
Le député et ancien secrétaire général du Mouvement Echaâb, Mohamed Brahmi a, rappelons-le, été assassiné devant son domicile le 25 juillet 2013, soit six mois environ après l’assassinat d’une autre figure de l’opposition, le dirigeant au sein d’Al Watad, Chokri Belaïd. Mohamed Brahmi a été criblé de balles – quatorze balles de calibre neuf. L’auteur du crime a été présenté par le ministère de l’Intérieur comme étant un salafiste radical du nom de Boubaker Hakim.
En septembre 2013, une copie d’un document des services des renseignements américains mettant en garde contre l’assassinat de Mohamed Brahmi a été publié dans les journaux tunisiens. Selon ce document, la CIA a communiqué les informations dont elle disposait en date du 15 juillet 2013 – soit onze jours avant le drame – au ministère de l’Intérieur, alors géré par Lotfi Ben Jeddou en replacement du dirigeant nahdhaoui Ali Larayedh devenu chef de gouvernement après l’assassinat de Chokri Belaïd. M. Larayedh a, d’ailleurs, été accusé plus tard d’avoir ordonné la destruction dudit document.
Questionné par le parlement, Lotfi Ben Jeddou avait, alors, affirmé que le document avait été reçu le 12 juillet et que les directeurs concernés en avaient été informés, expliquant que la direction de la sûreté extérieure est la seule habilitée à communiquer avec les services de renseignement extérieurs.
L’ancien ministre de l’Intérieur avait, également, laissé entendre que le contenu de la correspondance avait été mis en doute soulignant que la direction de la sûreté extérieure reçoit une grande quantité d’informations par jour mais celles-ci ne parviennent au ministère de l’Intérieur qu’après vérification.
En novembre 2017, le comité de défense des martyrs Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi a porté plainte contre Ali Larayedh et Lotfi Ben Jeddou les tenant responsables de l’assassinat de Mohamed Brahmi. Dans sa plainte, le comité de défense assure que ces deux anciens responsables avaient été avertis du plan d’assassinat et que les preuves attestant de la véracité de cette version avaient disparu du dossier d’instruction
La Défense des martyrs Mohamed Brahmi et Chokri Belaïd a, rappelons-le, exigé à plusieurs reprises l’audition d’Ali Larayedh et Lotfi Ben Jeddou ainsi que certains responsables de la sécurité suspectés d’avoir dissimulé le document envoyé par la CIA.
N.J.
Tout dernièrement, les USA par le biais de leur police fédérale américaine FBI, ont alarmé la police de Castrop-Rauxel en Rhénanie du Nord-Westphalie (RFA), qu'il y a deux Iraniens (frères) qui auraient planifié une attaque à motivation «islamiste», avec des toxines dangereuses. Comme l'Allemagne est toujours sous occupation américaine surtout derrière les coulisses, des mandats d'arrêt ont été aveuglement émis contre les deux frères iraniens âgés de 32 et 25 ans. La police et les procureurs les ont arrêtés. Le parquet les accuse entre autres, de détention de toxines pour un attentat à motivation «islamiste».
La police, les pompiers et les services de secours étaient sur place en grand nombre à Castrop-Rauxel dimanche soir 08 janvier courant. De nombreux services d'urgence portaient des combinaisons de protection. Lors de la perquisition des garages à proximité de l'appartement de l'homme de 32 ans, les maisons environnantes ont été évacuées pour écarter tout danger possible, a précisé le porte-parole de leur police. Un colis avait été trouvé qu'il fallait d'abord examiner. Il s'est avéré par la suite, qu'il n'y avait rien de dangereux dedans.
La zone autour de l'appartement pris d'assaut est initialement restée largement bouclée. Un point de décontamination a été mis en place aux pompiers de Recklinghausen. Bien que tous les services compétents de la RFA aient effectué de multiples perquisitions, ils n'ont rien trouvé. Pas la moindre substance douteuse n'a été trouvée ni lors de la perquisition de l'appartement, ni lors de la perquisition de leurs deux garages. Les deux frères iraniens se trouvent jusqu'à aujourd'hui, humiliés et réduits au titre de «terroristes» sans la moindre preuve et malgré eux.
Comme la police allemande est bien connue d'être de loin plus honnête que la police de cette nouvelle France des Lévy, le porte-parole du parquet de Düsseldorf, Holger Heming, a fini par reconnaître qu'aucune toxine n'a été retrouvée chez les deux «non-juifs et non-chrétiens», mais faussement désignés comme «islamistes». Il a confirmé :"en conséquence, nous n'avons rien trouvé de pertinent concernant les preuves". Il a ajouté : «en particulier, aucune substance dangereuse n'a été découverte chez les deux «islamistes» iraniens. Des «islamistes» dont le frère aîné Mounir J., a déclaré en 2016, qu'il s'était converti au christianisme et avait fui l'Iran. Son frère Jalal J., a été condamné à sept ans pour tentative de meurtre en janvier 2019. Il était considéré comme alcoolique. Six mois plus tôt, un chauffeur de bus avait appelé la police, car le passager «islamiste» iranien, faisait le tour totalement ivre, bouteille de bière à la main, il ne voulait pas descendre. Les policiers alarmés ont finalement fait sortir le jeune homme et l'ont laissé partir. Très ivre, Jalal J. a traversé un pont sur l'autoroute A 45. Il y avait un gros tas de bois d'abattage d'arbres. Complètement furieux, le délinquant a attrapé une branche de 2,60 mètres de long et l'a jetée à 17 mètres sur la route. Une conductrice a percuté le projectile de dix kilos, la voiture s'est soulevée, le pare-brise s'est brisé. Miraculeusement, la femme s'en est sortie avec des blessures mineures.
Eh oui, c'est ça le «islamisme» judaïque et talmudique, dont souffrent les pauvres crédules, manipulés par les mensonges et les intrigues des lobbies médiatiques judaïques, mais qui ne nous fait que fortifier partout où on va.
Bonne journée.
De quoi nous parlent-ils donc en dehors de cette logique la plus plausible de ce monde, dont la preuve flagrante, réside dans les deux voitures blindées d'un prix de plusieurs millions de dollars, que les Emirats hébraïques firent cadeau au défunt candidat à la présidentielle de 2014, Béji Caïd Essebsi, avec tout ce qui s'ensuivit de soutient et d'aide contre leurs ennemis d'Ennahdha.
Même la soi-disant "veuve" de Chokri Belaïd, Basma Khalfaoui, qui a voulu tirer profit de l'assassinat de Chokri Belaïd, elle a laissé savoir par le biais d'une conférence tenue le 5 février 2022 par l'Association tunisienne des femmes démocrates, qu'elle avait quitté le territoire tunisien et que ni elle, ni ses filles ne seront présentes lors de la manifestation du 6 février 2022. En raison des harcèlements et des agressions verbales et physiques qu'elle a subis, nous confirme-t-elle. Mais attention, nous ne parlons pas de la période que les menteurs collent comme étant sous le pouvoir du parti d'Ennahdha. Nous parlons de février 2022. C'est-à-dire six (6) mois après le coup d'Etat du président Kaïs Saïed. Un coup d'Etat avec un pouvoir absolu, pouvant lire même la poussière entre les lignes de tous les dossiers en Tunisie. Pourquoi Basma Khalfaoui, s'est-elle donc évadée de la Tunisie, ayant laissé tout son théâtre de commémorations, aux autres!!!
Même en l'actuel pouvoir d'éléphants aux mains de l'ennemie numéro une d'Ennahdha, la ministre de la Justice Layla Jaffel, notre soi-disant «veuve» de Chokri Belaïd, Basma Khalfaoui, estime encore que le juge d'instruction avait dissimulé des preuves. Des preuves dont elle n'a jamais dévoilées à personne.
Pourrait-il y avoir meilleure occasion pour dévoiler le meurtre des deux Martyrs de la Tunisie Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, comme maintenant avec le pouvoir absolu aux mains du président Kaïs Saïed?
Pourquoi donc, Basma Khalfaoui a-t-elle quitté le territoire tunisien en ayant déclaré :«le suivi de l'affaire de l'assassinat de Chokri Belaïd est une véritable torture. Je tiens à encourager les efforts du comité de défense des martyrs et à les féliciter pour leurs efforts durant ces neuf années»?
Neuf (9) longues années, qu'elle ne faisait que s'attaquer mensongèrement au parti d'Ennahdha, tout en ayant profité de l'aide que lui offraient les ennemis d'Ennahdha. Maintenant que le président Kaïs Saïed, dit vouloir élucider les deux meurtres de Belaïd et de Brahmi, elle n'a plus de patience. Elle quitte la Tunisie, moins de six mois après le coup d'Etat du président Kaïs Saïed. Il est bien évident, qu'il y aura d'autres fuites parmi ces commerçants de mensonges, d'intrigues et de haine, qui se nomment par eux-mêmes «comité de défense des martyrs». Le fer devient trop chaud avec Layla Jaffel et son Boss Kaïs Saïed.
Nous disons à tous les meurtriers de ce monde : «yè katil el-rouh, wine etrouh» ou (meurtrier, tu te sauves par quel sentier!!!
Allah yostir Tounes.
Et que dit cette fameuse missive de La CIA, pour qu'elle soit dissimulée, sans que les USA eux-mêmes ne réagissent?
Il y a des gens, leurs complices, qui continuent à nous raconter des fables au lieu de chercher à révéler les faits.
Ceux qui insultent, diffament au quotidien, traitent de fou, ou de groupie quiconque tient ferme face aux manipulateurs ont une responsabilité grandissime.
Ils contribuent à l'avilissement de l'esprit public, soutenant les voketrs et criminels, ils s'en rendent complices sciemment et volontairement.
Leur outrance en est le signe, quand on lit et relit toujours les mêmes sornettes dont la seule vertu est de rendre évidente si besoin est leur sujétion à une mouvance malfaisante et désormais délégitimée.
'? force de labourer le même sillon, on finit par lasser la bête tout en perdant ses semences et son énergie.
Par conséquent, ils ont les coordonnées du ou des assassins.
Alors, je ne vois pas pourquoi on tourne au tour du pot !?
Qu'on nous livre la vérité car l'opinion a le droit de savoir.
Il est temps de juger de l'affaire et qu'on ferme ce dossier une fois pour toute.
L'opinion a d'autres chats à fouetter par ces temps très difficiles.
C'est devenu risible.