
Renié par Sadok Belaïd et Amine Mahfoudh et qualifié de « dangereux », le projet présidentiel de constitution a été adoubé par le bâtonnier et président du comité des Affaires économiques et sociales de la commission nationale consultative Brahim Bouderbala.
Au micro de Zina Zidi dans l'émission Studio Shems sur Shems Fm, le bâtonnier a indiqué qu’il était satisfait de la version présentée au chef de l’Etat, mais dès le départ la commission avait un rôle consultatif qu’ils connaissaient tous, et que certains comme les doyens de facultés et l’UGTT avaient refusé.
Il a précisé il y avait quelques points d'intersection entre le projet publié par le chef de l'Etat et celui résultant des travaux de la commission.
Pour lui, malgré de nombreuses différences qu’il a énumérées, il faut voter « oui » pour le projet du président car le pays ne supportant plus la situation actuelle.
Et d’affirmer que le document présenté propose plusieurs points positifs, qui pourront être la base d’un régime stable et qu’il y a certains articles qui ne pourront pas être amendés mais d’autres oui.
« La Tunisie a besoin de stabilité, d’une vision claire, de clarifier la relation entre les pouvoirs exécutif, législatif et judicaire, et qui ne sont plus des pouvoirs mais des fonctions au sein du projet présidentiel », a soutenu M. Bouderbala.
I.N
De quelle base vous parlez
Democratie ou dictature.
Oui vous avez raison, car a l'époque des dictateurs déchus, il vous suffit d'être membres du parti unique et vous recevrez des diplômes, si vous le souhaitez, par le gouverneur personnellement, dans des enveloppes au nom du grand dictateur.
Essayez de vous adresser à ces messieurs et dames professeurs et vous serez probablement surprise par leur haute qualité de Tèlhi77.. de très mauvais niveau..
Je vous conseille de ne jvous laissez jamais opérer par un professeur médecin-chef, ni vous faire représenter par un professeur avocat : tout est faux bon marché.. Fakes.. fakes..
Regardons ce Sadok Belaid, il a 83 ans et ne maitrise meme pas la langue arabe: il ne peut meme pas alinigner 2 ou 3 phrase an arabe ?!
https://drive.google.com/file/d/1I-r4f_vhvxqPxjswXO2FUOM0dsld6YPS/view?usp=drivesdk
Puis en 2022 il devrait dire oui a une constitution certes meilleure que celle de 2014 mais avec un preambule catastrophique, sinon nous revoila avec la renaissance des islamo profiteurs deguises sous de nouveaux partis.
Il gapsille l'argent public pour nous dire on était là des tartours! Wel clown wkhouh ! Et une présence dans tout les médias pour nous vendre ses positions et son expertise en économie et sa belle gestion de son porte monnaie....
Puis il a la gueule pour venir nous parler des bases d'un régime stable!
Et bah les régimes stable ce sont les dictatures avec un président pour 20ans et plus!
Cette constitution instaure à une dictature d'enfer! Ou le président peut tout faire sans rien craindre!
J'ai un grand doute sur les diplômes de ce bouderbela! Svp vérifiez son parcours et ses diplômes! C'est impossible qu'il a eu ses diplômes par mérite!
Et il doit maintenant qu'il dégage et ne nous conseille plus d'un projet qui ne lui appartient pas, occupe toi de te derniers jours à la tête de l'ordre des avocats et laisse nous tranquille ! On a des cerveau et on a pas besoin d'un lèches c.. nous parle des choses plus grandes que son cerveau!
La probité à elle seule n'est pas une qualité pour gouverner un pays à la dérive surtout si le chef suprême prône la division en usant d'un populisme primaire et rétrograde basé sur la religion et une certaine moralité obsolète qui date de 14 siècles.
Pour les libertés, le projet de constitution est le pire depuis l'indépendance
Finalement, le peuple dira son mot, je ne crois pas que le boycott changera quoi que ce soit, les dés sont pipés et les jeux sont fait. La seule facon de déboulonner un dictatieur c'est la rue.
A ceux qui disent qu'ils ont confiance dans KS, je leur réponds avez vous confiance au sucesseurs de KS qui aura tous les pouvoirs en main? La constitution est un document trop grave qut est en place pour des décennies et non pour un mandat ou deux d'un président.