
Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a présenté ses excuses à la cheffe du gouvernement, Najla Bouden, après l’avoir traitée de « miskina » (malheureuse, ndlr).
Intervenant sur Attessia TV dans la soirée de jeudi 2 décembre 2021, il a exprimé ses regrets de l’avoir ainsi qualifiée notant sa compassion envers Najla Bouden de par la complexité de la situation du pays.
« Je la salue. C’est une femme persévérante. Que Dieu lui vienne en aide ! », a-t-il ajouté.
Jeudi, le chef de la Centrale syndicale a indiqué, dans une déclaration aux médias que, Najla Bouden ne pourrait prendre aucune décision sans consulter le président de la République, Kaïs Saïed, conformément aux dispositions du décret présidentiel 117 du 22 septembre 2021 en vertu duquel le locataire de Carthage s’est octroyé un pouvoir extraordinaire.
« La pauvre ! Je la plains pour la situation dans laquelle on l’a mise. Quel pouvoir a-t-elle en tant que cheffe de gouvernement ? Elle est à l’écoute mais ne peut prendre de décision sans revenir au président de la République », a-t-il lancé.
N.J.

C est tres facile de s excuser mais les sequelles de vos propos restent
Les Tunisiens ne savent plus le vrais du faux
Nos politiciens du 21 eme siecles des guerriers destructeurs de leur pays
Maintenant, Tabboubi s'excuse auprès de Bouden, pour l'avoir traitée de "mesquina" ou (pauvre femme). Un terme d'utilisation courante dans le dialecte tunisien, qui n'est nullement insultant et totalement en adéquation avec son sens en langue française.
Que ceux qui veulent comprendre le sens de mes allégations, passent en revue l'extrême vulgarité linguistique hautaine, utilisée par ce même Tabboubi, contre tous les premiers ministres postrévolutions du 14 janvier 2011.
Maintenant, Tabboubi veut nous tromper par un charme envers les femmes, totalement inexistant dans son éducation montagnarde, là où même les Allemands ne l'utilisent avec leur Chancelière Angela Merkel.
L'UGTT ne pourra échapper à la justice tunisienne, pour toutes ces dizaines de milliers de grèves et de barricades sauvages, par lesquelles ils ont fait échouer tous les gouvernements démocratiques, de la dernière décennie.
Pardon Madame Bouden. Je t'embrasse les mains et les pieds. Je suis charmeur avec les femmes. Je n'utilise le "Dabbouz" qu'avec les miennes.
Allah yomhil wèlè yohmil.
Lui par contre il davantage plus pauvre et maffieux. Il n'arrête pas de faire du mal au peuple.
de par son arrogance, i croit qu 'il dérige le pays. Il s'excuse maintenant le mal est fait.