
Le mouvement islamiste Ennahdha a publié, dans la soirée de vendredi 7 octobre 2022, un communiqué dans lequel il est revenu sur plusieurs points ; le boycott des législatives de décembre 2022 et sa position vis-à-vis du Code électoral élaboré, à l’occasion, par le président de la République, Kaïs Saïed.
Le parti de Rached Ghannouchi a réitéré son boycott des législatives anticipées décidées par le chef de l’État en décembre de l’année dernière dans le cadre de son entreprise juilletiste.
Ennahdha est revenu, également, sur les dispositions du nouveau Code électoral affirmant que le texte confirmait ses préoccupations et mises en garde. Il a indiqué, dans ce sens, que la nouvelle loi électorale – par l’adoption du scrutin uninominal – sapait le principe d’équité et d’égalité des chances entre les citoyens et excluait les partis de la course aux élections ce qui donnerait naissance, à son sens, un paysage parlementaire éparpillé et instable, sans parler du risque de consacrer le clanisme et l'influence des lobbies de la corrupiton.
Le mouvement islamiste a, par ailleurs, condamné les nombreuses violations des droits de l’Homme et de la liberté d’expression commises contre les journalistes ainsi que les campagnes de diffamation dirigées contre les élus du peuple et magistrats, entre autres. Il a rappelé, dans ce contexte, la décision de la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples (CADHP) contre le décret 117 de Kaïs Saïed. La CADHP a lancé un ultimatum à l’Etat tunisien l’exhortant à abroger les décrets présidentiels n° 117 du 22 septembre 2021, n°69, 80, 109 du 26, 29 juillet et 24 août 2021 et les décrets n°137 et 138 du 11 octobre 2021 et de rétablir la démocratie constitutionnelle dans un délai de deux ans à titre de mesure de restitution.
Ennahdha a, également, appelé, les forces vives du pays à serrer les rangs face au « coup d’État » en multipliant les manifestations pacifiques contre le pouvoir qui « ont altéré la vie politique et transformé la crise économique en une catastrophe menaçant les moyens de subsistance du peuple ».
Le parti compte, rappelons-le, organiser une marche le 15 octobre 2022 en réponse aux appels lancés par le Front de salut national dont Ennahdha fait partie.
N.J.

'?a m'a coupé l'envie de commenter le vrai sujet.
Ben Sedrine, les les sommes astronomiques empruntées auprès du FMI et les dons des pays amis ont été détournés pour atterrir dans des comptes mystérieux que seul le Diable connaît...
et les voilà pleurnicher sur l'autel du Mensonge démocratique que les Atlantistes nous oint vendu à des prix exorbitants... Je dis à Ennahdha et ses 'queues' de dégager pour libérer l'espace ainsi nous permettant de regarder et voir clair combien ils ont fait mal aux tunisiens et et leur petit grand pays....
Il devrait bonnement DEGAGER.
Religion et politique ne font pas bon ménage. Alors, dégage !
Pourtant le "dégonflage" des "fronts" successifs devraient les inciter à être plus constructifs, entreprenants et de proposer des solutions pour le bien du pays, mais ces mêmes mots de construction, d'entreprise et de solution ne font pas partie de leur vocabulaire, et on s'en est malheureusement rendu compte en constatant les dégâts qu'ils ont causés.
Fermez vos gueles, les estomacs des citoyens finiront par dire leur dernier mot sans vos recommandations mesquines.
Ainsi, les bgar et les bhéyéme de la république, perpétue leur irrécupérable niveau de plouc émancipé !
Quand ils citent des faits, c'est toujours par destination et sur le compte d'autrui, sans voir que c'est bien de ce qu'ils fait qu'ils dissertent.
Corruption, lobbies, clanisme, sont des substantifs ayant pour objet les actes, les méfaits de ceux qui les utilisent.
Il ne reste en ce pays que ceux qui ont encore quelques prébendes à escompter de leur part pour les croire et les soutenir.
On aura des anti-Ennahdha de la 25e heure, comme il y en a toujours lorsque le temps se gâte.
Les islamistes ont encore des financeurs, et des parties fort intéressées disposées à jouer encore ce cheval.
C'est pour cela que nous observons le défilé des partisans et des prétendants qui croient encore à leur chance.
Et qui pour se donner contenance nourrissent les haines, usent de leur petit pouvoir, sabotent et montent de vilaines petites affaires.
'? force de recoudre l'hymen, on finit par rendre l'opération impossible, laissant place au déshonneur.
Mais, sans doute est-ce inutile ou simplement inapproprié d'invoquer le sens de l'honneur ?

