationale constituante afin qu’elle soit validée par les élus. Cette nouvelle équipe sera le fruit d’un consensus ou, à défaut, celle que je formerai en ma qualité de chef de gouvernement
Hamadi Jebali a précisé que les nouvelles recrues du gouvernement devront s’engager au respect d’une feuille de route claire et un agenda précis pour la prochaine étape dont notamment et principalement l’échéance électorale qui devrait se tenir avant l’été 2013.
Nadya .B
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