
Le constitutionnaliste et membre de l'Instance consultative pour une nouvelle République, Amine Mahfoudh, est intervenu sur Shems FM dans l'émission "Le grand débat" présentée par Myriam Belkadhi, ce dimanche 3 juillet 2022, pour commenter la publication du texte de la nouvelle constitution qui doit être soumis au référendum du 25 juillet prochain.
Dans son discours, Amine Mahfoudh a expliqué que ce nouveau texte est pour lui, antidémocratique. « Il y a des assurances pour la sécurité du texte qui ont été supprimées par le président de la République. Ce texte, qu’il a modifié lui-même, annonce une dérive autoritaire du pouvoir. Et il n'y a aucun contre-pouvoir ! » a déploré le professeur Mahfoudh.
Concernant l’article premier, le corédacteur du texte de la constitution s’est félicité que l’article ait été supprimé et remplacé par plusieurs parties qui clôturent définitivement le débat. « Aussi ce qui est bien avec ce texte c’est qu’il est possible de le modifier. Tout le contraire de la constitution de 2014. Sur ce point il faut dire qu’une constitution est par définition caractérisée par sa longévité elle ne peut être retouchée tous les 3 ans » a déclaré M. Mahfoudh, avant de relever plusieurs incohérences au niveau du texte modifié par le président de la République. « On ne peut pas changer d'expressions sans consulter celui qui a rédigé le texte car lui seul connait vraiment le texte ».
Lors de l’émission, le professeur Mahfoudh a déploré qu’aucune ligne n’a été dédiée à la justice transitionnelle et qui concerne beaucoup de Tunisiens qui « souffrent dans les tribunaux », selon ses dires. Il a aussi pointé un manque de clarté de la part du président et envers ceux qui ont collaboré à la rédaction du document.
« Ce texte est devenu dangereux. Il prévoit une présidence avec tous les pouvoirs et sans possibilité aucune pour l’opposition. En gros, le président fera ce qu’il veut sans qu’il ne soit jamais inquiété. C’est pour moi un retour vers le système de Ben Ali. On est dans le pétrin » a déploré M. Mahfoudh.
En totale contradiction avec son discours, Amine Mahfoudh a raconté son expérience enrichissante aux côtés de Sadok Belaïd et a déclaré : « Si l’expérience était à refaire je la referais sans le moindre doute ».
Durant l’émission, le constitutionaliste a pointé l’affaiblissement flagrant du pouvoir législatif que le président nomme « fonction » et non « pouvoir », dans le nouveau texte.
« Aussi les partis politiques ont été frappés de plein fouet. Un juge ne peut pas faire de politique et les avocats doivent démissionner pour devenirs parlementaires. Les partis et l’assemblée elle-même seront grandement appauvris » a également souligné l’expert.
« Aujourd’hui nous sommes vraiment dans le pétrin et le chef de l’Etat a une dernière chance pour nous extraire de cette position inconfortable et éviter la dérive autoritaire » a finalement souhaité M. Mahfoudh.
S.A
Pas de démocratie (nous ne sommes pas dignes de ce privilège,on ne mérite pas d'être traité comme humains, ou tu respectes les lois ou tu crèves, une main de fer ! Top de délabrement dans tous les domaines, assainir et plus tard on parlera de démocratie.
On purifie ce corps, on le désinfecte de toutes ces corruptions .la seule solution, pas de liberté de qui que soit ,un nettoiement profond.
ROBOCOP se cloisonne...
Je dirai qu'en plus de se cloisonner, il se dictatorise (ce qualificatif n'existe pas dans la langue Française!!), mais, je me permets de l'écrire pour décloisonner ce mur virtuel construit à cause d'1 albinos qui a la haine envers son autre.....?
Bonne semaine démocratique et Bordélique !!!
Le 6 avril 2021, lors de la cérémonie organisée à Monastir, pour la commémoration du 21ème anniversaire du décès du dictateur déchu Bourguiba, le président Kaïs Saïed, a exprimé son rejet total de l'instauration de la Cour constitutionnelle, soulignant que les députés du peuple se sont mis dans une situation impossible. Après plus de cinq ans (période du refus de la Cour constitutionnelle par le président Béji Caïd Essebsi), qu'il a désignés de léthargie, de divisions et d'hypocrisie, ils ressentent un danger et se rappellent de l'importance de la Cour constitutionnelle et de la suprématie de la loi, leur dit-il. Il a réaffirmé son respect «mi-figue, mi-raisin» de la Constitution, qui lui donne le droit de s'opposer à la création de cette Cour constitutionnelle, même pour des raisons politiques, leur confirma-t-il. Il a critiqué par ailleurs, le retard du délai limité à un an après les législatives, pour l'installation de la Cour constitutionnelle d'après l'article 148 de la Constitution.
Tout cela échappe à Amine Mahfoudh et à Mèriem Belkadhi, qui osent débattre de ce qu'ils ignorent eux-mêmes. Monsieur «lili» et «lilou», veut encore entrer dans les administrations, habillé en short et il veut aussi manger en public en plein mois de Ramadhan, mais encore interdire la prière sur les lieux du travail, ni évoquer quoi que ce soit ayant le moindre rapport avec la Charia.
Monsieur la honte de l'Université tunisienne, prétend avoir passé 3 heures avec Noureddine Tabboubi, puis il ne parle plus que de 2 heures seulement, bien qu'il soit appelé par son «amour» Sadok Belaïd, sans mission officiellement putschiste. Maintenant, il appelle à la destitution et au remplacement du président Kaïs Saïed, tout en nous confirmant que, tant que ce dernier reste au pouvoir, notre Monsieur «lili» et «lilou», n'acceptera plus aucun poste et aucune mission. Il va s'occuper de son fils à qui il lui a fait honte pour toute sa vie. Un menteur qui reconnaît bien son extrême débilité. Il parle de sa fausse «démocratie», tout en nous ayant trahi et détruit notre vraie démocratie dont jouissent tous les Tunisiens depuis janvier 2011. Il parle de l'Omma dans la constitution de 1959, dont ils combattent la religion musulmane. Maintenant, ce Mahfoudh qui ne donne d'exemples qu'autour des USA, il veut créer son propre mouvement politique de l'après 25 juillet, mais sans le président Kaïs Saïed.
Oh, ces caméléons sans foi ni loi, qui ne craignent ni l'humain ni le Divin. La honte, toute la honte à l'Université tunisienne.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
https://www.facebook.com/majnounbledi/posts/pfbid02BR85ukWcP6DDvyPHUtieGWtgXPCemfJxP6ppx248FLiSzCdzrEmmxuztxaHmp1SKl
Ce n'est pas le système Ben Ali qui dérange,c'est le système Ben Ali sans Ben Ali....
Tous ces mous du genou veulent lui ressembler mais ils ne lui arrivent pas à la cheville;
Tôt ou tard,l'Histoire reconnaîtra que la Tunisie a vécu ses plus belles années sous Ben Ali,on le voit déjà avec ce qui nous attend pour l'après 25 Juillet si par malheur le OUI l'emporte...
Yè èmmè NON,yè èmmè hayètèn oua éllè fènè!!
" J'étais un prétendant sérieux à un haut poste de responsabilité, mais finalement je n'ai obtenu que le doigt du milieu " a aussi déclaré Mahfoudh. ( Déclaration un peu modifiée par mes soins comme vous l'avez bien constaté sans changer le sens)
" Dorénavant, je n'accepterai aucun poste, tant que Saïd est président, et je doute fort d'ailleurs qu'il fasse appel à mes services" Ce sont intégralement ses propos.
" On est dans le pétrin " se traduit : " je m'attendais à être récompensé mais le président m'à ignoré" .
C'est presque exactement ce qui s'est passé avec Abbou, qui après Sahfet Elassal ( bol du miel ) , c'est la déclaration de guerre.
Abbou demande à destituer le président par tous les moyens.
Sans ma part du gâteau, je dénonce tout.
'?a se passe pas toujours comme on souhaite, Elli Teh*****lou Ywassaa Balou.
sa constitution est faite pour le protèger, car il risque la peine capitale pour son coup.
on rappelle qu'il a prèté serment de respecter la constitution pas pour l'annuler.
Je suis sûr qu'il regrette d'avoir malmené la"3imada"
Je ne vous ai jamais respecté, car je vous connais, et je connais votre frère. Bref, une lignée de ...
Si vous étiez vraiment honnête, intègre, et surtout un homme de loi, il fallait parler tout d'abord au président, et lui demandait une explication. Mais non, vous cherchez à nier votre enfant, alors que vous refusez l'idée d'avortement.
Puisque vous aimez la chanson à texte je vous offre cette là :
Mauvaise réputation
Au village, sans prétention
J'ai mauvaise réputation
Qu'je me démène ou que je reste coi
Je passe pour un je-ne-sais-quoi
Je ne fais pourtant de tort à personne
En suivant mon chemin de petit bonhomme
Mais les braves gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux
Non, les braves gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux
Tout le monde médit de moi
Sauf les muets, ça va de soi
Le jour du 14 juillet
Je reste dans mon lit douillet
La musique qui marche au pas
Cela ne me regarde pas
Je ne fais pourtant de tort à personne
En n'écoutant pas le clairon qui sonne
Mais les braves gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux
Non, les braves gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux
Tout le monde me montre au doigt
Sauf les manchots, ça va de soi
Quand j'croise un voleur malchanceux
Poursuivi par un cul-terreux
J'lance la patte et, pourquoi le taire?
Le cul-terreux se retrouve par terre
Je ne fais pourtant de tort à personne
En laissant courir les voleurs de pommes
Mais les braves gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux
Non, les braves gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux
Tout le monde se rue sur moi
Sauf les cul-de-jatte, ça va de soi
Pas besoin d'être Jérémie
Pour deviner le sort qui m'est promis
S'ils trouvent une corde à leur goût
Ils me la passeront au cou
Je ne fais pourtant de tort à personne
En suivant les chemins qui ne mènent pas à Rome
Mais les brave gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux
Non, les braves gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux
Tout le monde viendra me voir pendu
Sauf les aveugles, bien entendu

